Commentrepasser ses chemises et pantalons ? Pour enlever les plis de vos vĂȘtements, vous avez besoin d'un fer et d'une planche Ă  repasser. Suivez les Ă©tapes et, en un rien de temps, vous aurez Ă  nouveau des chemises, des blouse fluide en half tuck » ou french tuck ». Comprenez semi-rentrage ». L’idĂ©e est donc de rentrer son haut dans son pantalon devant, et de le laisser sorti derriĂšre, Ă  partir des cĂŽtĂ©s. Et ça, ça marche aussi bien avec une chemise d’homme en mode XL, qu’avec une blouse ou mĂȘme un Comment mettre une chemise dans le pantalon femme ?D’abord, on retrousse un peu les manches pour un look plus dĂ©contractĂ©. Ensuite, il est de bon augure de ne pas rentrer entiĂšrement la chemise dans son pantalon, on rentre plutĂŽt le devant pour laisser apparaĂźtre la ceinture et donner un petit effet enfilĂ© Ă  la va-vite » mais en fait trĂšs bien pensĂ© et rĂ©alisĂ© !Aussi, Comment rendre un T-shirt Long en crop top ?Quelle que soit la coupe de votre t–shirt, en raccourcissant sa taille, vous pourrez rĂ©aliser un crop top en quelque secondes. Attention Ă  ne pas couper en plein dans le motif, s’il y en a un. Cela n’aurait pas d’intĂ©rĂȘt. Vous pourrez Ă©galement raccourcir les manches, si cela se prĂȘte mieux au style de votre crop autre cĂŽtĂ© Pourquoi mon pull remontĂ© ? Certains vĂȘtements comme les pulls boulochent Ă  cause des frottements autour des bras et vers le bas du pull. Ne vous inquiĂ©tez pas, c’est tout simple Ă  se porte un pull ?Assurez-vous que le col de la chemise ou de la blouse est bien repassĂ© et est positionnĂ© par-dessus le col de votre pull. Par exemple, vous pouvez porter un pull Ă  col ras du cou de couleur neutre par-dessus un polo et un chino ou un autre pantalon mettre son chemisier ?Tendance Ă  Ă©viter Le port du chemisier Ă  l’intĂ©rieur est Ă  Ă©viter si vous avez un petit ventre rond. Dans ce cas, nous vous recommandons de porter votre chemisier par dessus votre pantalon ou votre jupe en laissant le pan de votre chemisier Ă  l’extĂ©rieur. Porter son chemisier sous un pull ou un gilet Ă  col bien s’habiller avec une chemise ?Si vous voulez porter une chemise avec un pantalon, vous pouvez miser sur le jean, une valeur sĂ»re. Porter le jean vintage avec une chemise Ă  rayures et une paire de baskets pour un style dĂ©contractĂ©. Si vous voulez mettre vos formes en valeur, optez plutĂŽt pour le jean taille porter une chemise courte femme ?Pense Ă  associer une chemise boutonnĂ©e Ă  manches courtes avec un pantalon slim noir pour un look idĂ©al au travail. Une paire de bottines en cuir noires est une option avisĂ© pour complĂšter cette tenue. Opte pour une chemise boutonnĂ©e Ă  manches courtes pour une tenue confortable aussi composĂ©e avec raccourcir un T-shirt trop long sans le couper ?Coupez un morceau de tissu dans un tissu assorti contrastant ou ressemblant et transformez-le en bride. Pour cela, pliez le en deux envers contre envers, Ă©pinglez les longs cĂŽtĂ©s et un petit cĂŽtĂ©, piquez puis retournez sur l’endroit. Surpiquez les bords avec une autre couleur si vous le souhaitez comme ici.Comment bien mettre un tee shirt qui nous est trop grand ?Le t–shirt oversized, assorti d’un legging et d’un hoodie nouĂ© Ă  la taille, c’est le combo parfait pour un look dĂ©contractĂ© et sans prise de tĂȘte. Si les manches sont trop longues, n’hĂ©sitez pas Ă  les retrousser pour un rendu plus transformer un grand T-shirt ?Le moyen le plus facile de modifier un vieux t–shirt est d’ajouter quelques bandes de tissu colorĂ©es entortillĂ©es jusqu’au bas du attacher un pull trop long ?La jeune femme utilise une ceinture fine qu’elle serre un peu mais pas trop Ă  la taille par-dessus son pull. Elle explique ensuite qu’il suffit de remonter le pull au maximum, tout en laissant un petit bord dĂ©passer, et de laisser le pull retomber par-dessus la ceinture afin de camoufler cette bien porter un pull trop grand ?Un pull trois fois trop grand pour soi n’est pas idĂ©al pour flatter la silhouette. Pourtant, portĂ© de certaines façons, il peut ĂȘtre l’élĂ©ment clĂ© d’un look trĂšs stylĂ©. Remonter les manches d’un sweatshirt oversize, le rentrer partiellement dans un jean et jouer avec les superpositions sont parmi les astuces Ă  mettre un pull long ?Pour les femmes minces, le long pull prĂšs du corps flattera votre silhouette. N’hĂ©sitez pas Ă  le porter avec un collant et des bottes. Effets sexy et fĂ©minin garantis. Enfin, pour les petites, Ă©vitez l’oversize qui aura tendance Ă  vous faire paraĂźtre encore plus porter un pull un peu trop large ?Dans ce cas, optez pour une tenue prĂšs du corps un pantalon slim ou une jupe crayon. Pour le dĂ©tail trĂšs fashion, vous pouvez aussi rentrer partiellement votre pull dans votre bas. Et pour ne pas avoir l’air perdue dans votre pull XXL, portez-le avec une ceinture !Comment porter un pull Ras-de-cou ?Associe un pantalon large Ă  rayures verticales multicolore avec un collier ras de cou pour crĂ©er un look gĂ©nial et idĂ©al le week-end. Pense Ă  porter un pull Ă  col rond gris et un collier ras de cou pour une tenue idĂ©ale le week-end. ComplĂšte ce look avec une paire de bottines en cuir Ă  clous mettre une chemise autour de la taille ?Enfilez une chemise Ă  manches courtes, mais ne la boutonnez pas. Prenez les deux coins du bas et nouez-les en un double nƓud autour de votre taille. Serrez autant que possible, sans que le vĂȘtement vous empĂȘche de respirer. Boutonnez le reste du vĂȘtement jusqu’en mettre une chemise trop grande ?L’astuce qui a ma prĂ©fĂ©rence pour arranger une chemise trop grande, surtout s’il s’agit d’une chemise d’homme, c’est de simplement la rentrer dans son pantalon en laissant un peu de marge pour faire blouser le tissu et ĂȘtre Ă  l’aise. Je trouve qu’il est particuliĂšrement joli de le faire dans un pantalon bien s’habiller avec une chemise blanche ?Si vous optez pour une chemise blanche loose » un brin XXL, la maniĂšre la plus simple de la porter consiste Ă  retrousser les manches jusqu’aux coudes et Ă  laisser la chemise ouverte sur le dĂ©colletĂ©. On peut alors associer cette chemise avec un jean ou un short en denim pour adopter une tenue chic, mais porter une chemise classique ?La chemise blanche va toujours aussi bien sous un costume ou un tailleur. Pour la porter de maniĂšre chic et moderne, fermez les boutons jusqu’en haut et osez le costume de couleur assorti! Bien sĂ»r, avec ce genre de tenue, on n’oublie pas de sortir les escarpins pour avoir une bonne dose d’élĂ©gance et de fĂ©minitĂ©!Comment faire pour bien s’habiller ?Pour les basiques chemise ou blouse, jean straight ou slim, blazer, pantalon carotte ou cigarette, robe denim, jupe droite, chaussures tendances plates ou Ă  talons s’associeront avec tout. Pour apporter une touche d’originalitĂ© et vous crĂ©er un style unique, privilĂ©giez les imprimĂ©s et les attacher une chemise femme ?Nouez le bas d’une chemise Ă  manches courtes. Enfilez une chemise Ă  manches courtes, mais ne la boutonnez pas. Prenez les deux coins du bas et nouez-les en un double nƓud autour de votre taille. Serrez autant que possible, sans que le vĂȘtement vous empĂȘche de respirer. Boutonnez le reste du vĂȘtement jusqu’en nouer une chemise Ă  sa taille ? Deux options s’offrent Ă  vous placer la ceinture sur la chemise ou bien rentrer la rentrer dans votre bas et ceinturer le bas. Une ceinture western sur une chemise trop grande. Ceinturer le pantalon l’autre bonne bien porter une chemise blanche femme ?La chemise blanche va toujours aussi bien sous un costume ou un tailleur. Pour la porter de maniĂšre chic et moderne, fermez les boutons jusqu’en haut et osez le costume de couleur assorti!Fitostic c’est l’actualitĂ©, dĂ©cryptage des tendances, conseils et brĂšves inspirantes, n’oubliez pas de partager l’article !Contributeurs 24 membres MonpĂšre a fait laver sa chemise blanche (et repasser / amidonner) Ă  seulement 3-4 pĂątĂ©s de maisons de notre maison, le long de Bardstown Road. Blanchisserie chinoise Ga Wu, IIRC. À ma connaissance, Louisville navait pas une grande population chinoise, donc ce ‘ nest pas comme sil y avait beaucoup dautres entreprises chinoises.
Que signifie ĂȘtre Ă  l'envers ?À l' envers signifie 'au contraire', 'sur le dos' ou 'sur le dos'. Il fait rĂ©fĂ©rence Ă  quelque chose qui est inversĂ©, qui est inversĂ© par rapport Ă  l'ordre rĂ©gulier. Dans certains cas, il peut mĂȘme ĂȘtre utilisĂ© comme synonyme de ' reverse '.Comment dit-on Ă  l'envers ou Ă  l'envers ?Cela vient du DRAE et avec lui on voit que alverso » est une phrase qui signifie au contraire », alors que reverse » n'a pas de sens particulier, il n'a le sens propre de reverse » qu'aprĂšs un lien prĂ©positionnel, qui peut ĂȘtre n'importe quel autre par l' envers , sur l' envers , aprĂšs l' envers , veut dire Ă©tudiant Ă  l'envers ?Nous vous disons. Une mĂ©thodologie de classe inversĂ©e, traduite "classe inversĂ©e" ou "classe Ă  l'envers ", consiste principalement Ă  inverser les tĂąches du matin et de l'aprĂšs-midi dans la classe, de sorte que les devoirs ou les tĂąches soient concentrĂ©s dans la classe tandis que l'Ă©tude de la leçon ou les lectures sont fait Ă  la signifie lire le journal Ă  l'envers ?Timbres, caractĂšres sur presses et machines Ă  Ă©crire, inscriptions sur verre, tissus en de nombreux endroits les textes sont vus Ă  l'envers , comme s'ils Ă©taient Ă©crits pour ĂȘtre lus Ă  travers un miroir. En un sens, apprendre Ă  lire Ă  l'envers peut Ă©quivaloir Ă  s'entraĂźner Ă  comprendre plus et dit-on Hello Kitty Ă  l'envers ?Hello Kitty ăƒăƒ­ăƒŒă‚­ăƒ†ă‚Ł HarƍKiti est une marque et un personnage fictif produit par la sociĂ©tĂ© japonaise Sanrio et a longtemps Ă©tĂ© le plus populaire de cette sociĂ©tĂ©. Il a Ă©tĂ© conçu par Yuko Shimizu et le premier produit a Ă©tĂ© lancĂ© au Japon en 1974 et aux États-Unis en est le mot solutions Ă  l'envers ?Le verbe solvere est composĂ© avec un vieux prĂ©fixe sĂ©paratif se- sur la racine indo-europĂ©enne *leu-1 desserrer, libĂ©rer, diviser. Lisez " solutions" Ă  l'envers et la magie apparaĂźtra !Comment appelle-t-on les personnes qui lisent Ă  l'envers ?La dyslexie est un trouble spĂ©cifique de l'apprentissage de la appelle-t-on les livres lus Ă  l'envers ?Ils appellent cela la littĂ©rature Ă©crire les lettres Ă  l'envers sur le clavier ?Pour Facebook, Instagram, des lettres Ă©crites Ă  l'envers .? – point d'interrogation u+003fÂż – point d'interrogation inversĂ© u+00bfA – Lettre majuscule latine a u+0041∀ – pour tous u+2200B – Lettre majuscule latine b u+0042 – Lettre majuscule du dĂ©sert abeille u+10412Comment s'appelle une personne qui Ă©crit mal ?La dysorthographie est le trouble spĂ©cifique du langage de l'Ă©criture qui peut ĂȘtre dĂ©fini, selon GarcĂ­a Vidal 1989, comme l'ensemble des erreurs d'Ă©criture qui affectent le mot, et non sa mise en page ou son orthographe».Qu'est-ce qu'une personne dyslexique ?La dyslexie est un trouble d'apprentissage qui implique des difficultĂ©s Ă  lire en raison de problĂšmes d'identification des sons de la parole et de comprĂ©hension de leur relation avec les lettres et les mots dĂ©codage.Quel type de handicap est la dyslexie ?La dyslexie est un type de trouble d' apprentissage . Une personne ayant un trouble d' apprentissage a du mal Ă  traiter les mots ou les appelle-t-on les personnes obsĂ©dĂ©es par l'orthographe ?Il s'avĂšre que cette obsession de corriger les erreurs des autres n'est pas seulement un hobby ou un passe-temps, c'est ce qu'on appelle le syndrome de pĂ©danterie grammaticale» syndrome de pĂ©danterie grammaticale.Comment s'appelle-t-il lorsque vous changez les lettres?Elle est parfois appelĂ©e Ă©criture miroir ou Ă©criture spĂ©culaire. C'est diffĂ©rent de ce qu'on appelle la transposition, qui consiste Ă  changer l'ordre des lettres . L'inversion la plus courante se produit avec b et d, lorsque l'enfant Ă©crit un b pour un faire vice s'appelle la personne qui confond les lettres ?La vraie dyslexie est beaucoup plus large que simplement confondre ou transposer des lettres . Par exemple, confondre le "b" et le "d". En gĂ©nĂ©ral, les symptĂŽmes de la dyslexie peuvent inclure des problĂšmes avec DĂ©terminer le sens d'une phrase corrige les fautes d'orthographe ?C'est un correcteur orthographique idĂ©al pour Ă©crire correctement en espagnol, car il possĂšde le lexique le plus complet de cette langue composĂ© de plus de cinq millions de est la JournĂ©e mondiale des amis obsĂ©dĂ©s par l'orthographe ?Le 28 octobre de chaque annĂ©e, la JournĂ©e internationale du correcteur de texte est cĂ©lĂ©brĂ©e , comme un hommage bien mĂ©ritĂ© Ă  ceux qui ont la tĂąche importante de rĂ©viser attentivement les textes et de vĂ©rifier ainsi qu'ils sont correctement corriger l'orthographe d'un texte ?Microsoft OfficeOuvrez le texte que vous souhaitez corriger .Appuyez sur la touche F7 pour lancer le correcteur orthographique. Vous pouvez Ă©galement utiliser l'option RĂ©vision du ruban. Ici, vous devez saisir l'orthographe ou l'orthographe et la grammaire Quelles sont les causes d'une mauvaise orthographe ?Parmi les causes possibles de fautes d' orthographe , la plus frĂ©quente et la plus rĂ©pandue est l'aversion pour la est Ă©vident que les personnes qui ne s'intĂ©ressent pas Ă  la lecture n'arrivent pas Ă  connaĂźtre les mots comme le peut quelqu'un qui lit de mots 1150
Lebonnet n’était pas un simple couvre-chef permettant de ne pas ĂȘtre en cheveux. Il distinguait la personne, son rang mais aussi son mĂ©tier, son savoir : Le bonnet de police pour le militaire en petite tenue, le bonnet Ă  poil des grenadiers, le bonnet doctoral, etc. Jeter son bonnet revenait donc Ă  marquer sa rupture avec ce rang ou ce savoir, que la rupture soit due Ă  une incapacitĂ©
Que signifie rĂȘver d’enfant ? RĂȘver d’enfant s’accompagne gĂ©nĂ©ralement de bonnes choses. Parce que cette image reprĂ©sente l’ingĂ©niositĂ©, la puretĂ©, la crĂ©ativitĂ©, l’espoir et la lumiĂšre. Quoi qu’il en soit, le rĂȘve d’un enfant a beaucoup Ă  voir avec nos habitudes, nos caractĂ©ristiques, nos idĂ©es et nos valeurs. Il existe Ă©galement une relation directe avec les sentiments exprimĂ©s ou refoulĂ©s, l’immaturitĂ©, nos forces et nos faiblesses. Par consĂ©quent, l’enfant qui apparaĂźt dans un rĂȘve nous enseigne beaucoup de choses sur nous dans diffĂ©rents aspects de la vie. Et parfois, une certaine complexitĂ© peut mettre en Ă©vidence l’importance de dĂ©mĂȘler des blocages qui nous viennent de l’enfance. Que dit la psychologie sur un rĂȘve d’enfant ? Dans ce domaine, plusieurs points de vue expliquent ce que signifie rĂȘver d’un enfant. DiffĂ©rentes Ă©tudes prouve que cette vision imaginaire n’est rien de plus que votre moi intĂ©rieur. C’est-Ă -dire que c’est l’enfant qui vit en vous; celui que nous portons mĂȘme Ă  l’ñge adulte. Sous ce regard, toute sa vulnĂ©rabilitĂ©, sa puretĂ©, ses dĂ©sirs et sa maturitĂ© y sont reprĂ©sentĂ©s. De cette façon, l’interprĂ©tation se fait en fonction des actions et des sensations qui se produisent pendant et aprĂšs le sommeil. Les expĂ©riences personnelles de l’enfance du rĂȘveur doivent Ă©galement ĂȘtre prises en compte. Étonnamment, rĂȘver d’un enfant est bien plus rĂ©vĂ©lateur que vous ne le pensez ! Selon le psychiatre Carl Jung, comprendre son rĂȘve d’enfant conduit Ă  une meilleure connaissance de soi. RĂȘver d’un enfant fille Si vous rĂȘviez d’une enfant fille, prĂ©parez-vous Ă  des Ă©motions fortes, car le sens principal de ce rĂȘve est l’angoisse. De ce point de vue, une petite fille symbolise que vous souffrez de devoir vous occuper de quelqu’un qui ne fait aucun efforts. C’est une responsabilitĂ© qui ne vous fait aucun bien, vous vous sentez dĂ©passĂ© et vous ne voyez pas de solution Ă  cette impasse. Si c’est un adulte, vous devriez laisser cette personne marcher seule, car ce n’est qu’alors qu’elle pourra grandir. RĂȘver d’un enfant garçon Un rĂȘve avec un enfant garçon symbolise souvent vos dĂ©sirs de rĂ©ussite sociale et de gains d’argent. Si vous travaillez sur un projet particulier, vous allez mener un combat acharnĂ© pour le voir se concrĂ©tiser se concrĂ©tisera. Car, le rĂȘve d’un enfant garçon est aussi synonyme de combativitĂ© et d’adversitĂ©. L’enfant garçon, montre en gĂ©nĂ©ral l’aspect rationnel de la vie. Vous devez, donc, vous recentrer sur l’essentiel et non sur les plaisirs et loisirs. RĂȘver d’enfants qui jouent Voir des enfants jouer, dans un rĂȘve, figure parmi les rĂȘves les plus positifs. C’est un signe de joie, de bonnes attitudes envers les autres et d’influences positives. Vous avez, peut-ĂȘtre, fait quelque chose de bien pour quelqu’un. En tous les cas, vos perspectives seront encore meilleures qu’espĂ©rĂ©es, suggĂ©rant de bons vents de carriĂšre ou de bonheur familial. Si vous ĂȘtes dĂ©jĂ  dans cette bonne phase, Ă©coutez votre intuition, car de nouveaux chemins semblent s’ouvrir. Ensuite, rĂȘver de jouer avec des enfants symbolise une paix et une harmonie intĂ©rieures. Ainsi, votre moi mature et l’enfant en vous sont en Ă©quilibre et vous mĂšneront au succĂšs. RĂȘver d’un enfant sur les genoux Un enfant sur vos genoux dans un rĂȘve indique que vous avez trop de responsabilitĂ©s envers quelqu’un d’autre. Peut-ĂȘtre que cette personne est trop dĂ©pendante de vous ou vous surcharge de travail. Dans votre fort intĂ©rieur, il y a une sorte d’angoisse ou de difficultĂ© Ă  faire face Ă  cette situation devenue pesante. Ce rĂȘve vous suggĂšre de rĂ©flĂ©chir Ă  cette dĂ©pendance. Dans la plupart des cas, vous devez la laisser s’occuper d’elle-mĂȘme. Ou bien, trouvez un Ă©quilibre entre aider les autres et prendre soin de vous. Une autre explication suggĂšre un manque, un vide ou une nostalgie de quelqu’un qui n’est plus lĂ . Dans de tels moments, nous nous retrouvons avec notre enfant intĂ©rieur en quĂȘte de refuge. RĂȘver d’un enfant puni L’enfant puni, dans un rĂȘve, reprĂ©sente une pĂ©nitence intĂ©rieure. Alors, analysez votre vie ces derniers temps et comment vous avez pris vos dĂ©cisions. La plupart du temps, cette situation dans un rĂȘve indique que vous ĂȘtes trop impulsif. L’enfant puni imaginaire appelle Ă  un esprit plus calme, sain et Ă  la maĂźtrise de soi. Et ce rĂȘve s’accompagne d’un avertissement fort pour mieux rĂ©flĂ©chir avant d’agir. C’est parce que vos attitudes ou comportements peuvent nuire Ă  vos proches. ThĂšmes associĂ©s au rĂȘve d’enfant Pourquoi rĂȘver de chercher son enfant ? . Le rĂȘve d’adopter un enfant. Une noyade d’enfant en rĂȘve. L’enfant qui pleure dans un rĂȘve. RĂȘve d’un enfant mort. Le rĂȘve d’enfant selon l’Islam.
Presest ma cote, plus pres est ma chemise, dit le proverbe mĂ©diĂ©val1. Pas de vĂȘtement plus proche de la peau, en effet, que la chemise. Et bien que les Romains ne l’aient guĂšre connu – le mot camisia n’apparaĂźt qu’en bas latin – pas de vĂȘtement plus communĂ©ment citĂ© dans la littĂ©rature des xiie et xiiie siĂšcles, manteau mis Ă  part. D’étoffe de lin, parfois de toile de
Explication de la derniĂšre scĂšne du film.Ne lisez pas ​cet article si vous n'avez pas vu le film.Description. Ennis accroche son chapeau Ă  un clou au mur, il trouve sur un fauteuil le gilet que sa fille Alma junior a oubliĂ©. Il ouvre la porte du mobile home pour voir si elle est encore lĂ , constatant qu'elle est repartie, il referme la porte et plie le gilet avec soin tout en le sentant comme lorsqu'il a retrouvĂ© les chemises dans la chambre de Jack. Il range le gilet dans son placard, lorsqu'il ouvre la porte on voit les deux chemises, portĂ©es par lui et par Jack Ă  Brokeback, accrochĂ©es Ă  la porte. Il se met face aux deux chemises pendues, celle de Jack sous la sienne, il referme les boutons de la chemise de Jack, il redresse la carte postale punaisĂ©e sur la droite des chemises, il prononce la phrase "Jack, j'te jure", Jack, i swear, puis referme la porte du placard et disparaĂźt de l'Ă©cran, le gĂ©nĂ©rique de fin commence noter un dĂ©tail important, la fenĂȘtre, il ne la regarde pas, on y voit quatre couleurs, le gris, le jaune, le vert et le musique "The wings", commence juste avant qu'il ne referme la porte du mobile home pour s'achever aprĂšs le dĂ©but du chapeau. Dans le film Ennis porte quatre types de chapeaux, un chapeau de toile Ă©crue, de la premiĂšre scĂšne oĂč il apparaĂźt Ă  cette derniĂšre, un chapeau tressĂ© crĂšme, une casquette et un bonnet. On ne le voit qu'une fois porter la casquette et le bonnet, la casquette lorsqu'il est employĂ© pour goudronner une route, le bonnet dans la scĂšne de la luge, ce sont des chapeaux de circonstance pour le travail ou les loisirs. Les deux autres chapeaux ont une portĂ©e nettement plus symbolique. Ennis porte le chapeau en toile dĂšs la premiĂšre scĂšne, il le portera Ă  chaque pĂ©riode de sa vie oĂč Jack est au centre de ses pensĂ©es et de sa vie. Il portera le chapeau tressĂ© lorsque ses prioritĂ©s sont sa famille ou la nĂ©cessitĂ© de vivre en conformitĂ© avec les normes sociales. Quand on le voit enlever son chapeau dans cette derniĂšre scĂšne, cela signifie qu'il a cessĂ© de mener une double vie, il n'a plus besoin de se cacher pour aimer Jack, le symbolisme est trĂšs fort. A noter que Jack conservera le mĂȘme chapeau pendant tout le film et toute sa vie.Le Gilet de sa fille. Ennis plie soigneusement le gilet et le sent, il le range ensuite dans son placard. Le fait de sentir le vĂȘtement est une explication Ă  sa perception des personnes, c'est plus physique que moral voir le commentaire de Logan en fin d'article, dans la scĂšne de la chambre de Jack oĂč il sent les deux chemises, il recherche ce qui reste de physique de perceptible de Jack, ce n'est pas un amour platonique uniquement basĂ© sur le gilet de sa fille est aussi la seule possibilitĂ© de donner une suite Ă  l'histoire. On peut imaginer qu'Ă  la mort d'Ennis, Alma, fouillant dans les quelques affaires de son pĂšre, va retrouver ce gilet, elle retrouvera, peut-ĂȘtre aussi, les deux chemises et la carte postale de Brokeback. Elle voudra reconstituer la vie de son pĂšre, ses souvenirs reviendront, elle se rappellera peut-ĂȘtre de Jack car elle l'a vu deux fois, elle connaissait la liaison de son pĂšre avec Jack. EspĂ©rons qu'Ennis aura gardĂ© quelques cartes postales que Jack lui a envoyĂ©. Cette nouvelle histoire, bien que plus ordinaire, pourrait ĂȘtre tout aussi Ă©mouvante, mais pas pour les mĂȘmes fenĂȘtre. La fenĂȘtre reprĂ©sente l'attente et l'espoir pour Ennis. Ce symbole apparaĂźt trĂšs souvent dans le film, d'une des premiĂšres scĂšnes oĂč il regarde au travers de la fenĂȘtre du bureau de Joe Aguirre avec l'espoir de dĂ©crocher un emploi, Ă  cette derniĂšre, mais lĂ  il ne la regarde pas, il n'a plus rien Ă  attendre. On peut citer aussi Ennis devant sa fenĂȘtre, dans son appartement de Riverton, attendant nerveusement l'arrivĂ©e de Jack aprĂšs quatre ans d'une longue cette derniĂšre scĂšne la fenĂȘtre donne un aperçu du paysage visible du mobile home d'Ennis, on y voit quatre couleurs qui se superposent, de bas en haut on voit le gris, le vert, le jaune et le bleu, le jaune est rĂ©duit Ă  une fine bande, la fenĂȘtre est cĂŽte Ă  cĂŽte avec la porte du placard ouverte, les chemises sont visibles. Il faut faire appel Ă  la symbolique des couleurs pour comprendre le rĂŽle de la fenĂȘtre dans cette derniĂšre sĂ©quence. Le gris est le symbole de la peur et de la tristesse, le vert celui de l'espĂ©rance, de l'immortalitĂ© et du repos de la sĂ©curitĂ© en AmĂ©rique du nord, le jaune et un symbole de lĂąchetĂ© 'aux USA, enfin le bleu est symbole de paix, de sagesse et de rĂȘverie. Il suffit donc de "lire" les couleurs de bas en haut pour avoir un rĂ©sumĂ© des sentiments qui ont animĂ© cette chemises. c'est le dernier indice matĂ©riel. Lorsqu'Ennis dĂ©couvre les deux chemises dans la chambre de Jack, sa chemise est sous celle de Jack, dans cette scĂšne, c'est la chemise de Jack qui se trouve sous celle d'Ennis, comme si chacun des deux hommes voulait protĂ©ger l'autre. Ennis va plus loin en fermant les boutons de la chemise de Jack pour ne pas qu'il prenne froid ?, et, pour la premiĂšre fois, on le voit agir avec une immense tendresse alors que mĂȘme dans la scĂšne du flashback il y avait une certaine derniĂšre phrase "Jack, j'te jure". Dans la version anglaise "Jack, I swear", c'est le terme employĂ© aux USA lors des mariages. Par ce serment, Ennis voue Ă  Jack une fidĂ©litĂ© jusqu'Ă  la fin de sa vie, il ne se remariera jamais, il n'aura plus aucune liaison, mĂȘme passagĂšre, que ce soit avec un homme ou une femme, c'est un mariage posthume. C'est aussi une nouvelle erreur d'Ennis, jamais Jack ne lui a demandĂ© de jurer voir la nouvelle, Ennis s'enfonce encore plus dans cette religion du souvenir qui l'a rongĂ© toute sa vie, surtout que ce "sacrifice" ne sert plus Ă  rien puisque Jack est mort.La suite bientĂŽt.
LecĂŽtĂ© opposĂ© Ă  l'endroit, le cĂŽtĂ© qui ne doit pas ĂȘtre exposĂ© Ă  la vue. L'envers de cette Ă©toffe est presque aussi beau que l'endroit. L'envers d'une feuille d'arbre, le cĂŽtĂ© qui regarde le sol. Fig. Le contraire. A l'envers, loc. adv. qui se dit lorsque l'envers se met ou se prend par erreur pour l'endroit. Mettre son manteau, sa

Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Rues de LondresDaemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Sam 16 DĂ©c - 2019 Elhiya Ellis - Daemon mutuelle“La vie est la plus belle des fĂȘtes.”‱ ♫♫♫ Choix de DeyJ'avais vu partir ma douce avec une jeune femme afin de la chouchouter.*J'espĂšre que ce sera un moment agrĂ©able pour elle* avais-je une autre porte s'ouvrit devant et un jeune homme dans le mĂȘme type d'uniforme m'avait invitĂ© Ă  la suivre. Pour moi, se prĂ©parer avant une occasion Ă©tait quelque chose de tout Ă  fait naturel. Depuis que j'Ă©tais enfant on m'avait habituĂ© Ă  m’apprĂȘter en toute circonstance. Que ce soit pour un dĂźner particulier , un anniversaire en famille ou bien des rencontres dans le cadre plus guindĂ© des soirĂ©es mondaines. J'Ă©voluais depuis mon enfance dans un milieu ou prendre soin de son image Ă©tait aussi conventionnel que l'ĂȘtre humain, qu'il soit moldu ou sorcier, me dirigea donc vers un lieu oĂč je pourrai me rafraichir. En quelques minutes, je pus choisir une nouvelle tenue, rien de trop voyant. Moi choix s'Ă©tait portĂ© sur une chemise classique noire accompagnĂ© d'un jeans anthracite. Je sortis de la cabine et suivi mon guide. J'allais passer dans les mains d'un coiffeur. J'en avais Ă©prouvĂ© le besoin car mes cheveux commençait Ă  ĂȘtre un peu trop long. Je souris Ă  la coiffeuse qui m'installa dans le fauteuil et la laissa travailler alors qu nous Ă©changions des propos assez anodins. Une fois, son travail terminait, elle me sourit et me libĂ©ra. J'Ă©tais satisfait du rĂ©sultat en m'observant dans le Merci, c'est suivis un nouveau jeune homme qui ramena dans le salon. Ma verte et argent m' Tu es encore plus belle que tout m'avançais vers elle et lui tendit la main pour rĂ©cupĂ©rer la sienne afin de la mettre dans le creux de mon Bonne soirĂ©e. Lança la rĂ©ceptionniste alors que nous quittions la Le Dorchester n'est pas trĂšs loin. Je me suis dit que profiter des lumiĂšres de la nuit en se baladant serait traversĂąmes donc les rues qui commençait Ă  s' l'observait du coin de l’Ɠil n'osant pas trop parler afin qu'elle puisse profiter de la quiĂ©tude. Nous Ă©tions presque en vue du palas quand je repris la J'ai pensĂ© qu'au lieu du restaurant bondĂ©, la quiĂ©tude d'une suite serait plus agrĂ©able surtout qu'il y a une superbe vue sur La grande roue de Londres et la dĂ©tachais sa main de mon bras et entrelaça mes doigts avec les siens. Je m'approchais de la concierge qui Ă©tait derriĂšre le Bonsoir, puis-je vous aider ?- Bonsoir, j'ai une rĂ©servation au nom de consulta les noms sur l'ordinateur. Il releva la tĂȘte vers moi en disant - fit signe Ă  un Veuillez conduire Monsieur ainsi que cette demoiselle Ă  leur suite Nous l'avons suivi... Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re EchappĂ©e belleElhiya Ellis, le Dim 17 DĂ©c - 1829 Un compliment, un peu de rouge posĂ© sur ses joues, un sourire gĂȘnĂ© et politesse de rigeur Ă  ceux qui les avaient accueilli. Un petit "toi aussi" discret avait franchi la barriĂšre de sa bouche rosĂ©e. Pas trop Ă  l aise dans ce genre de cĂ©rĂ©monial. EbourriffĂ© ou complĂštement appretĂ© avait la mĂȘme image simple de douceur collant Ă  son ĂȘtre. Les artifices pouvaient bien s'envoler immĂ©diatement, la blonde n'en serait pas moins Ă©blouit par tant d'attention. Quelques pas dehors, l'explication Ă©tonnante qu'un restaurant ne serait pas assez tranquille et la porte poussĂ©e d'un Ă©tablissement bien trop uppĂ©. Sans mot, se laissant entrainer par le tourbillon assourdissant des Ă©vĂ©nements, la blondinette avaitbsoirit timidement alors qu' on les conduisait vers leur ... suite. Ce mot l'avait dĂ©contenancĂ©, tant de grandeur pour juste ses 17ans. L'annĂ©e passĂ©e elle s'etait empifree de gateaux avec les filles, elles avaient fait des cupcake dont le glaçage avait terminĂ© sur leurs doigts, elles avaient rigolĂ© pendant que sa mĂšre les engueulait. Rien Ă  voir avec aujourd groom avait entreouvert la porte, large sourire aux lĂšvres leur assurant que le repas arriverait rapidement. Il avait rajoutĂ© quelque chose qu'Elhiya n avait pas entendu, bien trop subjuguĂ© par l'immensitĂ© de la piĂšce. Ils Ă©taient deux, les lieux pouvaient bien contenir au bas mot une 10aĂźnĂ©s de personnes. La dĂ©coration finement travaillĂ© respirait le luxe et la distinction. Mais peu de temps Ă  l'observation, le vascillement de petites bougies en terrasse avaient happĂ© son frais du dĂ©but de soirĂ©e semblait ne pouvoir atteindre la table joliement dĂ©corĂ©e. Organisation poussĂ©e jusqu au moindre dĂ©tail, les lampadaire chauffant aux allures parisiennes se callaint parfaitement sur ce balcon. La vue, Ă  cette hauteur, mĂȘlait les prĂ©mices d'un ciel Ă©toiles au scintillement des lumiĂšre de la ville. MĂ©lange qu'elle avait toujours mots lui manquait. Que dire devant un tel dĂ©ballage spectaculaire? Alors elle avait sourit avec douceur, les mains appuyĂ©es sur la rambarde de pierre, les yeux parcourant la vaste Ă©tendue de Londre s'offrant Ă  vraiment trop, tu n'aurais pas du tu sais.. Les choses simples c Ă©tait bien aussi... mais la force de lui dire ce genre de chose s'Ă©tait envolĂ© Ă  peine le son de sa voix s'etait Ă©levĂ©e. Elle s Ă©tait retournĂ©e les opales troublĂ©es pour lui adresser un sourire tendre et rayonnant. Je.. Aveux tuĂ©s Ă  leur toute naissance, Ă  la porte l'employĂ© avait frappĂ©, prĂ©cisant qu'il apportait la commande rĂ©servĂ©e. Dey avait sĂ»rement du aller ouvrir car le temps deporter un coup d'oeil sur la roue de la ville le chariot au drappage blanc avait trouvĂ© place sur le balcon. Les parole a doucereuses attendront encore quelques table servie, les invitations a s'installer avaient suivit. La blonde s'etait exĂ©cutĂ©e, sourire toujours aux lĂšvres. Grignotant un peu de chaque plat prĂ©vu. La fin ne s'etait pas manifestĂ© non Ă  cause du repas de midi un peu trop gras ingĂ©rĂ© mais par ce sentiment de quiĂ©tude et de bien ĂȘtre qui prenait le dessus. Alors quand arrivait le dessert, elle s en Ă©tait Ă©tonnĂ©e. Le temps filait... Daemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Sam 30 DĂ©c - 1811 Elhiya Ellis - Daemon mutuelle“La vie est la plus belle des fĂȘtes.”‱ ♫♫♫ Choix de DeyJ'avais Ă©tĂ© Ă©merveillĂ© par le regard que ma blonde avait posĂ© sur le lieu. Ses yeux clairs avait dĂ©taillĂ© l'ensemble de la piĂšce. Je me doutais un peu qu'elle Ă©tait mal Ă  l'aise et que j'en avais fait beaucoup trop. Mais que voulez-vous, je n'avais jamais su faire dans la demi-mesure. J'Ă©tais un ĂȘtre entier que ce soit pour la bonne cause qui me semblait ou bien quand j'Ă©prouvais de l'Ă©goĂŻsme en particulier envers la verte et argent. D'ailleurs, je lui avais dit dĂ©s le dĂ©part que je serai un ĂȘtre difficile par moment, possessif et inquiet parce que c'Ă©tait tout simplement la premiĂšre fois que j'aimais quelqu'un de cette façon. Je me l'Ă©tai dĂ©jĂ  fait remarquer comme c'Ă©tait Ă©trange lorsqu'on devenait dĂ©pend Ă  ce point d'un ĂȘtre. La foule de sentiments contradictoire n'avait Ă©tĂ© que tempĂȘte jusqu'Ă  prĂ©sent et quand je voyais un autre laisser un peu trop son regard sur ma douce, j'avais la curieuse sensation que mon s'effondrerait sans elle. Mais Ă  cet instant, j'avais chassĂ© loin de moi, cette peur qui m'envahissait depuis quelques temps sans que j'en comprenne vraiment la groom avait fini on travail confirmant l'arrivĂ©e du cela se faisait dans ce genre d'endroit, je lui avais donnĂ© un pourboire assez consĂ©quent. Ce qui me paraissait naturel vu la qualitĂ© de service qu'on me fournissait. Puis il sortit de la piĂšce, nous laissant seuls ma petite amie et On a dix-sept ans qu'une fois et puis c'est un Ăąge important quand on est sorcier. AprĂšs tout, on nous considĂšre enfin comme des adultes. C'est pour cela que j'ai considĂ©rĂ© qu'il fallait le marquer mais surtout c'est la premiĂšre que nous le fĂȘtons ensemble. Je voulais que tout soit parfait pour toi mĂȘme si je rĂ©alise que j'en ai sans doute trop fait et que tu aurais Ă©tĂ© tout aussi heureuse avec quelque chose de plus voulez-vous, il y a des habitudes, qu'une fois inculquĂ©es, ont difficiles Ă  perdre. C'Ă©tait le cas ici. AprĂšs tout, j’avais toujours vu mon pĂšre se mettre en quatre pour ma mĂšre et comme le couple Ă©tait le modĂšle idĂ©ale pour moi, j'avais reproduit ce qui me semblait ĂȘtre le mieux. Puis elle avait hĂ©sitĂ© Ă  parler en faisant mourir sa phrase avant d'avoir pu Ă©noncer un second mot car le service d'Ă©tage Ă©tait garçon avait tout installĂ© sur la table avec dextĂ©ritĂ© comme on l'attendait d'un tel Ă©tablissement. Il nous invita Ă  prendre place et disposa les divers plats devant Appelez si vous avez besoin d'autre chose, remerciais l'employĂ©. Elhiya commença Ă  grignoter ici et lĂ . J'attendis quelques instant pour reprendre la conversation en lui soufflant - N'hĂ©site pas Ă  me dire ce que tu voulais avant l'interruption du serveur. Je suis conscient que, par moment, je suis maladroit et que je ne suis pas le parfait garçon que je voudrais ĂȘtre pour j'avais rĂ©alisĂ© cela plutĂŽt au parc et j'essayais de prendre en compte ce qu'Elhiya avait cherchĂ© Ă  me faire comprendre lĂ -bas. J'ajoutai alors un ton plus lĂ©ger afin d'amĂ©liorer l'ambiance - En tout cas, je suis heureux d'ĂȘtre ici avec toi et de constater que la nourriture te lui avais alors souri avant de piquer avec ma fourchette dans le plat le plus proche de moi. Les minutes avaient dĂ©filĂ© plus rapidement que prĂ©vu. BientĂŽt, j'allais sortir la boite contenant son cadeau. J’espĂ©rais que ce dernier allait lui plaire car j'y avais rĂ©flĂ©chi longtemps. Dans quelques instants, le dĂ©sert serait lĂ  devant nous. J'avais fait un joli paquet que je comptais dĂ©poser devant moment attendu Ă©tait lĂ . Le gĂąteau Ă©tait arrivĂ©. Il Ă©tait au chocolat avec un jolie glaçage oĂč joyeux anniversaire Ă©tait Ă©crit avec le fameux dix-sept. Sur une petite plaque en pĂąte d'amande on pouvait lire en vert le prĂ©nom de ma douce. Les bougies Ă©taient allumĂ©es. J'avais profitĂ© des quelques secondes d'obscuritĂ© pour dĂ©poser mon cadeau prĂȘt d' Ouvre, j'espĂšre que cela te cƓur battait la chamade en attendant sa rĂ©action... Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re EchappĂ©e belleElhiya Ellis, le Ven 5 Jan - 1434 17ans, age de la majoritĂ©, periode de la vie ou ils Ă©taient encore des enfants, mais avec un pied dans la vie adulte. Une vie qui allait basculer, virer tourner suivant les choix qu’ils feraient aprĂšs leurs Ă©tudes. Trouver un emploi, poursuivre une formation, prendre une annĂ©e sabbatique. Tant de choix possible, tant de pseudo libertĂ© qui pouvaient faire peur. 17ans c’était si peut au final
 Un doux sourire s’était posĂ©e sur ses lĂšvres aux propos de son amour. Oui, c’était une annĂ©e Ă  marquer au final. La perte de l’enfance, l’arrivĂ©e dans un monde d’adulte. Ça devait se fĂȘter trĂšs certainement. Comme ça ou autrement. Ça resterait dans sa mĂ©moire un moment. TrĂšs certainement. Alors, mĂȘme si c’était beaucoup trop, mĂȘme si elle n’aimait guĂšre l’exagĂ©ration du Ă  une facilitĂ© financiĂšre, elle continuait Ă  lui sourire d’une infime tendresse. Elle l’aimait si fort, son cƓur s’enserrait Ă  chaque fois qu’elle croisait son sourire
. Alors comment lui dire, que oui, effectivement il avait un peu laissĂ© son adorable enthousiasme dĂ©border ? Impossible. Elle affichait toujours le mĂȘme sourire rayonnant, les mots bloquĂ©s dans sa gorge. Aucun ne trouverait leur chemin de sortie de toute pourtant arrivĂšrent Ă  s’extirper, prenant forme timidement au creux de ses lĂšvres-Dis pas ça, moi je ne vois pas mieux tu saisPourquoi voulait-il se remettre en question ? Elle n’avait jamais fait de reproche, n’avait supposĂ© quoi que ce soit qui pouvait lui permettre de croire qu’elle serait mieux ailleurs que dans ses bras ou sa compagnie. Cette remarque Ă©tait tellement Ă©trange qu’elle ne voyait pas vraiment il avait pu y penser. Garder le silence lui semblait le plus appropriĂ©, surtout qu’un gĂąteau avait pointĂ© son nez avec bougies en prime. Elle rigolait doucement, les petites flammes au-dessus du chiffre s’était superflu, mais elle jouait le jeu et soufflait, comme une gosse alors qu’un petit paquet avait Ă©tĂ© posĂ© Ă  cĂŽtĂ© d’ de cette nouvelle attention, elle avait pris le petit objet en main, le tournant dans tous les sens, s’amusant du bruit avant de se dire que c’était fragile. Elle l’ouvrit avec prĂ©caution pour dĂ©couvrir un collier au pendentif Ă  la forme originale. PremiĂšre question qu’est-ce que c’était ? En fait ça n’avait pas bien d’importance, elle s’était levĂ©e pour sauter au coup du brun et le remercier-Ho c’est trop joli merci, tu me l’accroches ? Daemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Lun 8 Jan - 507 Elhiya Ellis - Daemon mutuelle“La vie est la plus belle des fĂȘtes.”‱ ♫♫♫ Choix de DeyLes mots avaient eu un effet apaisant sur le moment. Toutefois, je ne saurais expliquĂ© comment, cette sensation instinctive qui me faisant sentir que tout ceci Ă©tait trop beau, que quelque chose n'allait pas et bien je n'arrivais pas Ă  m'en dĂ©faire. Aujourd'hui, je ne voulais pas tout gĂącher alors je l'ai refoulĂ©e une fois de plus. Bien sĂ»r, j'avais dĂ©jĂ  tentĂ© d'en parler avec Elhiya mais Ă  chaque fois, elle me disait que je me faisais des idĂ©es. Pourtant, c'Ă©tait lĂ . Se focaliser sur autre chose. c'Ă©tait la seule façon de rĂ©ussir Ă  passer alors qu'elle m'a demandĂ© de lui accrocher le bijou Avec plaisir. Je me suis donc levĂ© et marchĂ© pour me retrouver derriĂšre elle aprĂšs son geste spontanĂ© de joie. Tandis qu'elle me passait la chaĂźne, je me plaçais autour de son cou dĂ©licat les premiers maillons tout en disant - Ce collier appartient Ă  ma famille depuis des annĂ©es. Ce n'est pas une piĂšce vraiment complexe ou extraordinaire aux yeux de certains, pourtant je l'ai toujours trouver magnifique. Et je me suis dis que je l'offrirais Ă  celle qui, un jour, Ă©veillerait en moi l'amour. Et cette personne, c'est toi. Je sais que tu n'es pas fan des longs Ă©changes verbaux. Cependant, ce soir, en te mettant cet objet autour du cou, je veux que tu saches que je t'aime. Non pour ce que tu montres ou ce que les autres voient en toi. Mais simplement parce que tu es toi, Elhiya Ellis. Un fille au caractĂšre bien trempĂ© et qui a su capturer mon cƓur malgrĂ© le sale caractĂšre que je peux avoir par moment. Et comme dirait ma sƓur ou moi-mĂȘme, cela est un vrai fois que j'eus fini d'attacher les anneaux ensemble, je me penchais pour dĂ©poser au creux de sa nuque, un baiser lĂ©ger et doux Ă  la fois. Je sentis le frissonnement de sa peau sur mes lĂšvres et j'aimais cela comme chacune des sensations qu'elle manifestait Ă  mon encontre depuis le dĂ©but de notre relation. Je l'avais vu joueuse, tĂ©mĂ©raire, boudeuse, taquine, sĂ»re d'elle, fragile, triste, Ă©panouie, offerte, en pleine rĂ©flexion... Chaque expression, qu'elle m'avait dĂ©voilĂ©e, avait Ă©tĂ© une bĂ©nĂ©diction de la part des cieux. Je savais que j'avais de la chance, qu'une personne telle qu'elle soit dans ma alors passĂ© mes mains sur son ventre et nicher ma tĂȘte sur Ă©paule en demandant - Veux-tu aller admirer la vue en buvant encore un verre de ce champagne et dĂ©gustant un morceau de gĂąteau ?Je la serrais contre moi, laissant glisser mes doigts sur son ventre... Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re EchappĂ©e belleElhiya Ellis, le Lun 8 Jan - 1209 D’un mouvement de poignet, la cascade de ses cheveux ondulĂ©s se retrouvaient sur le cĂŽtĂ©, laissant Ă  son tendre amour la possibilitĂ© d’attacher le collier. Des yeux, elle le regardait tomber sur son dĂ©colletĂ©, sourire aux lĂšvres. Les explications la touchaient, empourprant ses joues, Ă©treignant son cƓur devant tant d’attention et de dĂ©claration. Des motsUne dĂ©clarationUn frissonLa sensation agrĂ©able de ne vouloir jamais ĂȘtre ailleursDe ne pouvoir connaitre autre douceurDe ne vouloir pouvoir supporter autant De juste vouloir que le temps s’arrĂȘtePour profiterEternellementPour ne pas s’éveillerEt rĂ©aliser que tous les rĂȘves prennent fin un jourQu’il Ă©tait simple de rater une marcheDe tomberDe cette illusion doucereuse dans laquelle il la berçaitElle avait fermĂ© les yeux, Juste pour se dĂ©lecter un peu plusDe sa main sur son ventre,De ses doigts qu’elle entremĂȘlait aux siensDe son souffle chaud dans sa nuqueDe ce trop plein de tendresse,De cette vrille possĂ©dant son estomacDe ce dĂ©sir croissant en son voulait juste qu’il se taise, qu’il fasse comme elle, qu’il sache que l’instant Ă©tait unique et Ă©phĂ©mĂšre, qu’il perdait du temps Ă  vouloir aller admirer la vue, la seule donc elle avait besoin Ă©tait en train de la serrer dans les bras. –NonUne simple nĂ©gation pour rĂ©ponse, alors qu’elle s’était tournĂ©e pour capturer ses lĂšvres et glisser ses mains dans ses cheveux, l’entrainant vers l’arriĂšre dans la suite. Pas besoin de scruter les Ă©toiles dans le ciel, celles qu’il cachait dans ses yeux valaient un million d’entre ellse. Pas besoin de champagne, son parfum, ses caresses l’enivraient suffisamment. Pas besoin d’une part de gĂąteau, le gout de ses lĂšvres la nourrissait amplement. Elle l’avait entrainĂ© jusqu’à un point de chute plus moelleux, sans cesser de se repaitre de son affection, le laissant tomber en arriĂšre sur un lot d’oreille, le lĂąchant uniquement Ă  ce moment, esquissant un doux sourire Daemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Mer 10 Jan - 914 Elhiya Ellis - Daemon mutuelle“La vie est la plus belle des fĂȘtes.”‱ ♫♫♫ Choix de DeyLe non avait rĂ©sonnĂ©, allumant une lueur d'envie et de dĂ©sir dans les prunelles de ma dulcinĂ©e. Juste trois lettres qui avaient Ă©lectrisĂ© nos corps en une seconde. Si la premiĂšre fois, je l'avais guidĂ©e. LĂ , c'Ă©tait elle qui dirigeait. Je mettais donc laisser faire par ma douce en tentant de lui facilitĂ© les choses. Il n'Ă©tait pas aisĂ© de dĂ©placer un type de ma taille et de ma carrure sans que ce dernier y consentait vraiment. Je trouvais son initiative des plus intĂ©ressantes et dĂ©licieuse. Et ce qui me plaisait le plus, c'Ă©tait elle qui avait commencĂ© ce jeu Ă  deux. LĂšvres sur lĂšvres, mains contre mains, doigts entrelacĂ©s entre d'autres doigts. C'Ă©tait ainsi qu'elle m'avait amenĂ© Ă  un lieu plus propice Ă  des Ă©changes langoureux et amoureux. Je mettais donc retrouver dans la suite sur le tas de cousins qui trĂŽnaient sur l'immense lit. Elle me lĂącha pour me sourire et je le lui rendis. Je me redressais afin d'ĂȘtre assis tandis qu'elle Ă©tais debout prĂšs du lit. Je la fis prisonniĂšre, Ă  mon tour, en attrapant l'un de ses bras. Je la tirais vers moi afin de continuer cette joute mot n'Ă©tait nĂ©cessaire en cet instant. Les gestes Ă©taient notre unique moyen de communication. Quelques soupirs traversaient par moment nos lĂšvres Ă  cause des sensations que nous nous procurions. Nous parcourions le corps de l'autre avec une soif insatiable. Chaque millimĂštre de peau chez l'un rentrait en rĂ©sonance avec celle de l'autre provoquant une infinitĂ© de sensations qui poussaient notre soif de l'autre de plus en plu loin avec de plus en plus d'intensitĂ©. Les vĂȘtements avaient fini par disparaĂźtre, laissant place Ă  la voluptĂ© et Ă  cette faim qui ne trouvait sa conclusion que lorsque la communion de deux ĂȘtres atteint enfin son paroxysme et ce fut le cas quand nos corps furent secouĂ©s par un tremblement libĂ©rateur pour chacun tandis qu'un je t'aime Ă©tait venu mourir au creux de mes lĂšvres pour elle. Puis nous nous Ă©tions endormis..Pas de serment. Pas de promesse. Pourtant, Ă  cet seconde, j'Ă©tais persuadĂ© que l'Ă©ternitĂ© nous appartenait Ă  jamais. Que le destin ou le ciel serait clĂ©ment envers nous et que notre amour continuerait Ă  m'Ă©blouir un peu plus chaque jour. A ce moment, j'Ă©tais naĂŻf parce que c'Ă©tait la premiĂšre fois que j'Ă©tais fou d'amour pour un autre ĂȘtre. Je ne savais pas que bientĂŽt tout ceci deviendrait de la cendre dans ma mĂ©moire et qu'un poignard sanglant, au goĂ»t de trahison, dans mon cƓur s'enfoncerait continuellement lorsque je songerais Ă  tous ses instants uniques que je vivais avec elle depuis le premier jour de notre histoire. BientĂŽt les choses cachĂ©es feraient surface balayant tout dans la fureur et dans la rage...Fin du RPHrp Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Lun 15 Jan - 2337 Un Nouvel Amiavec Celui ;Ă©chappĂ©e belle, pour Nous, pour ToiLA accordĂ©sLes jours dĂ©filaient convenablement. A dire vrai, ils dĂ©filaient et on ne les voyait passer. Le quotidien offrait son lot de surprises et de moments partagĂ©s, triomphant adroitement de certaines responsabilitĂ©s qui tombaient sur le bout du nez et finissaient par envahir l'esprit, comme une nuĂ©e de parfois, il s'agissait de laisser la surprise prendre une toute nouvelle forme. C'Ă©tait ce qu'Aya avait en tĂȘte depuis quelques temps, dĂ©sormais. Ce que la sorciĂšre voulait, c'Ă©tait surprendre son bien-aimĂ©. Lui offrir une toute nouvelle occupation, dans ce monde. Une nouvelle du louveteau ne lui vint qu'aprĂšs une mure rĂ©flexion. Un voyage aurait pu faire l'affaire, mais l'acte de voyager Ă©tait bien plus Ă©phĂ©mĂšre que celui de s'occuper d'une petite bĂȘte. Aya voulait offrir un cadeau qui perdure dans le temps. Un cadeau qui laisserait ses marques. La jeune femme prit une longue inspiration et jeta un oeil Ă  la ville qui se rĂ©veillait. Aujourd'hui, c'Ă©tait le grand jour. Le fameux jour qu'on marquait d'un J majuscule, dans les calendriers. Le jour du cadeau. Etrangement, Aya Ă©tait presque aussi excitĂ©e que si c'Ă©tait elle qui allait recevoir ce cadeau. Une certaine agitation d'esprit la faisait claquer des doigts sur sa tasse alors qu'elle vidait son deuxiĂšme cafĂ©. AprĂšs s'ĂȘtre vĂȘtue en vitesse d'un pull lĂ©ger et d'un pantalon noir, la sorciĂšre vĂ©rifia dans sa check-list interne que tout Ă©tait prĂȘt. Azphel Ă©tait dĂ©jĂ  rĂ©veillĂ© depuis longtemps et, d'aprĂšs le mot laissĂ© sur la table de la cuisine, ne serait pas de retour avant le milieu de la matinĂ©e. C'Ă©tait l'occasion ou un voyage quelque peu agitĂ© Ă  Dust & Spite, voyage pendant lequel la jeune femme avait fait attention Ă  ne pas trop effrayer l'animal, Aya jeta un oeil Ă  sa montre. Bon sang. Il Ă©tait dĂ©jĂ  presque dix heures et Azphel ne tarderait sĂ»rement pas. Une bonne dose d'adrĂ©naline la poussa Ă  griffonner quelques mots sur un parchemin SpoilerElle ne voulait pas que sa surprise soit gĂąchĂ©e par le mage qui reviendrait plus tĂŽt de ses emplettes ! Elle n'avait pas tout mis en place pour rien. Il avait fallu,de 1 improviser un abri Ă  Dust & Spite pour la bestiole, au moins le temps de prĂ©parer le reste,de 2 manipuler Azphel pour qu'il aille cherche quelque chose Ă  l'autre bout de la ville, le jour venu,de 3 faire le transfert d'habitation le matin chance, le louveteau Ă©tait encore timide et maladroit. Du coup, la bestiole qui lui mordillait gentiment le bras ne prĂ©sentait pas grand danger, bien au contraire. Elle espĂ©rait cependant que Duchesse n'ait pas dĂ©vastĂ© le salon en sentant l'arrivĂ©e d'un autre prĂ©dateur, mĂȘme de taille rĂ©duite. Et surtout, que la future cohabitation se passerait sans Ă©tait dix heures cinq et le louveteau Ă  la belle couleur blanche marchait maladroitement au coeur des fougĂšres. Aya n'avait aucune idĂ©e de l'emplacement actuel du mage, et l'impatience lui dĂ©mangeait les membres. A plusieurs reprises, la sorciĂšre dut se prĂ©cipiter derriĂšre le bambin pour l'empĂȘcher d'aller trop loin. Ce n'Ă©tait pas le moment pour la forĂȘt d'appeler la craquement sonore l'arrĂȘta nette alors qu'elle grondait gentiment le nouveau compagnon du Reste tranquille maintenant. Ou ce ne sera pas Ă  moi que tu devras rendre des comptes, chuchota-t-elle derriĂšre son Ă©paule. Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Mer 17 Jan - 1438 Avec CelleI l est des jours qui, en apparence, semblent tout Ă  fait ordinaires, mais qui rĂ©servent des surprises extraordinaires. Ce qui en fait des dates marquantes, des souvenirs qui perdurent des annĂ©es entiĂšres. Ce sentiment est renforcĂ© lorsque ces surprises interviennent avec des personnes de la premiĂšre cette journĂ©e Ă©tait d'une banalitĂ© dĂ©concertante. L'on pouvait noter un soleil picorant assez inhabituel pour ce dĂ©but d'hiver, mais les gens, la routine, le quotidien, Ă©taient si programmĂ©s Ă  l'avance que rien ne laissait entrevoir un bouleversement intĂ©ressant. Au rĂ©veil, Azphel Ă©tait parti tĂŽt pour Londres, en quĂȘte de provisions pour la Colline, pour Aya et lui, et pour faire une course pour la sorciĂšre. Si la tĂąche n'avait rien de passionnante en soi, il savait qu'en rentrant en milieu de matinĂ©e ils mangeraient ensemble et auraient tout l'aprĂšs-midi et la soirĂ©e l'un pour l'autre, et cette perspective, si elle Ă©tait manifestement ordinaire, Ă©tait fort pendule s'approchait de onze heures lorsque le mage noir se matĂ©rialisa dans la cour d'entrĂ©e de la Colline ÉtoilĂ©e, les bras chargĂ©s. Le soleil presque Ă  son zĂ©nith avait rĂ©ussi Ă  Ă©clipser la fraĂźcheur que l'hiver installait d'ordinaire Ă  cette Ă©poque de l'annĂ©e et offrait une douceur printaniĂšre. ChĂ©rie ? interrogea la mage en poussant la porte d'entrĂ©e du pied. Une interrogation qu'il reposa en pĂ©nĂ©trant dans le salon. N'obtenant de rĂ©ponse, il dĂ©chargea ses bras sur la table avant de traverser le salon, d'ouvrir la porte fenĂȘtre et de sortir sur la terrasse surplombant un jardin et une vue descendante sur Londres, en ligne d'horizon. Aya ?Renouvelant son appel, il lui sembla entendre la voix de sa chĂšre et tendre. Il contourna la maison et s'aventura en dehors des limites, plongeant dans les arbres environnants. À mesure qu'il s'Ă©loignait un peu du manoir, la voix de la sorciĂšre lui parvint plus distincte, et il sourit Ă  l'imaginer en train de s'Ă©merveiller d'un Ă©cureuil qu'elle aurait vu ou en train de penser Ă  voix haute, sous ce soleil vivace qui incitait Ă  Reste tranquille maintenant. Ou ce ne sera pas Ă  moi que tu devras rendre des haussa un sourcil, se demandant Ă  qui sa compagne pouvait bien parler. Lorsqu'il la vit, il remarqua qu'elle parlait Ă  une petite boule de poils lovĂ©e dans ses C'est donc lĂ  que tu es, dis le sorcier souriant, dĂ©couvrant son visage lumineux. Qu'es-ce que... ?Il arrivait Ă  hauteur de la sorciĂšre et s'arrĂȘta net devant elle. La Belle tenait dans ses bras un petit louveteau qui semblait avoir du mal Ă  tenir en place. Sa fourrure Ă©tait blanche et il Ă©tait si petit qu'il ressemblait Ă  un chiot quelconque, il ne devait pas avoir plus de quelques semaines, guĂšre plus d'un mois. C'Ă©tait une boule de poils tout Ă  fait charmante et craquante, mais le loup Ă©tait reconnaissable dans la forme du museau, l'allongement des oreilles et l'angle de ses petites pattes arriĂšres. S'il paraissait avoir des envies de vagabonder, il possĂ©dait cette mĂȘme mignonitude qu'ont tous les animaux du monde, Surprise ! Je te prĂ©sente notre nouveau compagnon mon coeur, dit une Aya lui parĂ©e d'un sourire d' resta bouche bĂ©e, les yeux pĂ©tillants posĂ©s sur la sorciĂšre, sa main droite s'engouffrant aussitĂŽt dans la fourrure du petit animal tenu lĂ . La bestiole rechigna et prĂ©fĂ©ra tenter de mordiller la main du vieux loup-garou. Ça pour une surprise, c'Ă©tait une trĂšs bonne Quand l'as-tu achetĂ© ? Il est magnifique... Mais tu crois que ça va aller, avec Duchesse ?Azphel ne se posait pas rĂ©ellement la question. Sa panthĂšre noire Ă©tait si parfaitement Ă©duquĂ©e qu'elle ne manifestait aucune animositĂ© envers les humains ou les autres animaux. Il est magnifique...Les bras du mage noir enlacĂšrent Aya, qui tenait ferment le louveteau contre elle. Sur le visage du lycan, un sourire comblĂ© se dessina. Quelques semaines plus tĂŽt, leur anniversaire Ă©tait passĂ©. Ils ne l'avaient pas fĂȘtĂ© avec plus de cĂ©lĂ©bration que cela, mais symboliquement, la date les avaient marquĂ©s tous les deux. Le louveteau n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas un cadeau pour l'occasion, mais aux yeux du mage noir, c'est cela qu'il reprĂ©sentait, en plus d'un autre lien d'attachement pour eux deux. Pensif, il visualisa le tiroir de sa chambre, oĂč Ă©taient soigneusement emballĂ©s, depuis de longs jours dĂ©jĂ , la bague et le collier qu'il avait achetĂ©s pour la sorciĂšre pour leur premier anniversaire... S'il n'avait cochĂ© de jour exact pour les lui offrir, celui-ci s'Ă©tait peut-ĂȘtre dĂ©signĂ©. Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Ven 19 Jan - 1022 Ă  ToiSon coeur tambourinait, Ă  l'approche de l'aimĂ©. Peut-ĂȘtre pas Ă  cent Ă  l'heure, comme le voulait l'expression, mais suffisamment vite pour se rĂ©percuter dans ses oreilles, sa boĂźte crĂąnienne. Suffisamment vite pour la prendre Ă  mĂȘme la louveteau ne voulait pas rester tranquille, entre ses mains et, sans ĂȘtre lourd, pesait tout de mĂȘme son petit poids. Plus tard, la bestiole serait athlĂ©tique et bien plus massive, selon l'alimentation et le soin que les sorciers lui fourniraient. Mais aucun doute qu'il leur fallait profiter de ce moment oĂč la nature offrait une occasion de porter cette merveille dans ces bras. MĂȘme s'il s'agissait dĂ©jĂ  d'une sale petite peste surprise fit mouche, Azphel semblait ravi. Encore plus que lorsqu'il avait reconnu sa compagne, de loin. Les Ă©meraudes du lycan pĂ©tillaient, son sourire s'Ă©largissait. Azphel, bien que trĂšs beau dans sa sĂ©vĂ©ritĂ© et les tĂ©nĂšbres qui l'entouraient habituellement, Ă©tait rayonnant. Un vrai plaisir pour les mirettes d'Aya qui s'Ă©taient tout de suite Ă©veillĂ©es, Ă  ce seul Il y a quelques jours, maintenant. J'ai du amĂ©nager un coin Ă  Dust & Spite, rien que pour lui. Je ne te raconte pas la rĂ©action d'Eris et de Berlioz. Elles n'ont jamais autant hibernĂ© Ă  l'Ă©tage et...Sa voix se perdit dans sa rĂ©flexion. Elle espĂ©rait sincĂšrement que ça se passerait mieux Ă  l'avenir. Car l'avenir, bien que pavĂ© d'incertitudes, restait assez prĂ©visible entre eux. TĂŽt ou tard, les amants s'installeraient ensemble et alors la cohabitation devra bien exister. Pour le meilleur et pour le pire. Elle espĂ©rait sincĂšrement que le meilleur l' Duchesse est assez calme et bien Ă©duquĂ©e. Ça devrait bien se passer. En espĂ©rant que ce monstre-lĂ , grogna-t-elle affectueusement en serrant la petite bĂȘte, soit un gentil et l'Ă©ducation devrait vite commencer. Aya savait qu'elle aurait toujours son mot Ă  dire, tout comme elle avait, Ă  sa façon, Ă©duquĂ© Duchesse lors des absences du maĂźtre de maison. Aujourd'hui, la panthĂšre Ă©tait on ne peut plus attachĂ©e Ă  Aya. Elle espĂ©rait qu'il en soit ainsi avec le nouvel pour l'heure, les remerciements Ă©taient de mise. Azphel semblait rĂ©ellement heureux et l'Ă©treinte qu'ils partagĂšrent tous les trois conforta Aya dans sa dĂ©cision. Azphel avait besoin de ça. Leurs projets persistaient, tout prĂšs. De vengeances respectives en explorations, les mages noirs avaient trĂšs peu de temps pour flĂąner. Mais, au-dehors, un autre quotidien suivait tranquillement son cours. Aya avait Barjow & Beurk, le vieux maĂźtre pour s'occuper, mais Azphel n'avait plus rien depuis qu'il avait quittĂ© Poudlard. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il temps pour lui de se recycler ? De dĂ©couvrir de nouvelles choses ?Prendre un nouveau tournant, pour lui-mĂȘme. Aya le lui souhaitait Je suis ravie qu'il te plaise, chuchota Ă©changĂšrent un long baiser, la main d'Azphel fourrageant tranquillement la chevelure de son alter ego. Ce n'Ă©tait pas le moment de penser, mais bien de profiter de ce qu'ils avaient Ă  s'offrir. Cette mĂȘme passion qui les habitait. Depuis leur rencontre, les premiers risques. Cette flamme patiemment couvĂ©e par les A toi l'honneur, susurra Aya en laissant Azphel prendre le louveteau dans ses sorciĂšre observa les deux canidĂ©s faire plus ample connaissance. Et a priori, le feeling semblait passer tout seul. C'Ă©tait certain. Le sourire Ă©tirĂ© d'Azphel, qui lui jeta un regard comblĂ© alors que la bĂȘte lui mordillait gentiment la main, la persuada qu'elle Ă©tait sur la bonne voie. C'Ă©tait tout ce qui lui importait. Ce sourire et ce sentiment de l'avoir protĂ©gĂ© de quelque chose. De l'avoir rattachĂ© aux rĂ©alitĂ©s. Azphel Ă©tait un grand garçon, mais il avait tellement fait pour elle que la jeune femme ne pouvait que le remercier. Et lui rappeler, Ă  sa façon, qu'elle Ă©tait et serait toujours lĂ . Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Mar 23 Jan - 1636 D ans les bras du lycan, levĂ©s vers le soleil matinal, le louveteau gesticulait d'amusement. Il tirait la langue, tentait d'atteindre en vain le visage du mage qui le tenait, batifolait de ses petites pattes dans le vide. Azphel se demanda s'il devinait la nature lupine de son nouveau maĂźtre, ou si le fait qu'il Ă©tait si enjouĂ© n'avait rien d'extraordinaire pour son jeune Ăąge. Il prĂ©fĂ©rait la premiĂšre option, mĂȘme s'il lui faudrait la vĂ©rifier plus tard... encore qu'il ne s'imaginait pas particuliĂšrement sortir avec son nouveau compagnon Ă  quatre pattes un soir de pleine lune, transformĂ© en Merci chĂ©rie, il me plaĂźt en effet...Le mage posa le louveteau au sol, qui se mit Ă  tourner frĂ©nĂ©tiquement entre leurs jambes et Ă  leur mordiller les n'imaginais prendre un autre animal, avec Duchesse qui est imposante, mais je pense que les deux bĂȘtes peuvent s'entendre oui, et j'ai le temps de m'en occuper, aprĂšs Ă©meraudes brillantes du sorcier se perdirent sur le visage de sa doigts des deux ombres se resserrĂšrent et ils observĂšrent longuement leur nouvel ami en fourrure courir tout autour d'eux, sans paraĂźtre s'essouffler. Il leur rappelait inĂ©vitablement Duchesse Ă  ses premiers mois, rĂ©solument fĂ©lin, joueur et infatigable, avec une insouciance dans le regard et les mouvements qui avait quelque chose d'attendrissant et d'apaisant. VoilĂ  un cadeau qui promettait de changer tous les matins qui allaient suivre pour le lycan. Heureux. Regardant tout autour de lui, cette matinĂ©e printaniĂšre, ce compagnon Ă  quatre pattes joueur, le visage ensoleillĂ© d'un sourire de Aya, la tiĂ©deur de ses doigts serrĂ©s, Azphel prit conscience qu'il Ă©tait heureux, Ă©panoui dans sa nouvelle vie. Il n'avait jamais doutĂ© ĂȘtre comblĂ© avec la sorciĂšre dans sa vie, mais se sentir heureux dans toutes les choses autour de soi a beaucoup plus de valeur que l'apport seul d'une personne dans une existence. Pour une fois, la Colline ÉtoilĂ©e Ă©tait vivante Ă  ses yeux et ne lui rappelait pas des souvenirs douloureux. Elle respirait leur amour et leur volontĂ© inĂ©branlable d'ĂȘtre plissa les yeux en regardant le vieux manoir et tira la main de Aya - Allons faire revivre la Colline, tu veux. On y a quelques souvenirs Ă  deux sorciers se dirigĂšrent vers la bĂątisse, vĂ©rifiant en regardant derriĂšre que le louveteau les suivait bien. S'il parut un instant tentĂ© par l'appel de la forĂȘt, toute proche, il fit demi tour et revint au galop dans les pieds de ses nouveaux Tu sais, si tu veux qu'on refasse quelque chose ici, pour cette adorable petite bĂȘte, on pourrait lui offrir la mĂȘme libertĂ© qu'Ă  Duchesse. Le mage faisait inĂ©vitablement allusion aux premiers mois passĂ©s ici pour la panthĂšre, une Ă©poque oĂč Aya vivait encore lĂ  Ă©galement. Si le manoir gardait une valeur inestimable Ă  ses yeux, c'Ă©tait Ă©videmment pour tout ce qu'il y avait vĂ©cu avec la sorciĂšre, en plus de ces souvenirs plaisants qu'il Ă©voquait. Il devinait derriĂšre les onyx impassibles de la sorciĂšre qu'elle aussi Ă©prouvait beaucoup de choses pour la demeure, et leur premier anniversaire Ă©tant dĂ©jĂ  passĂ©, il savait que tous les deux pensaient maintenant Ă  s'installer passĂšrent la porte d'entrĂ©e du manoir, franchirent le salon, oĂč le louveteau trouva un immense terrain, source de jeux potentiels et d'Ă©merveillement, et sortirent sur la terrasse. Le compagnon Ă  fourrure resta Ă  l' Tu as une idĂ©e d'un nom pour ce petit bout, ou tu prĂ©fĂšres que je choisisse ? Je reviens tout de suite, ajouta-t-il prĂ©cipitamment en faisant demi loup retrouva Ă  l'intĂ©rieur du manoir son congĂ©nĂšre, qui avait Ă©lu domicile sur le canapĂ© oĂč il enfonçait ses coussinets dans le cuir. ArmĂ© d'un sourire vivace, le mage gagna l'Ă©tage et le tiroir de la chambre, oĂč Ă©taient enfermĂ©s les deux paquets achetĂ©s quelques jours plus tĂŽt aux Halles magiques. Les cachant dans son dos, il rejoignit Aya Ă  l'extĂ©rieur et dĂ©posa un baiser sur la joue de sa compagne. Moi aussi j'ai quelque chose pour toi bĂ©bĂ©, pour cĂ©lĂ©brer Ă  la fois nos un an et aussi par plaisir... Parce que tous les secrets nous ont ramenĂ© ici aujourd'hui. Il sortit de derriĂšre son dos les deux paquets cadeaux qui contenait une bague pourvue d'Ă©meraudes et un collier fin, avec une pierre identique en Parce que je suis heureux avec toi mon coeur, et que j'imagine pas la suite sans que tu sois lĂ . Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Mer 31 Jan - 1015 Quel Ă©tait ce sourire, qui Ă©tirait les lĂšvres d'Aya ?Un repos d'Ăąme, et de corps, auquel elle songeait comme une rĂ©compense amplement mĂ©ritĂ©e. La sorciĂšre ne savait dĂ©crire ce moment de fĂ©licitĂ© qui s'emparait d'elle. Tant par la prĂ©sence du Loup que par le cadeau qu'elle lui avait fait. C'Ă©tait aussi simple que cela pour une fois, elle avait aimĂ© faire plaisir Ă  quelqu'un. Il s'agissait d'Azphel aprĂšs tout. Pas de n'importe petit loup fit connaissance des lieux pendant que ses maĂźtres retrouvĂšrent la terrasse. Aya retrouva son faciĂšs impassible, alors qu'elle observait les abords de la forĂȘt. Ses pensĂ©es divaguĂšrent. Certes, ces rares moments de calme et de paix intĂ©rieurs avaient une fin. Quelque part, au loin, rĂŽdaient toujours des dangers dont elle avait conscience. Parfois des Ă©vĂ©nements extĂ©rieurs sur les corps Ă©tait beaucoup trop forte pour ignorer ce qui grondait autour d'eux. Du fin fond de l'Ecosse Ă  quelque part plus Ă  l'est en Europe, jusqu'aux dunes de sable d'un Orient rĂȘvĂ©. Tous les deux avaient des choses Ă  rĂ©gler. Chacun de leur cĂŽtĂ©, mais ils s'Ă©taient promis de s'aider, non ? Alors pourquoi son coeur se resserrait-il Ă  l'idĂ©e d'imposer toujours cela au mage ? Il avait pourtant, bien des annĂ©es auparavant, offert son aide Ă  la gamine. Sans rien lui demander en Ă©change. Si ce n'est de continuer Ă  le suivre peut-ĂȘtre, jusqu'au bout de ses n'avait pas remarquĂ© que le lycan Ă©tait reparti. Ses mains rejoignirent le dossier d'une chaise de jardin, la laissant divaguer confortablement, sans ĂȘtre en proie aux lois de l'Ă©quilibre. Equilibre qui bien souvent se faisait la malle, lorsque d'autres soucis venaient lui encombrer les question Ă©tait donc partie au grĂ© des vents, et la sorciĂšre frissonna lorsqu'elle sentit les lĂšvres de son amant se dĂ©poser sur sa joue. Depuis quand la quittait-il aussi spontanĂ©ment, pour revenir tel un dĂ©mon ? C'Ă©tait ce qu'il Ă©tait, pourtant. Depuis le dĂ©but, un dĂ©mon des vents. Apparu dans sa vie comme un heureux hasard pour la combler yeux d'Aya s'Ă©carquillĂšrent en dĂ©couvrant les deux paquets cadeaux et elle prĂ©fĂ©ra les prendre dĂ©licatement que de poser trop de questions. Il Ă©tait inutile de spĂ©culer sur certaines probabilitĂ©s. Elle ne voulait pas se gĂącher la surprise en tentant de deviner. Et de toute façon, la taille laissait prĂ©sager quelques prĂ©sents en Moi non plus, susurra-t-elle dans un sourire, avant de quitter les Ă©meraudes pour se concentrer sur ce qu'elle tenait entre les doigts. Ce n'est pas une suite sans ne cacha pas une certaine surprise en dĂ©couvrant la bague. Principalement parce qu'on ne lui en avait jamais offert. Elle ne s'estompa pas non plus lorsqu'elle ouvrit le deuxiĂšme Ă©crin, qui contenait un magnifique Azphel..., sa voix s'Ă©touffa quelque peu, d'elle-mĂȘme. C'est visage n'Ă©tait pas froid. Pas spĂ©cialement enjouĂ© non plus. PlutĂŽt douloureux, Ă©perdu quelque part. Elle laissa les bijoux de cĂŽtĂ© pour prendre le visage du loup entre ses doigts. Azphel scella leur Ă©treinte en enlaçant Ă©troitement sa silence se posa entre eux, alors que leurs visages, le plat de leurs nez se rencontraient dans une longue Toujours, tu le sais hein ?- Toujours mon que oui, c'Ă©tait presque douloureux. De savoir qu'on offrait Ă  un autre toutes les clĂ©s pour se dĂ©truire. On n'avait finalement plus Ă  le faire soi-mĂȘme. Il suffisait de s'offrir et de sacraliser le tout par les mots, les gestes, les organes en furie. C'Ă©tait plus difficile qu'il n'y paraissait. Tomber malade d'amour, ce n'Ă©tait pas une histoire de sacrifier pour lui, oui, elle le ferait. Sans rĂ©flĂ©chir plus longtemps. Il avait pris le dessus sur bien des plans, entortillĂ© son instinct de survie. Depuis des annĂ©es, il s'agissait surtout de Tu veux bien me les mettre ? chuchota-t-elle alors que leurs mirettes se retrouvĂšrent. Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Jeu 1 FĂ©v - 1516 L a Colline, l'odeur de ses murs, les mille efflorescences se dĂ©gageant de la forĂȘt avoisinante tout au long de l'annĂ©e transpiraient en Azphel. DĂšs lors qu'il posait les pieds Ă  l'intĂ©rieur, le regard sur les extĂ©rieurs, en plus du florilĂšge de souvenirs surgissaient toute cette Ăąme, cette prĂ©sence, cette force que dĂ©gageait l'endroit. LĂ  oĂč Ă©tait nĂ© Ayaz, lĂ  oĂč la tendresse s'Ă©tait dĂ©sagrĂ©gĂ© au profit de l'amour, oĂč le mentorat s'Ă©tait brisĂ©, oĂč les blessures, les caresses, avaient fait imploser tous les sentiments enfouis au sein des deux sorciers. C'est lĂ  que tout existait, c'Ă©tait lĂ  que le mage noir se sentait le plus Ă  ses pieds, par terre, gisaient les emballages des cadeaux de la sorciĂšre- Tu veux bien me les mettre ?Le loup prit dans sa main la bague acquise quelques jours auparavant, Ă©tendit entre ses paume les longs doigts fins de la sorciĂšre et la lui passa Ă  l'annulaire. Les yeux d'onyx de l'Ă©cossaise posĂ©s sur le bijou brillaient du mĂȘme Ă©clat que les Ă©meraudes qui la composaient. Azphel dĂ©fit ensuite le fermoir du collier et le passa autour du cou d'Aya qui maintenait d'une poigne fragile ses longs cheveux blonds en une queue de cheval VoilĂ  chĂ©rie. Tu n'en avais pas besoin mais ils te vont Ă  couple Ă©changea un baiser langoureux, qui fut interrompu par le retour soudain du louveteau, piaillant autour d'eux. Viens-lĂ  toi, dit Aya en l'attrapant dans ses bras. Azphel les observa longuement, la jolie sorciĂšre tournant sur elle-mĂȘme, le visage rieur, s'amusant Ă  faire l'avion avec un louveteau qui ne rechignait pas Ă  s'amuser. Elle paraissait plus heureuse que jamais, vivante. Était-ce lui, Azphel, qui avait rĂ©ussi Ă  la ramener Ă  la vie ? Bien entendu, elle aurait toujours ses ombres et ses dĂ©mons, qui attendraient son retour vers les tĂ©nĂšbres, mais Aya n'Ă©tait plus la petite fille qui voyait noir partout. Elle respirait, vivait en couleur, lĂ , sur la terrasse, Ă  s'amuser avec le canidĂ© qui ne demandait rien de moins. Le loup-garou pensa que l'animal n'Ă©tait pas un cadeau pour lui, mais une promesse supplĂ©mentaire pour eux. Un lien dont on ne se sĂ©pare ne disaient pas toujours les mots qui provenaient des profondeurs de l'Ăąme, Azphel et Aya n'avaient pas d'Ă©gal pour se montrer leur force de sentiments et leur conviction de l'autre dans leurs gestes et attentions. Cette certitude sentie depuis les tripes, barriĂšre naturelle Ă  tout ce qui les attendait dehors, mais ne leur faisait pas oublier tout le reste, les dangers de Richard et James, la menace constante de Moira, ni leur place d'Ă©quilibriste dans ce monde perdu entre noirceur et espoir de Ă  la place oĂč Aya se trouvait plus tĂŽt, le sorcier sortit de ses songes Des nouvelles de Moira, du rejeton ?Le sourire sur le visage d'Aya s'estompa lĂ©gĂšrement, avant de reparaĂźtre. À sa façon de cligner des yeux, Azphel comprit qu'aujourd'hui n'Ă©tait pas le moment, que ce jour n'Ă©tait qu'Ă  eux, jusqu'Ă  l'aube prochaine. Eux et le petit bout de poil minaudant qu'elle lui dĂ©posa sur les genoux. AprĂšs tout oui, il n'y avait pas Ă  penser au reste. Juste Ă  profiter de ce moment parfait sur la Colline, entrevoir les futures pĂ©rĂ©grinations de Duchesse et du nouvel ami venu, de se laisser emporter vers les moments de joie Ă  venir entre les deux mages noir et leur plĂ©iade d'animaux qui s'agrandissait, de laisser divaguer les souvenirs vers leurs seuls jours heureux, les inaltĂ©rables, ceux qui les voient liĂ©s sans cesse et dans un abandon total, une osmose Comment va-t-on t'appeler, toi ? questionna le mage en caressant la tĂȘte de la boule de poils. Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Lun 12 FĂ©v - 955 C'Ă©tait un doux frisson, une caresse. Sentir le poids plume du bijou prendre place autour de son cou, une lĂ©gĂšretĂ© pourtant lourde de significations. Aya rayonnait. Pas par vĂ©nalitĂ©. PlutĂŽt par bonheur simple d'ĂȘtre entourĂ©e de ce qu'elle voulait, au plus profond d' s'en foutait de ce qui les attendait, les entourait. Elle se savait protĂ©gĂ©e par cet espoir fou, pourtant bien solide, au creux de ses doigts et de ses reins. Elle se savait Ă  sa place dans leur pouce caressa le dessin de la bague et ses grands yeux, d'un gris ce jour-lĂ  Ă©clatant, s'acharnaient Ă  y trouver un dĂ©faut. Tout comme sur le visage du mage, qu'elle retraçait dĂ©sormais d'une caresse lointaine, aprĂšs s'ĂȘtre approchĂ©e de lui et du louveteau. Ce n'Ă©tait pas l'heure des questions. Il le savait. Ils n'avaient pas Ă  interroger un lendemain qu'ils connaissaient dĂ©jĂ , au fond d'eux. Elle prĂ©fĂ©rait faire la part belle Ă  ce qu'ils chĂ©rissaient tous les deux leur liaison, et leur union dans la lumiĂšre et les ombres. Elle savait le mage dotĂ© de la mĂȘme inspiration Ă  ce doigts rencontrĂšrent le pelage soyeux du louveteau, qui renifla la main de la sorciĂšre, avant de s'en dĂ©sintĂ©resser, puis d'y revenir dans une caresse de la langue. Elle Ă©touffa dans un sourire, un rire un peu hasardeux, et essuya le revers de ses doigts sur elle-mĂȘme. - Je vais nous chercher un verre, lança-t-elle doucement, aprĂšs avoir embrassĂ© le front de son amant. Et rĂ©flĂ©chir Ă  un nom pour cette petite chose. Tu n'as pas l'air Avec plaisir, rĂ©pondit-il dans un sourire en qu'elle avait choisi lui permettait d'observer le mage et la bĂȘte faire connaissance. Nul doute que les deux deviendraient sans doute de trĂšs bons amis, et c'Ă©tait ce qu'Aya souhaitait. Quelque chose qui raccrochait Azphel Ă  ce son dĂ©part de Poudlard, celui-ci ne remplissait pas forcĂ©ment ses journĂ©es comme il le souhaitait et elle le surprenait bien souvent, lointain et plongĂ© dans de profondes rĂ©flexions. Le sorcier avait toujours Ă©tĂ© trĂšs secret et silencieux, tout comme elle, mais elle savait que ces rĂ©flexions Ă©taient portĂ©es sur des individus bien particuliers. Son oncle James, qu'il avait laissĂ© en piteux Ă©tat, et le responsable de la mort de Cyrielle, Richard, exilĂ© quelque part Ă  vida les derniĂšres gorgĂ©es d'un excellent whisky qu'Azphel chĂ©rissait dans un premier verre puis se servit un excellent vin rouge. En observant l'agrĂ©able liquide grenat couler dans son verre, la sorciĂšre songea au fait qu'il n'avait plus parlĂ© de ses oncles depuis un bon bout de temps. S'Ă©tait-il passĂ© quelque chose sans qu'elle ne le sache ? Certainement pas. Azphel lui aurait dit quelque chose, bien que les Ă©vĂ©nements se soient trĂšs vite retournĂ©s contre elle lors de leur rencontre avec James. Peut-ĂȘtre voulait-il la protĂ©ger, mais dans tous les cas, le sorcier ne se serait pas mis en danger sans lui dire quelque chose. Il ne pouvait rĂ©apparut sur la terrasse, les mains prises par les deux verres, et Azphel chassa le louveteau de ses genoux pour y accueillir sa compagne. Ils s'enlacĂšrent un instant, Aya les mains chargĂ©es et le mage tout dĂ©cidĂ© Ă  profiter de celle-ci sans dĂ©fense, retraçant la dĂ©licate dĂ©clive de son cou de ses lĂšvres Te voilĂ , chuchota-t-il entre deux baisers, avant d'atteindre le gracieux dessin de la mĂąchoire, le bord des lĂšvres charnues d' une guerre bien personnelle, que se faisait la jeune femme. Celle de ne pas trop vite succomber Ă  ce qu'il dĂ©gageait, Ă  ses gestes puissants et peu contrĂŽlĂ©s lorsqu'il s'agissait d'elle. Pourtant, Ă  chaque fois, elle tapait Ă  cĂŽtĂ© et se laissait aller. Batailler contre ses dĂ©sirs Ă©tait finalement inutile. Il la possĂ©dait toute Je pensais Ă  Nour. Ça veut dire mage ne rĂ©pondit rien, Ă  l'instant, sa bouche Ă©tant occupĂ©e Ă  siroter son verre de whisky. Et elle ne lui en laissa pas l'occasion, d'ailleurs. Ses questions Ă©taient bien trop prĂ©sentes pour ĂȘtre annihilĂ©es. Elle qui avait souhaitĂ© zapper la partie questions sur Moira n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas trĂšs fine. Mais il s'agissait bien trop souvent d'elle. Aya voulait Ă©galement soutenir Azphel dans ses Un voyage Ă  Berlin de prĂ©vu, ces prochains temps ? Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Sam 17 FĂ©v - 1000 L es deux sorciers auraient pu passer la journĂ©e Ă  ne rien faire d'autre que profiter d'ĂȘtre ensemble, enlacĂ©s passionnĂ©ment, comme ils l'avaient fait de nombreuses fois. Si l'attirance entre eux Ă©tait assez logique vue de l'extĂ©rieur, elle ne suffisait Ă  expliquer la densitĂ© magnĂ©tique qui les animait, cette attraction qu'ils ressentaient constamment pour l'autre. Les caresses dĂ©licates des doigts de la sorciĂšre Ă©taient semblables Ă  des brises rĂ©confortantes et rassurantes, autant que des appels Ă  se blottir un peu plus ou Ă  succomber Ă  des moments de langueur si ce jour Ă©tait particulier, Ă  mi-chemin de leurs histoires personnelles et de leur Histoire, il n'Ă©tait pas propice Ă  des coucheries convenues, un dĂ©ballage de draps pour le simple plaisir de l'autre et de sa chair. S'ils n'avaient besoin d'Ă©noncer l'un pour l'autre tout ce qu'ils pensaient, ils avaient conscience d'ĂȘtre Ă  un point crucial de leur vie commune. Etait fini le temps de la protection et des sentiments naissants, des pensĂ©es interdites. Il Ă©tait loin, ce jour oĂč Aya l'avait pris pour un profiteur. Aujourd'hui, ils ne pensaient qu'Ă  vivre ensemble, et si la tĂąche paraissait ĂȘtre d'une simplicitĂ© enfantine, de part les multiples demeures qu'ils possĂ©daient, elle entraĂźnerait beaucoup de complications. La famille de la sorciĂšre comme celle d'Azphel n'Ă©taient pas Ă  ignorer, des membres redoutables de chacune avaient tentĂ© de nuire Ă  Aya. Et ils recommenceraient sans doute. Leur Ă©loignement en matiĂšre d'habitat pour Azphel et Aya avait cet avantage de ne pas les rendre trop faciles Ă  trouver. Vivre sous le mĂȘme toit serait offrir Ă  Moira une cible de choix, Ă  James une raison de revenir...Nour Ă©mit une plainte gĂ©missante, un cri de chiot, quand Aya suggĂ©ra son prĂ©nom, comme s'il donnait son accord. Azphel Nour... LumiĂšre ? C'est parfait, ce mot me correspond bien, si proche des releva la tĂȘte vers sa chĂšre et tendre, il savait que ce mot n'avait de hasard pour elle Un voyage Ă  Berlin de prĂ©vu, ces prochains temps ?Azphel termina son verre de whisky, songeur, et rĂ©arma un lĂ©ger Je sais le quartier oĂč vit Richard, rĂ©pondit-il, il n'y a plus qu'Ă .... Il marqua une pause de rĂ©flexion. J'ai toujours haĂŻ ma famille pour la mort de Cyrielle, tu sais... Mais maintenant d'ĂȘtre si proche de connaĂźtre la vĂ©ritĂ© et de la venger je... je ne sais pas. Je ne flanche pas, je veux tuer Richard. Il le mĂ©rite. Mais je me pose sans arrĂȘt des questions... Quid de sa famille lĂ -bas, d'Ă©ventuels autres sorciers sur place... de moyens de dĂ©fense... Et puis, pour ĂȘtre honnĂȘte, je pense toujours Ă  James, Ă  ce qu'il t'a fait, la lueur meurtriĂšre dans son regard sur toi...La main du mage se resserra sur le poignet d'Aya, et il enfouit sa tĂȘte un instant dans son long Ça fait longtemps dĂ©jĂ , que James m'a dit oĂč il Ă©tait. MĂȘme si je les sais moins proches depuis l'explosion de la famille... je pense qu'il aurait pu prĂ©venir Richard de mon arrivĂ©e, et ça ne rend les deux que plus dangereux. Je ne peux aller tout seul Ă  Berlin, ce serait aller au suicide... J'aurais forcĂ©ment besoin de toi, mais je ne veux pas que tu sois un dommage quelques centimĂštres de son visage, Azphel plongea son regard Ă©meraude dans son homologue d'obsidienne. Le nez des deux sorciers se touchĂšrent et ils fermĂšrent les yeux, l'un contre l'autre. Sur la terrasse de la Colline, seuls les chants de quelques oisillons et les jĂ©rĂ©miade de Nour qui gambadait seul dans la cour dĂ©rangeaient la communion des deux Je veux finir tout ça, je crois qu'il est temps. Et je sais qu'aprĂšs... on pourra passer Ă  autre chose, vivre plus sereinement, tu vois ? Et peut-ĂȘtre que je me trouverais une nouvelle vocation, qui sait... Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Mar 20 FĂ©v - 1631 Attention, RP bras d'Azphel avaient ce quelque chose de rassurant, mĂȘme lorsque la conversation dĂ©rivait sur des sujets peu rĂ©jouissants. Mais ce n'Ă©tait pas le problĂšme, au final. Les deux sorciers partageaient tout cet amour indescriptible, leurs idĂ©aux, leurs problĂšmes, leurs parcours, parcours qui s'Ă©taient aujourd'hui oncles du sorcier ne constituaient pas un sujet tabou, Ă  proprement parler. Bien sĂ»r, le couple ne parlait que trop rarement de la famille d'Azphel et plus particuliĂšrement de sa soeur, mais ce n'Ă©tait pas trĂšs Ă©tonnant. Tout comme Mysie, Cyrielle reprĂ©sentait un passĂ© qu'ils tentaient tous les deux d'oublier, bien que difficilement parfois. Tout ce qu'ils dĂ©siraient aujourd'hui, c'Ă©tait repartir du bon pied aprĂšs avoir fait ce qu'il fallait faire. Pour Azphel, venger la mort de sa soeur, pour Aya, venger la mort de sa tante mais Ă©galement se venger elle-mĂȘme, de tous les troubles que Moira avait pu lui Az', je serai toujours prĂšs de toi, chuchota la jeune femme aprĂšs avoir retrouvĂ© les Ă©meraudes de son compagnon. Je t'aiderai Ă  venger ta soeur, coĂ»te que coĂ»te. Je ne serai pas un dommage collatĂ©ral, non. Je me battrai avec toi, pour toi et on y arrivera. Mh ?Le sourire qu'elle lui offrit dĂ©clencha le sien, rayonnant mais quelque part Nous nous le sommes promis, mon amour, continua la sorciĂšre en jouant avec une mĂšche de cheveux d'Azphel. C'est toi et moi, jusqu'au hochement de tĂȘte significatif, avant qu'il ne se rĂ©fugie dans le cou de son amante, qui l'enlaça de plus belle de ses longs bras Je te le souhaite mon coeur. Te trouver une nouvelle voie, nous retrouver tous les deux. Finir ça ensemble pour repartir sur de nouvelles bases et peut-ĂȘtre...- ..., marmonna-t-il contre sa Pardon ? demanda-t-elle en reculant lĂ©gĂšrement le menton, comme pour tenter de percevoir ses Je t'aime dĂ©clarations avaient toujours le mĂȘme effet. Celui du feu en plein dĂ©sert, nĂ© entre ses dunes, mort d'une pluie qui n'arrivait jamais. La flamme, dĂ©mon entre ses reins, ne se contenta pas de cet aveu. Aya voulait Azphel plus que n'importe qui. C'Ă©tait un cri du coeur, un cri du corps. Organes entiers en chamaille au passage de ses doigts, mĂȘme, de son regard. PassĂ©e au crible par ses prunelles, il savait tout, devinait tout en elle. Jusqu'au plus infime penchant d' mains d'Azphel s'insinuĂšrent sous le haut de sa compagne, remontĂšrent Ă -mĂȘme la peau pour agripper son dos frĂȘle. Leurs prunelles se rencontrĂšrent, long moment d'intensitĂ© palpable alors que la patte du Loup venait s'enticher de la nuque de sa Belle. Les retrouvailles de leurs bouches affamĂ©es Ă©taient prĂ©visibles, et d'autant plus intenses. Le baiser que lui imposa le mage Ă©tait chargĂ© de signification, d'appartenance aveugle Ă  ce qu'ils estimaient ĂȘtre leur couple, leur duo d'ombres, toutes offertes l'une Ă  l' minutes se dĂ©sagrĂ©geaient en souffles conquis et complices. Il n'Ă©tait question que de quelques secondes pour la dĂ©vĂȘtir, que d'un instant infime de rĂ©flexion pour s'offrir toute Ă  lui. Azphel avait ça dans ses mains, dans ses lĂšvres qui remontaient la peau nacrĂ©e de sa nymphe, perdue sous ses doigts. Les mots ne servaient plus Ă  faire Ă©clore le dĂ©sir. Sa prĂ©sence, son souffle il fallait taire la violence des Ă©motions qu'il se chargeait de faire naĂźtre. Les coups de bassin amourachĂ©s de sa femme, en proie Ă  ce qu'il provoquait, lui arrachaient des soupirs lascifs. Il n'avait qu'Ă  animer la poupĂ©e pour qu'elle rĂ©ponde comme il le Comme ça ? chuchotait-elle, candide, alors qu'il se perdait en plaintes contre sa aimait ça, bon sang qu'elle aimait ça, perdre le contrĂŽle tout en le gardant sur lui. Il ne pouvait dĂ©cider, seulement supporter, quĂ©mander, doigts enfoncĂ©s jusqu'au drĂŽle de tantrisme Ă  leur image il n'avait qu'Ă  la dĂ©pouiller de toutes ses sensations pour s'en accaparer, deux corps joints Ă  l'unisson. Plus rien n'avait de sens que leur union, plus rien ne semblait les satisfaire que de s'offrir l'un Ă  l'autre. Une jouissance toute en Plus fort, grognait-il alors qu'elle accĂ©lĂ©rait, poigne fĂ©roce glissĂ©e autour de la gorge de sa belle, sa gosse perdue jusqu'au Encore ? exhala-t-elle, toujours, toujours. Coeur au bord des lĂšvres, poumons emplis de lui. Il ne suffisait plus seulement de donner, il fallait continuer. Le sentir grandir en elle. Le sentir tout faire chavirer. Re EchappĂ©e belleContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

Droitd’auteur: alekseyk1975 / 123RF Banque d’images La veste est un vĂȘtement courant, mais c’est aussi un objet qui a Ă©tĂ© une source d’inspiration pour la crĂ©ation d’expressions idiomatiques. DĂ©couvrons les expressions qui comportent le mot veste.. Expressions imagĂ©es . Voici des expressions idiomatiques avec le mot veste.Lisez les exemples et essayez de Mon regard se figea quelque instant sur le visage de la princesse acide. Elle n’avait pas tort, on ne manquait pas franchement de flotte
 par contre qui dit point d’eau dit proie et surtout on peut se planquer dedans en utilisant la bonne veille technique de la paille. Puisque quitte Ă  boire de l’eau, je prĂ©fĂšre qu’on mettre un sceau d’eau dehors, et boire la pluie que celle d’une sorte de mare aux canards. Je ne lui rĂ©pondis pas. Techniquement trĂšs efficace, pour Ă©viter d’attiser le feu. Je le fais avec ma sƓur quand elle est trop chiante. ImmĂ©diatement, elle se calme, puisque je ne lui donne pas de matiĂšre Ă  montrer dans les tours. Non, pas que craignant de m’engueuler avec Kara. Mais simplement, que je sentais bien, qu’elle Ă©tait Ă  bout et qu’elle en avait pleins le derriĂšre !Je reportais mon attention sur le lavabo et puis elle craqua. Ce n’était pas vraiment du rĂ©confort mes phrases, ça je ne sais pas du tout faire
 mais alors pas du tout. Plus de l’humour, pour pas qu’elle s’effondre et pleurniche. Enfin, j’ai du mal Ă  la voir se lamenter comme une pauvre femme faible et dĂ©sespĂ©rer. Mais au cas oĂč, je ne dĂ©sirais pas voir se spectacle. Qu’elle pleure ok, mais pas de maniĂšre de gonzesse effarouchĂ©e. Je n’ai pas besoin de ça, faut survivre malgrĂ© nos emmerdes ! C’est malheureusement le cas oui, nous sommes dans la merde, perdu et avec l’envie de partir loin de tout ça. En tout cas, elle se mit Ă  rire, c’est bon signe ! Et sa petite rĂ©plique m’arracha un rire Ă  mon tour. Oh si ça peut rendre service Ă  sa majestĂ© 
 » Fis-je dans la mĂȘme lancĂ©e ironique, sans me douter qu’au fond d’elle, elle en Ă©tait presque sĂ©rieuse. Elle obtempĂ©ra Ă  ma proposition sur l’eau. Il est toujours Ă©trange, que de se laver un peu, permet d’oublier un court instant la galĂšre. Cela a toujours eu un effet assez Ă©trange sur les gens et bĂ©nĂ©fique sur leur comportement aprĂšs. Pour ça, que je ne comprenais pas les humains, qui ne se lavait jamais. Un coup d’eau et zou, une bonne humeur. À moins que cela soit un rĂ©flexe de personne civilisĂ© ? Peut-ĂȘtre bien aprĂšs ricanai Ă  sa petite mention sur l’eau. Il y a quoi ĂȘtre dĂ©goutĂ©e en effet. Cela me fit prendre conscience, que j’avais le pantalon humide, mon vĂȘtement de pluie avait dĂ» se prendre des coups, pour ne pas dire s’ĂȘtre fait dĂ©chirer bien gentiment par les pierres dans la pente. Ce matĂ©riel Geniis, c’est de la camelote en boite ! Si on ne chope pas la crĂšve avec toutes nos conneries du jours
 je pense qu’on pourra louer qui ont veut, pour elle un dieu si elle est croyante, mais moi les Lays, d’avoir une vigueur de malade !Enfin bon, ce petit frisson, me fit prendre conscience que cette commode serait bien en petit morceau pour faire un feu et se rĂ©chauffer. Kara, loin d’ĂȘtre en reste d’humour, me fit arrĂȘter mon geste et je pouffai. Ouai
 Normalement les princesses sont des reines du logis... Le prince va Ă  la guerre » Dis-je amusĂ©. Il y avait beaucoup de conte plus ou moins commun Ă  travers les cultures. Chez les Geniis, on en avait des trĂšs anciens, sur une monarchie qui n’existe plus depuis les premiĂšres sĂ©lections Wraiths. Mais, le principe de la femme au foyer est trĂšs prĂ©sent, mĂȘme le besoin de soldats les a rendus indĂ©pendante et des membres a part de la sociĂ©tĂ© au mĂȘme titre que les hommes. Tu ferras le mĂ©nage et le repassage et moi, le bois et la cuisine » RĂ©pliquait-je d’un ton lĂ©ger. J’avais presque envie de lui dire, que ma sƓur ne savait pas faire Ă  manger et quand c’est le cas, on mourrait bel et bien Ă  cause d’un poison, mais je m’abstenue de lui rĂ©vĂ©ler les talents flippants de ma jumelle. Le meuble fut la matiĂšre premiĂšre Ă  un beau feu dans la cheminĂ©e. J’ai toujours trouvĂ© les flammes fascinantes, qu’il dommage de ne pouvoir les toucher sans se faire mal. Tout en me rĂ©chauffant, je comptais les tubes encore intacts, qui furent sorties du sac, qui n’avait franchement pas belle allure. Avec mon couteau je dĂ©chirai la partie saine du tissu pour en faire un nouveau sac, histoire de ne pas perdre notre butin. Il est vrai qu’on aurait l’air fin chez nous, de dire qu’on a mis autant de temps pour rien. Druan, ne serait pas ravi, mais au final je n’aurais strictement rien dĂ©penser de ces piĂšces d’or, donc il allait pas m’embĂȘter ! Enfin qu’importe, je ne pense pas qu’il soit derriĂšre mon cul, pour demander des comptes, surtout pour des tubes. Lui se qui l’intĂ©resse c’est la finalitĂ© ! Je n’ai pas de compte Ă  rendre. Tant que je fais mon travail » Dis-je en haussant les Ă©paules. Je me levai, pour mettre prĂȘt de la porte le sac usagĂ© avec le verre brisĂ© dedans, en cas d’attaque, lancer des projectiles coupants Ă©taient une bonne idĂ©e. Puis, revenu prĂȘt du feu Ă  cĂŽtĂ© de la miss, qui se leva 
 elle a la bougeotte tout comme moi ont dirait. Oui, mais si on peut nous laisser peinards durant la nuit, ça me va » De toute façon, que pouvons-nous faire avec cet orage ? Je n’y vois que dalle et elle ne pouvait pas gambader des heures et des heures sous cette flotte. Autant restĂ© lĂ , tranquillement attendre que mĂšre nature se calme. Et on bougera. On avait le confort d’ĂȘtre perdu et les Geniis, n’allaient pas nous trouver je suivis ses mouvements
. Elle se radinait avec 
 non sĂ©rieux une bouteille d’alcool ? Mais cela devait ĂȘtre du bon tors boyaux de chasseur ! Je ne pus m’empĂȘcher de sourire d’un air complice. On allait s’occuper oui ! Ah ! Je sens que tu vas ĂȘtre cuitĂ© rien qu’en la sentant ! » Une petite provocation gratuite. Je tendis la main, pour ouvrir la bouteille et oui, elle sentait fort l’eau de vie au fruit. Je ne sais pas si c’est une bonne idĂ©e de boire alors qu’on a des Geniis aux fesses. Mais, tant qu’on n’est pas trop rond ça va » Et puis accessoirement j’ai une bonne rĂ©sistance a ce genre de breuvage ! Si vous savez ce que boit Teb’
 ça dĂ©colle la tapisserie ! AprĂšs il ne faut pas oublier, que la notion de danger m’étais floue, sur le coup, mon esprit Ă©tait ravi de boire un peu et d’oublier cette journĂ©e et mon instinct me faisait remarquer de ne pas trop en abuser pour ĂȘtre opĂ©rationnelle si on est encore attaquer. Il fut un temps oĂč elle lui aurait rĂ©pondu qu’elle tenait trĂšs bien l’alcool mais ce temps Ă©tait rĂ©volu. Et puis l’évidence Ă©tait devant ses yeux..la diffĂ©rence de gabarit. Naalem Ă©tait une armoire Ă  glace et pas Kara. Mais quand mĂȘme de lĂ  Ă  ĂȘtre cuitĂ© qu’avec l’odeur il ne fallait pas pousser. Je vais au moins tenir deux verres face Ă  toi...d’ailleurs en parlant de verre. Ou ce que c’est qu’ils sont ?» La jeune femme fit le tour de la cabane presque en chantonnant pour trouver des verres. Mais niet, nada, y’avait rien d’utilisable dans ce taudis. Tout en continuant ses fouilles, Kara rĂ©pondit Ă  Naalem. Tu sais quoi? Je les emmerde les Geniis.» VoilĂ  ça c’était dit. La brune n’avait pas l’habitude de parler aussi mal mais les circonstances Ă©taient exceptionnelles. Bon y’a pas de verres donc on va la faire Ă  l’ancienne cette bouteille, direct au goulot. » Kara Ă©tait passĂ©e en mode “ lachĂ© prise” et ça pouvait faire bizarre Ă  Naalem. Elle vint donc s'asseoir en face du feu, attendant qu’il fasse de mĂȘme. Ils n’allaient quand mĂȘme pas boire debout. Deux verres ? Eh bah cela allait ĂȘtre du rapide. BĂȘtement je me mis Ă  rire, l’imaginant ronde comme une queue de pelle. Et son gros mot renforça mon rire. Mais c’est qu’elle en disait des grossiĂšretĂ©s la princesse dit donc ? Enfin je ne vais pas me vexer, pour moi, je ne suis plus Geniis, depuis que je me suis barrĂ© de leur ville de tarĂ© souterrain. La vie de lapin, ce n’est pas mon trip. Eh bien princesse on se lĂąche ! » dit-je d’un ton jovial, j’aime bien cette nouveautĂ©, ĂȘtre trop austĂšre ou engoncĂ© dans un protocole verbal ce n’est pas bon. Faut savoir dire un beau merde » parfois et un peu de vulgaritĂ© dans des moments aussi dĂ©sespĂ©rer ça dĂ©tend. Et ça la rend moins cul pincĂ© la demoiselle. Sa recherche de verre fut un Ă©chec ! bof, Ă  l’ancienne, pas besoin de s’embĂȘter Ă  prendre des verres. Oui, ne t’embĂȘte pas va ! Je suis Ă  jour sur mes vaccins et je ne suis pas malade ». Je me tournai pour lui faire face. On ne va pas boire comme le papi pour le principe de se mettre en l’air 
 Chez les tĂȘtes couronnĂ©es, vous avez bien un jeu ou ce n’est pas dans le protocole ? ». Oui elle se lĂąchait car sinon c’était ses nerfs qui allaient lĂącher et elle ne voulait pas rejouer la scĂšne de la pauvre Princesse en dĂ©tresse. Et puis Kara Ă©tait plus proche de la fille joyeuse qui aimait s’amuser que de la Princesse guindĂ©e. Du moins elle Ă©tait comme ça plus jeune, quand Naalem l’avait vu pour la premiĂšre fois mais dommage pour lui ce soir elle n’avait pas Ă©tĂ© d’humeur. Elle rigola Ă  sa phrase en l’imaginant se faire piquouser pour ĂȘtre vaccinĂ©...fallait pas qu’il bande ses muscles sinon l’aiguille se casserait. Bref, elle lui prit la bouteille des mains pour boire une gorgĂ©e. Elle se mit immĂ©diatement Ă  tousser, comme si du feu descendait dans sa gorge. C’est fort ce truc. » Kara tendit la bouteille vers Naalem pour que lui aussi se brĂ»le le gosier. La jeune femme mit un moment Ă  reprendre une voix normale. Elle essaya de sortir quelques sons, mais on aurait dit un dragon tentant de communiquer. Elle Ă©tait persuadĂ©e que si elle mettait du feu devant sa bouche, en soufflant dessus, elle allait tout embraser. Ouuuuhhh lĂ  si tu savais tout ce qu’on fait qui n’est pas dans le protocole. Oui on a un jeu, le “ as-tu dĂ©jĂ  fait ? “ Je te pose une question, si tu as fait ce que concerne la question tu dois boire une gorgĂ©e. Du style as-tu dĂ©jĂ  de bu de l’alcool ? oui donc tu bois. Autant dire que les questions sont souvent trĂšs intimes ». Eh bah
 voilĂ  qu’elle me prendre la bibine sans mĂȘme demander. Elle en avait besoin. IntĂ©rieurement je me mets Ă  rire, comme quoi l’alcool c’est universel pour aller mieux et s’en ait presque flippant que les humains soient si prĂ©visibles et similaires Ă  l’autre bout de la galaxie. En tout cas, vu sa tĂȘte, ça doit ĂȘtre lui pris la bouteille pour sentir et boire une petite gorgĂ©e histoire de jauger le breuvage. Oh putain mais oui ! Je fis une petite moue un peu pliĂ©e. Mais aussi fort que cela soit, il y a un bon petit arriĂšre-goĂ»t de fruit qui passe large ! Ouai
 enfin elle est plutĂŽt bonne, quand le cĂŽtĂ© fort passe » fis-je en ricana,voyant ses efforts Ă  communiquer. Elle Ă©tait enrouĂ©e. Bon ça me rassure vous ĂȘtes des gens normaux » fis-je ironiquement, faut dire qu’on s’en fait tout un patacaisse de la royautĂ©, enfin dans l’imaginairede mon peuple. Je connais ce jeu. Ça me va bien
 ! » Je m’en fou du cĂŽtĂ© intime, je choisirais de dire ce qui m’intĂ©resse on peut toujours esquiver de maniĂšre intelligente Ă  ce jeu ! Alors as-tu dĂ©jĂ  fait quelque chose de proscrit par ton peuple ? » Je commence fort !Bonne, mouais, Kara avait dĂ©jĂ  goĂ»tĂ© bien meilleur mais vu leur situation elle allait sans problĂšmes se contenter de ça. Et bien sĂ»r que les royaux Ă©taient des gens normaux, ils avaient juste une vie diffĂ©rente. Quoi que grĂące Ă  tous ses voyages, Kara avait rĂ©alisĂ© qu’elle avait vraiment une vie de privilĂ©giĂ©e. Par contre elle n’allait pas culpabiliser par rapport aux gens pauvres. Certains ne sont pas normaux mais la plupart on sait trĂšs bien qu’on est des chanceux. » La jeune femme n’avait eu que cette idĂ©e de jeu qui lui Ă©tait venue en tĂȘte. Ce n’était surement pas le meilleur jeu Ă  faire avec un inconnu mais pas trĂšs grave vu qu’ils ne se reverront pas aprĂšs s’ils arrivaient Ă  sortir d’ici. Et dans le cas oĂč ils n’y arriveraient pas, les Geniis les tueraient donc elle n’avait pas de soucis Ă  se faire pour sa rĂ©putation. La premiĂšre question partait fort dĂ©jĂ . Eh ben.. Elle lui prit la bouteille des mains pour boire une gorgĂ©e. Normalement je devrais limite boire toute la bouteille avec une question pareille. As-tu dĂ©jĂ  regrettĂ© d’avoir fait quelque chose de mal dans ta vie ? » J’hochai la tĂȘte, je ne connaissais pas cette vie, la mienne Ă©tait bien trop Ă©trange. Dans un sens j’ai Ă©tĂ© aussi privilĂ©giĂ© d’avoir le paternelle grand officier, cela nous a permis avec Teshara de ne pas ĂȘtre tuĂ© Ă  cause de nos comportements Ă©tranges
 et intĂ©grĂ© l’élite des forces de Koyla. Quoique ce dernier point fut surtout dĂ» Ă  notre propre fait, on ne fait pas l’impasse sur des gĂ©nies. Mais bon, au final, je n’ai pas connu le mystĂšre des pas fond de nos villes souterraine Ă  racler la cuvette des chiottes des soldats. Mais dire que j’avais Ă©tĂ© rĂ©ellement dans un confort
 vu ce que je peux me crĂ©er et me construire, mon ancienne vie est miteuse. La vie de Geniis est miteuse de toute donc et sans surprise, elle but une gorgĂ©e. Pas trĂšs sage la princesse
 » Dit-je avec un rictus malicieux. J’aime bien les nanas qui sont rebelles et non coincĂ©es Ă  dire que la moindre chose est mal. Enfin quand on ne sait pas oĂč est la notion bien & mal, on ne peut qu’aimer les personnalitĂ©s qui ne s’embĂȘtent pas avec les rĂšgles. Par contre sa question, comment dire
mais me laissa quelques secondes dans mes pensĂ©es et cela devait se voir que je semblais un peu dĂ©contenancĂ©. Le regret. Je savais la dĂ©finition littĂ©rale de ce mot, mais selon les mĂ©decins, je n’ai pas la comprĂ©hension de ce genre de ressentis
 Je trouve ça con, je peux tout ressentir non ? Enfaite non, je sais bien que quelque chose cloche et j’en suis plutĂŽt fier de ne pas ĂȘtre aussi faible que la plupart de mes congĂ©nĂšres. Euh qui se plie et de peur quand les Wraith arrive, je suis le seul avec ma sƓur Ă  se dresser et Ă  se battre sans jamais trembler
 Mais cela entraĂźne aussi d’autre Ă©tat, comme le manque d’empathie, quoique en consolant » Kara n’est-ce pas ça l’empathie ? Je n’en sais rien et je m’en fou au final
 peut-ĂȘtre pas. Le regret
 comment les autres l’exprimaient t’ils ? Avait dĂ©jĂ  regrettĂ©e une de mes actions ? Mes actions sont toujours bien et je ne les aurais pas changĂ©es. Peut-aurais-je un jour du regret si l’une d’entre cause la perte de ma moitiĂ©, de ma sƓur
 mais cela reviendrait Ă  me tuer regard alla sur la bouteille et je ne la pris pas. Je ne sais pas ce que c’est
 » Cela pouvait ĂȘtre un truc de gros bras qui se la pĂšte pour impressionner la nana, mais je n’ai pas besoin de rouler des mĂ©caniques. Je ne drague pas et puis bon, j’ai pas cette prĂ©tention de m’embellir plus, je me trouve proche d’une perfection, celle que mon esprit Ă  peint et que j’ai tentĂ© d’atteindre. De toute façon, vu le ton de ma voix, un peu plus faible et mon air un peu déçu de ne pas pouvoir rĂ©pondre favorablement au jeu, montre que je ne mens pas ou que je ne cherche pas Ă  mettre plus de paillette sur une personnalitĂ© qui ne brille pas par la lumiĂšre. Bon a moi ! As-tu dĂ©jĂ  Ă©tĂ© attaquĂ© par un Wraith ? » Pas trĂšs joyeux j'avoue. La jeune femme lui fit un clin d’Ɠil complice. En effet elle n’était pas sage et elle Ă©tait vraiment loin de l’ĂȘtre. La brune n’était pas vraiment la princesse de base, toute belle, toute sage, bonne Ă  marier. Ok elle Ă©tait belle mais pour le reste lĂ  non. Kara avait pensĂ© poser une question tout Ă  fait innocente mais quand elle vit le moment que mis Naalem Ă  rĂ©pondre puis le ton assez bas de sa voix elle savait qu’elle avait touchĂ© un point sensible sans faire exprĂšs. Le but du jeu n’était pas d'embarrasser l’autre et elle aurait pu presque s’en excuser. Bien sĂ»r elle ne le fit pas mais ne dit rien de plus Ă  ce sujet. Quand elle entendit la question, la rĂ©ponse Ă©tait facile Non. Elle avait entendu parler des Wraiths, savait que son peuple avait une certaine trĂȘve mais pas plus. En plus elle ne savait mĂȘme pas si c’était rĂ©ellement une trĂȘve ou autre chose donc elle ne prit pas la bouteille. Donc Ă  mon tour et passons aux choses sĂ©rieuses mais facile...As-tu dĂ©jĂ  couchĂ© avec une femme ? » La PĂ©gasienne avait compris qu’il valait mieux Ă©viter certains sujets donc le sexe Ă©tait un terrain sans risques et comme elle n’était pas prude ça ne lui posait pas de problĂšmes. Et puis elle avait vraiment commencĂ© par du facile oĂč elle Ă©tait sĂ»re qu’il devrait n’avait jamais Ă©tĂ© attaquĂ© par un Wraith ? En avait-elle dĂ©jĂ  vu ? Rien que pour ça, elle pouvait ĂȘtre chanceuse. Ce n’était pas le cas de beaucoup dhumain. Pour ma part oui, plusieurs fois et j’avoue qu’il n’y a sĂ»rement rien de pire que de voir ses immondes crĂ©atures dans le question Ă©tait
 hilarante, je pris cependant sur moi pour ne pas rigoler. J’affichai au contraire une mine grave presque honteuse. Je vous ai parlĂ© de mes talents de comĂ©diens ? Eh bien voilĂ  chose faite. Euh
 ».Je laissai quelques instants filĂ©s dans notre temps. Histoire de la faire mariner un en relevant les yeux vers elle, j’éclata de rire. J’étais plutĂŽt fier de ma connerie moi ! Je pris la bouteille, buvant un coup. Arff c’est super fort, je sens qu’au bout de la cinquiĂšme gorgĂ©e je ne ressentirais plus rien, puisque je n’aurais tout bonnement plus de trachĂ©e ! Haha, je rigole, faudrait que je vide cette bouteille moi aussi
 mon Ă©tat de puceau, est bien loin ! As-tu dĂ©jĂ  couchĂ© avec plusieurs partenaires en mĂȘme temps ? » Soyons dans l’intime et le marrant ! Il pensait vraiment que Kara allait se faire avoir avec son petit jeu d’acteur ? La jeune femme n’était pas nĂ©e de la derniĂšre pluie donc si Naalem lui rĂ©pondait que non, elle saurait que c’était un mensonge. Elle n’était pas dĂ©jĂ  pas tombĂ©e dans son cinĂ©ma il y a des annĂ©es ce n’était pas pour se faire avoir maintenant. Mais non aprĂšs son numĂ©ro il lui dit la vĂ©ritĂ©. Et hop une gorgĂ©e pour le Genii, ils devaient ĂȘtre Ă  Ă©galitĂ© maintenant mais Ă  ce rythme-lĂ  Kara tiendra beaucoup moins longtemps que son compagnon d’infortune. La brune Ă©couta la question...mince si lui aussi restait sur les questions intimes elle allait finir vraiment chiffon carpette. Elle lui prit la bouteille et bu une gorgĂ©e. Le seul point positif de ce tord boyaux c’était qu’elle n’avait plus froid, l’alcool la rĂ©chauffait de l’intĂ©rieur et aussi le feu de cheminĂ©e qui Ă©tait en face d’elle. D’ailleurs elle descendit un peu la fermeture Ă©clair de son haut. À mon tour, as-tu dĂ©jĂ  fais l’amour plusieurs fois dans un mĂȘme journĂ©e mais pas avec la mĂȘme personne ? »Bon je ne l’avais pas bernĂ©, mais bon ce fut trop tentant comme rĂ©action. C’est comme si on vous demande, pourquoi vous ĂȘtes blond ? On ne peut faire que l’idiot. Et puis bon, j’étais content, le but Ă©tait de s’amuser, mĂȘme si de base, ont Ă©tait pas lĂ  pour Ă©clair zĂ©bra le ciel et tomba non loin, cela dĂ©chira le ciel qu’on ne pouvait pas voir Ă  travers les petites meurtriĂšres. Et tant mieux. J’espĂ©rais que d’autres Ă©claires viendraient Ă  tomber sur les pauvres fous, qui galopent dans les sentiers Ă  notre je pris une autre gorgĂ©e de cette liqueur. Je suis rĂ©putĂ©e, pour ĂȘtre un tombeur et me farcir plusieurs nanas dans la journĂ©e m’est dĂ©jĂ  arrivĂ©. Dans un sens, sur RenĂ©gat il est facile de se trouver de la compagnie. Mais, je prĂ©fĂšre les gratuite, celle qui demande un minimum d’attrait. MĂȘme si bon, parfois, allĂ© Ă  la facilitĂ©es n’est pas si mal, quand c’est Ă  but d’entretien. Hum
 As-tu dĂ©jĂ  testĂ© de l’Atlante ? »Kara le regarda d’un air un peu indĂ©chiffrable lorsqu’elle le vit boire en rĂ©ponse Ă  sa question. Ah ben lĂ  il la laissait sans voix. La pĂ©gasienne en conclut une chose, c’est qu’un homme qu’importe sa race restait un homme et Ă©tait donc en grande partie dirigĂ© par ce qu’il avait entre les jambes. Mais plusieurs femmes dans la mĂȘme journĂ©e? La brune ne savait pas si elle trouvait cette rĂ©vĂ©lation dĂ©gueulasse ou pas. Elle entendit sa question et ne prit pas la bouteille. Eh ouais elle n’avait jamais eu d’Atlante dans son lit encore. Ok elle en avait embrassĂ© un plusieurs fois mais ce n’était pas allĂ© plus loin Ă  son grand dĂ©plaisir. Bon elle devait trouver une nouvelle question pertinente
 As-tu dĂ©jĂ  eu des expĂ©riences avec quelqu’un du mĂȘme sexe que toi ? » Je ne savais pas trop Ă  quoi, elle avait pensĂ©e suite Ă  cette rĂ©vĂ©lation
 mais bon qu’importe. Je n’avais pas justifiĂ© mes folies. Par contre, elle n’avait pas essayĂ© d’Atlantes, bon
 peut-ĂȘtre qu’ils sont pas gĂ©niaux, ou qu’elle n’avait pas l’occasion, il doit bien qu’il y avoir que moi entre nous deux, qui se pose autant de questions la seconde question
 je vais vraiment me faire passer pour le libertin de service. Mais bon, ce fut pour voir comment ce fut. Une expĂ©rience de l’un des amants de ma sƓur. Et ce ne fut pas concluant, prĂ©fĂ©rant les femmes. Je bu une gorgĂ©e
 je fais que ça lĂ  ! J’allais te poser la mĂȘme question. Donc miroir » Expression de mon peuple. Alors euh lĂ  si Kara n’avait pas Ă©tĂ© assise elle serait tombĂ©e sur les fesses d’étonnement. Jamais au grand jamais elle n’aurait imaginĂ© Naalem, le mec respirant la virilitĂ© par tous les pores de la peau qu’il ait pu tester les hommes. Cette soirĂ©e allait vraiment de surprises en surprises et lĂ  finalement la jeune femme ne savait pas si cette rĂ©vĂ©lation Ă©tait amusante ou pas. Kara avait une imagination dĂ©bordante et donc lĂ  pas besoin de vous faire un dessin sur les images qui passait dans son cerveau. D’ailleurs une nouvelle question germa dans son esprit un peu pervers mais lĂ  elle ne savait pas vraiment si elle pouvait la poser. Elle Ă©couta la question du jeune homme et prit la bouteille pour boire. LĂ  aussi elle aurait pu boire une grande partie de la bouteille A une Ă©poque Kara avait eu autant de partenaires fĂ©minins que masculins en fait ça c’était arrĂȘtĂ© que depuis qu’elle Ă©tait sur Atlantis. Le liquide descendit dans sa gorge et lĂ  lui brĂ»la. Cette sensation de brĂ»lure restait mĂȘme longtemps aprĂšs l’avoir bu. Kara enleva sa veste Atlante pour rester en dĂ©bardeur. Elle entendait vaguement le bruit de l’orage dehors. Elle n’avait rarement vu un orage durer aussi longtemps. Je commence Ă  manquer d’idĂ©es et Ă  ĂȘtre aussi bien gaie, dis...et si on dansait ? ou Alorssssss » Kara se leva et se mit Ă  marcher dans la cabane en gardant la bouteille dans la main et en buvant quelques gorgĂ©es. Elle s’approcha de Naalem et trĂ©bucha avec l’alcool en lui tombant dessus Connais tu le jeu action ou vĂ©ritĂ© ? » Bon nous Ă©tions deux gros curieux en fait. Au moins, si on meurt dans la journĂ©e qui arrive, on aura bien vĂ©cue. Et ayant une imagination fleurie et heureusement, sinon je ne serai pas un bon concepteur de technologie
un grand technifique ! J’eu plusieurs images cocasses suite Ă  cette rĂ©vĂ©lation. Parfois, je me demandai comme cela devait ĂȘtre entre deux femmes ! Il y a des choses qu’on ne peut connaĂźtre Ă  cause de la barriĂšre du commençais Ă  ĂȘtre bien, sans pour autant pompette comme une trompette. Par contre, je crois que l’alcool vient de me dĂ©truire la gorge, tellement elle est forte. À se demander si les chasseurs ne l’utilisent pas pour dĂ©caper les murs ! Enfin ce fut sur cette constations, que la princesse reine des elfes noirs, dĂ©cida de se lever pour 
 me proposer de danser ? Et la musique ont la fait au son des Ă©clairs ? Je me mis Ă  ricaner comme un idiot, nous imaginant danser sur le son de mĂšre nature en colĂšre ! Ou alorrssssssss ? » Dit-je d’une maniĂšre taquine. Elle Ă©tait drĂŽle et cela tenait aussi du fait qu’elle commençait Ă  ĂȘtre de trĂšs bonne humeur. Je la suivais du regard alors qu’elle ne marchait pas droit, pour finir par me tomber dessus. J’avais les jambes croiser en tailleur et elle se retrouva sur celle-ci. Je lui pris la bouteille. Tu vas finir par la casser la danseuse ! » Je ne fis rien pour la relever Ă  dire vrais. Je pus une gorgĂ© et 
 ça brĂ»le encore ! La vache ! Ouai je connais, chez nous c'est bouge ou parle. Action ou vĂ©ritĂ© ? » Je sens que ça va finir en n’importe quoi ! Et le pire c’est que j’ais Ă  fond, enfin je suis toujours Ă  fond pour faire des conneries ! Kara ne se rappellait mĂȘme plus la derniĂšre fois oĂč elle avait Ă©tĂ© dans cet Ă©tat. Avant Atlantis donc c’était y’a longtemps. C’est fou comme elle jugeait sa vie bien ennuyeuse maintenant. Mais au moins lĂ  en cet instant malgrĂ© le danger qui planait sur eux, elle s’amusait bien. Elle voulait danser, chanter, en fait ce que la jeune femme voulait c’était se lĂącher, oublier la princesse, oublier la diplomate et s’amuser comme quelqu’un de normal. Quand elle se leva, elle se mit Ă  tourner sur elle-mĂȘme ce qui ne l’aida pas Ă  garder son Ă©quilibre alors que ce tord boyaux dĂ©cidait de mettre son grain de sel. Elle se retrouva sur Naalem et fut assez surprise car elle ne se rappelait s’en ĂȘtre autant approchĂ©. Bah pas bien grave ça. Maaiiiis non, elle est solide la danseuse » Elle le regarda en rigolant. Oui bon lĂ  la PĂ©gasienne Ă©tait perdue, l’alcool avait pris le contrĂŽle de son cerveau mais surtout de son corps. InstallĂ© comme elle Ă©tait sur les jambes en tailleur de Naalem, elle passa un bras autour de son cou et braqua son regard vert dans le sien. Je choisis action » Et en mode furtif elle lui piqua la bouteille pour boire une nouvelle gorgĂ©e. Oui oui, elle est solide
 enfin si elle continue Ă  valser elle va se faire mal. Je lui fis une petite moue pour lui dire mais oui mais oui ». Et puis de toute façon, je n’eus pas trop le temps de la charrier sur le fait qu’elle glisse que madame fut sur moi. Bon
 autant si elle Ă©tait vracs, je m’en fichais, mais voilĂ , qu’elle m’enlace avec son regard vert digne d’une tentatrice
 enfin on dira ce qu’on veut des hommes, qu’ils sont forts et qu’ils sont lĂ  pour casser des rotules, mais on reste tous pareils avec une belle nana Faible. Surtout quand elle est dans vos bras, vous ne rĂ©sistez pas longtemps. Enfin si l’idĂ©e de rĂ©sistez-vous traverse l’esprit. LĂ , sur le coup, j’avais pleins d’actions peut chastes Ă  lui bon, c’est facile de profiter de l’alcool franchement. Et en plus, elle me pique la bibine ! Mais
 » Et sans attendre, je lui rĂ©pliquai la bouteille, on allait se chamailler pour ça franchement. Je bu une gorgĂ©e. Bon, comme tu sembles vouloir bouger et danser
 action deux tours Ă  cloche pieds ! On va voir si elle est solide la danseuse » Je fis un petit mouvement de tĂȘte, pour lui dire zou action ! Je commençais doucement Ă  me laisser prendre au jeu et surtout par l’alcool, le ventre vide, on se torche plus rapidement. Non mais Kara venait bien de voir ce qu’il venait de faire ? Il venait d’oser lui prendre sa prĂ©cieuse bouteille, qu’elle avait trouvĂ© au prix d’un danger insurmontable ? Elle lui fit une moue trĂšs enfantine limite Ă  bouder qu’on lui prenne son jouet. LĂ  ils allaient commencer Ă  mal s’entendre s’il lui prenait l’objet de sa convoitise, en plus Kara n’était pas du genre partageuse. Maaaaaaiiiisss ma bouteille...t’es un mĂ©chant pfff » Elle Ă©couta quand mĂȘme le gage qu’il lui donnait, un jeu Ă©tait un jeu. Elle se leva et tourna sur elle-mĂȘme deux fois Ă  cloche pied. La jeune femme avait un peu la tĂȘte qui lui tournait mais elle gĂ©rait bien. Elle revint vers lui et cette fois resta debout face Ă  lui en prenant la bouteille. Alors maintenant Ă  toi, action ou vĂ©ritĂ© ? » Kara Ă©tait d’un tempĂ©rament joueur et provocateur mais lĂ  pour le moment Naalem avait de la chance, elle ne le provoquait pas. Je ne pus m’empĂȘcher de rire face Ă  cet air d’enfant capricieuse ! On la retrouve bien lĂ  ! La princesse ! Oh oui au moins ! Mais je ne le serais pas, si sa majestĂ© daignait partager son breuvage ! » Je gardai la bouteille bien sagement entre mes mains, manquerait plus qu’elle me la pique. Et puis, elle avait un gage Ă  faire. J’attendais avec une certaine impatience, qu’elle se ramasse, mais non madame avait bon Ă©quilibre. Tant pis, cela aurait pu ĂȘtre drĂŽle et j’aurais eu raison de dire qu’elle allait s
mettrebon ordre Ă  [qch] loc v + prĂ©p. (rĂ©tablir la discipline) poner orden en loc verb + prep. Le professeur entra dans la classe et y mis bon ordre. El profesor entrĂł al aula y puso orden. mettre [qch] cul par-dessus tĂȘte loc v. familier (mettre Ă  l'envers, renverser) poner patas arriba vtr
Origine A partir du XIXe siÚcle, l'expression "tomber pile" faisait référence à la maniÚre nette et précise donc tombait une piÚce de monnaie à l'envers, donc sur son cÎté pile. Cette notion de précision concerne également la locution "au poil" qui serait attribuée aux portraitistes du XIXe siÚcle, qui étaient chargés de reproduire des visages "sans qu'il ne manque un poil". La fusion du "tomber pile" avec le "au poil" est à mettre à l'actif de l'émission "les Guignols de l'Info" ce qui accentue encore plus la notion de précision. Signification Arriver au bon moment 38cI.
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