Agents Super Zéro, les nouvelles aventures de Mortadel et Filemon de Javier Fesser — Wild Side n’ont qu’une poignée de fans en France mais en Espagne, ces deux espions calamiteux sont aussi réputés que James Bond ou Astérix et Obélix réunis., adaptation animée de leurs aventures éditée en vidéo chez , permet de s’initier à leur univers frappadingue. Nous avons essayé de transposer la folie de la bande dessinée dans un film d’animation en 3D », explique le réalisateur dans le sont-ils ?Mortadel, le grand échalas avec des lunettes, et Filémon, le petit avec deux poils sur le caillou, sont des agents secrets d’une bêtise cataclysmique créés par en 1958. Ils sont les héros de près de de bande dessinée où ils affrontent des méchants délirants. Que font-ils ?Des bêtises. Beaucoup. Tout le temps. Mortadel a la capacité de se transformer à vue en objet ou en animal. Filémon est celui qui prend les mauvais coups et se retrouve couvert de bosses. Là, ils affrontent un voleur de coffres-forts et une brute épaisse qui veut la peau de plaisent-ils ? Ils sont bêtes comme leurs pieds mas ils n’ont peur de rien et ils en profitent pour pointer du doigt l’absurdité du monde qui les entoure », explique leur créateur Francisco Ibáñez. Après une disponible chez Metropolitan sortie en 2003, cet opus animé rend justice aux héros en multpliant les trouvailles le film ?C’est un divertissement hilarant à l’esthétique décoiffante. Cette production espagnole récompensée par deux Goya l’équivalent ibérique des César change agréablement par son esthétique déjantée et son humour de sales mômes décomplexés. Vive les agents Super Zéro !
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Psycho et sexo À la Saint-Valentin, et si on troquait les coeurs rouges et les dîners aux chandelles contre un grand classique du cinéma érotique ? J-2 avant la sempiternelle Saint-Valentin. Alors que les uns ont déjà réservé leurs places de concert/ciné/spectacle en amoureux et que les autres sont encore occupés à dénicher LE resto qui épatera les papilles de leur bien-aimée, certains se sont fait la confession que cette année, ils n’avaient envie de rien à part d’une soirée canapé… et plus si affinités. Parce que le programme télé du jour est sans intérêt et qu’ont a déjà visionné tout ce que Netflix avait de bon à nous proposer, et si on profitait de la fête des amoureux pour troquer les coeurs rouges et les dîners aux chandelles contre un grand classique du cinéma érotique ? Que vous soyez branchés amour LGBT, scènes explicites ou suggérées, cette sélection de six films saura à coup sûr faire monter la température entre vous et votre Valentine pour un 14 février sous le signe du plaisir et de la sensualité. Mademoiselle Ceux qui l’ont découvert dans Old Boy, Stoker ou encore Thirst risque d’avoir quelques frissons en lisant le nom de Park Chan-wook dans ce classement. Au fil de sa filmographie, le réalisateur sud-coréen a marqué les esprits traumatisé même certains en dévoilant des chefs-d’oeuvre aussi sensuels que violents. Avec Mademoiselle, son dernier long métrage adapté du roman Du bout des doigts de Sarah Waters, le virtuose offre un thriller baroque dans une Corée des années 30, colonisée à l’époque par le Japon. Le film, qui met en scène les actrices sud-coréennes Kim Tae-ri et Kim Min-hee, mêle troubles psychiatriques, comédie, amour lesbien, sadomasochisme avec brio et élégance. De quoi lui valoir une place en compétition pour la palme d’or du Festival de Cannes en 2016. Lire aussi > Oui, la Saint-Valentin est bel et bien définitivement ringarde Mademoiselle, Park Chan-wook 2016. © DR L’Amant Indochine, années 30. Marguerite, 15 ans et demi, vit avec sa mère et ses deux frères. Un jour durant lequel elle traverse le fleuve séparant son lycée et sa pension, elle rencontre un banquier chinois, jeune et riche. Ils tombent éperdument amoureux et commencent une relation faite d’amour et d’argent, difficilement qualifiable de relation saine et stable. Elle va durer un an et demi durant lequel ce chinois va régulièrement rencontrer Marguerite, l’amener parfois à sa pension, souvent dans sa garçonnière où elle va découvrir l’amour physique… » Si certains préféreront la plume de Marguerite Duras pour savourer cette célèbre passion écrite en 1984, d’autres choisiront l’adaptation cinématographique de Jean-Jaques Annaud sortie huit ans plus tard sur grand écran. Dans le rôle de Marguerite, la mannequin britannique Jane March s’abandonne corps et âme dans les bras de l’acteur chinois Tony Leung Ka-fai. Au fil de l’intrigue, les deux corps développent une complicité érotique, laissant apparaître des scènes osées qui font progressivement et efficacement monter le plaisir des spectateurs. L’Amant, Jean-Jacques Annaud 1992. © DR Eyes Wide Shut Classique incontournable, quoi qu’en disent les détracteurs de Stanley Kubrick ou ceux qui ont détesté le duo Kidman-Cruise dans son drame érotique et mystérieux. Avec son intrigue mêlant violence et adultère ainsi que sa scène culte d’orgie, le treizième et dernier film du photographe américain s’est hissé en top des classements des meilleurs films érotiques des années 2000. À l’époque, le long-métrage avait même failli recevoir le César du meilleur film étranger. Sans avoir besoin de se pencher sur l’analyse interminable du film, on se contentera d’apprécier l’ambiance unique de cette odyssée du sexe et de l’angoisse, le tout dans un décor paré de masques vénitiens. Lire aussi > Rêves érotiques 5 symboles cachés qui témoignent de notre sexualité Eyes Wide Shut, Stanley Kubrick 1999. © DR Emmanuelle Classique des classiques du cinéma érotique français, Emmanuelle réveille encore chez certains des souvenirs intimes et émoustillés. Sorti en 1974, ce film érotique vintage a su conserver de sa superbe, malgré un côté kitsch raillé par ceux qui estiment que le long-métrage de Just Jaeckin n’a pas supporté le choc des années. À l’époque, le film avait particulièrement marqué les esprits pour ses deux scènes osées celle de la cigarette et de la sodomie, bien qu’elles soient beaucoup moins explicites que dautres dévoilées sur grand écran à la même époque. Mêlant érotisme chic et décors exotiques dans un scénario qui explore plusieurs aspects d’une sexualité découverte ou fantasmée, Emmanuelle se contente de rapports sexuels davantage suggérés que réellement montrés. Sans être moins excitants pour autant. Emmanuelle, Just Jaeckin 1974. © DR 9 semaines 1/2 Mickey Rourke, Kim Basinger, Margaret Whitton… Le casting fait déjà rêver. Presque autant que le synopsis une jeune femme cultivée, qui travaille dans une galerie d’art, devient un objet sexuel entre les mains de son amant et découvre la violence de ses désirs jusqu’à perdre le contrôle de son corps. Chef-d’oeuvre de la littérature érotique, le roman 9 semaines 1/2 – qui a inspiré le film d’Adrian Lyne sorti en 1986 – évoque l’emprise des sens, la quête de la jouissance et la fragilité de l’être humain face à la domination du désir. Parmi les scènes cultes qui feront monter la température, on citera le célèbre strip-tease de Kim Basinger, irrésistible sur le son de You Can Leave Your Hat On ». Lire aussi > Saint-Valentin Une action mariage rose » pour le respect des droits des amoureux La vie d’Adèle Il y aura eu cette première fois où Adèle et Emma firent l’amour. Immense scène de sexe ensevelie sous les râles et les soupirs. Plaisir charnel, plaisirs des sens; chorégraphie des corps, jouissances. Peinture toujours, on pense à Manet. Seul Oshima, dans L’Empire des sens, a osé quelque chose de semblable. » À son arrivée à Cannes, la critique est unanime. La Vie d’Adèle est un joyau cinématographique qui mérite amplement sa Palme d’or. Parce que oui, le bleu est une couleur chaude et parce qu’on n’avait jamais eu les pommettes aussi rosées et la culotte mouillée face au grand écran. Sublimées par la caméra d’Abdellatif Kechiche, Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux nous offrent deux chapitres de pure jouissance dans une passion lesbienne brûlante et enivrante. La Vie d’Adèle, Abdellatif Kechiche 2013. © DR r0iwO1.