Lesplus beaux poĂšmes de Victor Hugo. 1. A Jeanne : Recueil : Les chansons des rues et des bois. Ces lieux sont purs ; tu les complĂštes. Jeanne, avec toutes tes vertus. Des bons coeurs avec les beaux lieux. C'est un Ă©den en ton honneur. Et ton front, sont de bonne foi. Bonjour, je suis en seconde et j'ai un commentaire de texte sur une poĂ©sie de Victor Hugo lĂ  voici On vit, on meurt On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tĂȘte ; on se plaĂźt aux livres des vieux sages ; On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement En voiture publique Ă  quelque endroit charmant, En riant aux Ă©clats de l'auberge et du gĂźte ; Le regard d'une femme en passant vous agite ; On aime, on est aimĂ©, bonheur qui manque aux rois ! On Ă©coute le chant des oiseaux dans les bois Le matin, on s'Ă©veille, et toute une famille Vous embrasse, une mĂšre, une soeur, une fille ! On dĂ©jeune en lisant son journal. Tout le jour On mĂȘle Ă  sa pensĂ©e espoir, travail, amour ; La vie arrive avec ses passions troublĂ©es ; On jette sa parole aux sombres assemblĂ©es ; Devant le but qu'on veut et le sort qui vous prend, On se sent faible et fort, on est petit et grand ; On est flot dans la foule, Ăąme dans la tempĂȘte ; Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fĂȘte ; On arrive, on recule, on lutte avec effort... Puis, le vaste et profond silence de la mort ! Je vais poster mon travail en dessous, pouvez-vous me dire si j'ai une bonne formulation ou une rĂ©ponse qui n'est pas assez correct etc Merci de vos rĂ©ponses et votre lecture PS Je n'ai pas souvent la ligne appartient Ă  la citation je le ferais ça au propre, et j'ai mis des indications entre parenthĂšses sur mon plan Introduction Le poĂšme "On vit, on meurt" tirĂ© du recueille Les comtemplations Ă©crit par Victor Hugo en 1856, qui suit le mouvement Romantique Victor Hugo laisse dans ce poĂšme une pensĂ©e pourquoi la vie nous procure une joie de vivre et nous entraĂźnent vers le deuil Le poĂšme met en scĂšne tout d'abord 2 axes, la force dynamique de la vie ainsi que une mĂ©diation sur la vanitĂ© humaine face Ă  la mort 1er sous-axe Victor Hugo nous montre ici que la vie est faite de sensation effet on trouve des termes du champ lexical de la joie joyeusementv, riant, bonheur. Nous remarquons l'utilisation plĂ©thorique de nom mĂšre, soeur, fille ,termes liĂ©s aux membres d'une famille, et l'expression " On aime, on est aimĂ©, bonheur qui manque aux rois" car les rois possĂšdent la richesse et le pouvoirs mais l'amour manque parfois Ă  leur bonheur. Et de sensation forte, la phrase On vit on parle, on a le ciel et les nuages" Ă©voque le ciel pour exprimer qu'on peut s'Ă©vader plus loin que l'au-delĂ  mais avec une petite barriĂšre les nuages L'expression "On lit Virgile et Dante" signifie qu'on aime lire les anciens livre qui raconte l'histoire d'une amitiĂ© entre 2 personnes L'expression "Le regard d'une femme en passant vous agite" exprime qu'on tombe sous les charmes d'une personne 2Ăšme sous-axe Victor Hugo nous montre ici que la vie est un mouvement perpĂ©tuel, effectivement nous observons que la phrase "On dĂ©jeune" en lisant son journal" est un prĂ©sent de rĂ©pĂ©tition signifie que le temps s'Ă©coule sans qu'on puisse l'arrĂȘter Et la vie est aussi un changement permanent, nous remarquons l'utilisation plĂ©thorique de cadre spatio-temporel "On va joyeusement / En voiture publique Ă  quelque endroit charmant" l'auberge, gĂźte Une occurrence plĂ©thorique d'adjectif antonymes "faible" et "fort", "grand" et "petit" On pense Ă  plusieurs chose Ă  la fois "on mĂȘle Ă  sa pensĂ©e espoir,travail et amour" Transition Ce poĂšme illustre la force dynamique mais aussi une mĂ©diation sur la vanitĂ© humaine face Ă  la mort 1er sous-axe Victor Hugo nous montre que la mort est Ă  la fois effrayante et inĂ©luctable effectivement l'expression "on est flot dans la foule, ame dans la tempĂȘte" exprime qu'on rejoindra les morts, on ne sait pas oĂč on sera transportĂ© et qu'on est seul dans cette tempĂȘte Ainsi que une l'utilisation des termes du champ lexical du mal troublĂ©es, sombres, deuil, silence, mort qui renforce cette la mort 2Ăšme sous-axe Victor Hugo nous montre que la mort surprend tous les hommes en effet la phrase exclamative de la ligne 20 "Puis,le vaste et profond silence de la mort !" que la mort est soudaine Le pronom personnel "On" est frĂ©quemment rĂ©pĂ©tĂ© qui est universelle pour affirmer que la mort touche n'importe qui. Conclusion Bilan GĂ©nĂ©ral Pour le bilan gĂ©nĂ©ral je ne sais pas comment la formuler ainsi que l'ouverture que je ne trouve pas, pouvez-vous m'aider comment faire le bilan gĂ©nĂ©ral ? Voici mon plan sur 2 axes 1 La force dynamique de la vie a la vie est faite de sensations positives et fortes b la vie est un mouvement perpĂ©tuel et un changement permanent 2 Une mĂ©diation sur la vanitĂ© humaine face Ă  la mort a La mort est Ă  la fois effrayante et inĂ©lucatable b La mort surprend tous les hommes Voiciune lecture analytique du poĂšme de Victor Hugo, "Souvenir de la nuit du Quatre", rĂ©alisĂ©e en classe de 1Ăšre en français, dans le cadre de la sĂ©quence "La poĂ©sie, quĂȘte du sens, du Moyen-Âge Ă  nos jours" sur le thĂšme de la place de l'enfant dans la poĂ©sie. Introduction: Victor Hugo (1802-1885): Chef de file du Romantisme, il a rĂ©alisĂ© une oeuvre
Temps de lec­ture < 1 minuteOn vit, on parle, on a le ciel et les nuagesSur la tĂȘte ; on se plaĂźt aux livres des vieux sages ;On lit Virgile et Dante ; on va joyeu­se­mentEn voi­ture publique Ă  quelque endroit char­mant,En riant aux Ă©clats de l’au­berge et du gĂźte ;Le regard d’une femme en pas­sant vous agite ;On aime, on est aimĂ©, bon­heur qui manque aux rois !On Ă©coute le chant des oiseaux dans les boisLe matin, on s’é­veille, et toute une familleVous embrasse, une mĂšre, une sƓur, une fille !On dĂ©jeune en lisant son jour­nal. Tout le jourOn mĂȘle Ă  sa pen­sĂ©e espoir, tra­vail, amour ;La vie arrive avec ses pas­sions trou­blĂ©es ;On jette sa parole aux sombres assem­blĂ©es ;Devant le but qu’on veut et le sort qui vous prend,On se sent faible et fort, on est petit et grand ;On est flot dans la foule, Ăąme dans la tem­pĂȘte ;Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fĂȘte ;On arrive, on recule, on lutte avec effort 
Puis, le vaste et pro­fond silence de la mort ! Read more articles
Etje vais t’expliquer tout ce que je t’indique ; Je vais t’emplir les yeux de nuit et de lueurs. PrĂ©pare-toi, front triste, aux funĂšbres sueurs. Le vent d’en haut sur moi passe, et, ce
Depuis longtemps, l’épithĂšte tricolore » se portait mal en librairies tant, hors les albums de cuisine, il n’était plus de français, en couverture, que le malaise ou le marasme, quand ce n’était le dĂ©vissage et le dĂ©clin, voire le suicide. A cette Ă©ruption d’angoisse collective, il fallait pour antidote non pas la réédition de ritournelles bĂ©ates sur de radieux lendemains, mais la scrutation d’un pessimisme supĂ©rieur, prĂ©venu contre les rĂ©ductions idĂ©ologiques en tous genres. Et afin de contrer ce masochisme chauvin, une cĂ©lĂ©bration lucide de la nation, rĂ©tive Ă  toute dĂ©rive nationaliste. En bref, il nous fallait RĂ©gis Debray, notre dernier oracle rĂ©publicain, pour rĂ©apprendre une certaine idĂ©e, quoique toute charnelle, du bien commun. C’est chose faite avec le fulgurant essai qu’il vient de livrer et qui, rien de moins, est intitulĂ© Ă  la maniĂšre des mĂ©morialistes du Grand SiĂšcle, Du gĂ©nie français ». LIRE AUSSI Bilan de faillite », ou les conseils de RĂ©gis Debray Ă  son fils pour qu’il rĂ©ussisse sa vie La circonstance qui l’a suscitĂ© a sa part de cocasserie l’ElysĂ©e, sans doute par une paresseuse prudence, confie Ă  la SociĂ©tĂ© des Gens de Lettres le soin de dĂ©signer le grand Ă©crivain » dont le pavillon français ar Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s. Pour lire la suite, profitez de nos offres dĂšs 1€ Je teste sans engagement En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dĂ©pĂŽt d’un cookie d’analyse par Google. Paiement sĂ©curisĂ© Sans engagement AccĂšs au service client
Le« discours sur l’Afrique » que prononce Victor Hugo le 18 mai 1879, au cours d’un banquet oĂč l’on commĂ©more l’abolition de l’esclavage en prĂ©sence de Victor SchƓlcher, ne rĂ©vĂšle sans doute pas la face la plus Ă©clairĂ©e de l’écrivain et montre que mĂȘme les esprits les plus avancĂ©s peuvent ĂȘtre prisonniers de leur Ă©poque, de []
Quid novi?Informations complémentaires au cours de français de seconde. Publié le 8 janvier 2011 Lisez d'abord le poÚme, ici. Voici ensuite deux exemples de commentaires, rédigés par vos camarades, qui concernent tous deux la partie "Une plainte lyrique à la fois intime et universelle". DeuxiÚme proposition de commentaire

PoĂšme , Victor HUGO. PoĂ©sie Française est Ă  la fois une anthologie de la poĂ©sie classique, du moyen-Ăąge au dĂ©but du XXĂšme siĂšcle, et Ă©galement un espace de visibilitĂ© pour l'internaute, amateur Ă©clairĂ© ou professionnel qui dĂ©sire y publier ses oeuvres Ă  titre gratuit. Retour Ă  l’accueil de PoĂ©sie Française. Nos autres univers : Vos PoĂšmes ; Tous les auteurs;

On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tĂȘte ; on se plaĂźt aux livres des vieux sages ; On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement En voiture publique Ă  quelque endroit charmant, En riant aux Ă©clats de l'auberge et du gĂźte ; Le regard d'une femme en passant vous agite ; On aime, on est aimĂ©, bonheur qui manque aux rois ! On Ă©coute le chant des oiseaux dans les bois Le matin, on s'Ă©veille, et toute une famille Vous embrasse, une mĂšre, une soeur, une fille ! On dĂ©jeune en lisant son journal. Tout le jour On mĂȘle Ă  sa pensĂ©e espoir, travail, amour ; La vie arrive avec ses passions troublĂ©es ; On jette sa parole aux sombres assemblĂ©es ; Devant le but qu'on veut et le sort qui vous prend, On se sent faible et fort, on est petit et grand ; On est flot dans la foule, Ăąme dans la tempĂȘte ; Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fĂȘte ; On arrive, on recule, on lutte avec effort... - Puis, le vaste et profond silence de la mort ! On vit, on parle... est un poĂšme extrait du recueil les Contemplations 1856, composĂ© par Victor Hugo, auteur du XIXe siĂšcle 1802 – 1885. Ce livre est consacrĂ© Ă  LĂ©opoldine, fille de Hugo morte Ă  l’ñge de seulement dix-neuf ans. Ce fut dix ans plus tard, au retour du cimetiĂšre de Saint-MandĂ©, oĂč venait d’ĂȘtre inhumĂ©e Claire Pradier, la jeune fille de Juliette Drouet, Ă  savoir l’aimĂ©e de Victor Hugo, que le poĂšte trouve enfin les mots pour exprimer sa douleur. Cette Ɠuvre qui paraĂźt comme une biographie gĂ©nĂ©rale de l’homme, et donc aussi des lecteurs du poĂšme, a comme thĂšme la vie et la mort. Lors de sa lecture on a l’impression que l’auteur tire des conclusions, voire des leçons, de la mort des deux jeunes filles. Par consĂ©quence il va de soi que le poĂšme prend sa place dans un recueil portant le titre les Contemplations . Se posent dĂšs lors les questions suivantes comment le poĂšte parvient-il Ă  nous donner la vision d’une vie que chacun d’entres-nous connaĂźt si bien et quelle forme prend ce poĂšme ?
Quandune femme vous parle, écoutez ce qu'elle vous dit avec ses yeux. Commenter J Victor Hugo (niveau facile) Lequel de ces livres n'est pas de Victor Hugo ? Les Misérables. Notre-Dame de Paris. Germinal. Les Contemplations. 10 questions 1115 lecteurs ont répondu ThÚme : Victor Hugo Créer un quiz sur cet auteur. Navigation. Aide Publicité Masse
Victor-Marie Hugo, nĂ© le 26 fĂ©vrier 1802 Ă  Besançon et mort le 22 mai 1885 Ă  Paris, est un Ă©crivain, dramaturge, poĂšte, homme politique, acadĂ©micien et intellectuel engagĂ© français, considĂ©rĂ© comme l’un des plus importants Ă©crivains romantiques de langue française. Fils d’un gĂ©nĂ©ral d’Empire souvent absent, Victor Hugo est Ă©levĂ© surtout par sa mĂšre. Alors qu’il est encore Ă©lĂšve au lycĂ©e Louis le Grand, il se fait connaĂźtre en publiant son premier recueil de poĂšmes, Odes’ et obtient, pour celui-ci, une pension de Louis XVIII. Chef d’un groupe de jeunes Ă©crivains, il publie en 1827 sa premiĂšre piĂšce de théùtre en vers, Cromwell’, puis Orientales’ et Hernani’. Il s’impose comme le porte-parole du romantisme aux cĂŽtĂ©s de GĂ©rard de Nerval et de Gautier. En 1831, il publie son premier roman historique, Notre-Dame de Paris’, et en 1838 son chef-d’Ɠuvre romantique Ruy Blas’. En 1841, il est Ă©lu Ă  l’AcadĂ©mie française. En 1843, la mort de sa fille LĂ©opoldine le dĂ©chire et le pousse Ă  rĂ©viser son action. Il entame une carriĂšre politique. Élu Ă  l’assemblĂ©e constituante en 1848, il prend position contre la sociĂ©tĂ© qui l’entoure la peine de mort, la misĂšre, l’ordre moral et religieux. C’est en 1862 que Victor Hugo termine Les MisĂ©rables’, immense succĂšs populaire Ă  l’époque. Fervent opposant au coup d’État du 2 dĂ©cembre 1851, il doit prendre le chemin de l’exil jusqu’en 1870. InstallĂ© Ă  Jersey et Guernesey, il Ă©crit Les ChĂątiments’, et Les Contemplations’. De retour en France, Ă  plus de 60 ans, il entame la rĂ©daction de La LĂ©gende des siĂšcles’. PoĂšte romantique, dramaturge en rupture avec les codes classiques, et auteur de romans mythiques, Victor Hugo a connu la gloire populaire et la reconnaissance de ses pairs. Victor Hugo occupe une place importante dans l’histoire des lettres françaises et celle du dix-neuviĂšme siĂšcle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variĂ©tĂ©. Il est Ă  la fois poĂšte lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades » 1826, Les Feuilles d’automne » 1832 ou Les Contemplations » 1856, mais il est aussi poĂšte engagĂ© contre NapolĂ©on III dans Les ChĂątiments » 1853 ou encore poĂšte Ă©pique avec La LĂ©gende des siĂšcles » 1859 et 1877. Son Ɠuvre multiple comprend aussi des discours politiques Ă  la Chambre des pairs, notamment sur la peine de mort, l’école ou l’Europe, des rĂ©cits de voyages Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890, et une correspondance abondante. Victor Hugo a fortement contribuĂ© au renouvellement de la poĂ©sie et du théùtre ; il a Ă©tĂ© admirĂ© par ses contemporains et l’est encore, mais il a Ă©tĂ© aussi contestĂ© par certains auteurs modernes. Il a aussi permis Ă  de nombreuses gĂ©nĂ©rations de dĂ©velopper une rĂ©flexion sur l’engagement de l’écrivain dans la vie politique et sociale grĂące Ă  ses multiples prises de position qui le condamneront Ă  l’exil pendant les vingt ans du Second Empire. Ses choix, Ă  la fois moraux et politiques, durant la deuxiĂšme partie de sa vie, et son Ɠuvre hors du commun ont fait de lui un personnage emblĂ©matique que la TroisiĂšme RĂ©publique a honorĂ© Ă  sa mort le 22 mai 1885 par des funĂ©railles nationales qui ont accompagnĂ© le transfert de sa dĂ©pouille au PanthĂ©on, le 31 mai 1885.
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RĂ©sumĂ©du document. « À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forĂȘt » nous prĂ©sente deux cavaliers, apparaissant, l'un sous la forme d'un « je », l'autre sous le prĂ©nom d'Hermann, galopant dans la forĂȘt dans une scĂšne nocturne. Alors qu'ils ne cessent de galoper, un dialogue semble se crĂ©er entre eux. Mais ce dialogue est On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tĂȘte ; on se plaĂźt aux livres des vieux sages ; On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement En voiture publique Ă  quelque endroit charmant, En riant aux Ă©clats de l’auberge et du gĂźte ; Le regard d’une femme en passant vous agite ; On aime, on est aimĂ©, bonheur qui manque aux rois ! On Ă©coute le chant des oiseaux dans les bois Le matin, on s’éveille, et toute une famille Vous embrasse, une mĂšre, une soeur, une fille ! On dĂ©jeune en lisant son journal. Tout le jour On mĂȘle Ă  sa pensĂ©e espoir, travail, amour ; La vie arrive avec ses passions troublĂ©es ; On jette sa parole aux sombres assemblĂ©es ; Devant le but qu’on veut et le sort qui vous prend, On se sent faible et fort, on est petit et grand ; On est flot dans la foule, Ăąme dans la tempĂȘte ; Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fĂȘte ; On arrive, on recule, on lutte avec effort
 — Puis, le vaste et profond silence de la mort ! AhOs1y.
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