Que signifie rĂȘver dâenfant ? RĂȘver dâenfant sâaccompagne gĂ©nĂ©ralement de bonnes choses. Parce que cette image reprĂ©sente lâingĂ©niositĂ©, la puretĂ©, la crĂ©ativitĂ©, lâespoir et la lumiĂšre. Quoi quâil en soit, le rĂȘve dâun enfant a beaucoup Ă voir avec nos habitudes, nos caractĂ©ristiques, nos idĂ©es et nos valeurs. Il existe Ă©galement une relation directe avec les sentiments exprimĂ©s ou refoulĂ©s, lâimmaturitĂ©, nos forces et nos faiblesses. Par consĂ©quent, lâenfant qui apparaĂźt dans un rĂȘve nous enseigne beaucoup de choses sur nous dans diffĂ©rents aspects de la vie. Et parfois, une certaine complexitĂ© peut mettre en Ă©vidence lâimportance de dĂ©mĂȘler des blocages qui nous viennent de lâenfance. Que dit la psychologie sur un rĂȘve dâenfant ? Dans ce domaine, plusieurs points de vue expliquent ce que signifie rĂȘver dâun enfant. DiffĂ©rentes Ă©tudes prouve que cette vision imaginaire nâest rien de plus que votre moi intĂ©rieur. Câest-Ă -dire que câest lâenfant qui vit en vous; celui que nous portons mĂȘme Ă lâĂąge adulte. Sous ce regard, toute sa vulnĂ©rabilitĂ©, sa puretĂ©, ses dĂ©sirs et sa maturitĂ© y sont reprĂ©sentĂ©s. De cette façon, lâinterprĂ©tation se fait en fonction des actions et des sensations qui se produisent pendant et aprĂšs le sommeil. Les expĂ©riences personnelles de lâenfance du rĂȘveur doivent Ă©galement ĂȘtre prises en compte. Ătonnamment, rĂȘver dâun enfant est bien plus rĂ©vĂ©lateur que vous ne le pensez ! Selon le psychiatre Carl Jung, comprendre son rĂȘve dâenfant conduit Ă une meilleure connaissance de soi. RĂȘver dâun enfant fille Si vous rĂȘviez dâune enfant fille, prĂ©parez-vous Ă des Ă©motions fortes, car le sens principal de ce rĂȘve est lâangoisse. De ce point de vue, une petite fille symbolise que vous souffrez de devoir vous occuper de quelquâun qui ne fait aucun efforts. Câest une responsabilitĂ© qui ne vous fait aucun bien, vous vous sentez dĂ©passĂ© et vous ne voyez pas de solution Ă cette impasse. Si câest un adulte, vous devriez laisser cette personne marcher seule, car ce nâest quâalors quâelle pourra grandir. RĂȘver dâun enfant garçon Un rĂȘve avec un enfant garçon symbolise souvent vos dĂ©sirs de rĂ©ussite sociale et de gains dâargent. Si vous travaillez sur un projet particulier, vous allez mener un combat acharnĂ© pour le voir se concrĂ©tiser se concrĂ©tisera. Car, le rĂȘve dâun enfant garçon est aussi synonyme de combativitĂ© et dâadversitĂ©. Lâenfant garçon, montre en gĂ©nĂ©ral lâaspect rationnel de la vie. Vous devez, donc, vous recentrer sur lâessentiel et non sur les plaisirs et loisirs. RĂȘver dâenfants qui jouent Voir des enfants jouer, dans un rĂȘve, figure parmi les rĂȘves les plus positifs. Câest un signe de joie, de bonnes attitudes envers les autres et dâinfluences positives. Vous avez, peut-ĂȘtre, fait quelque chose de bien pour quelquâun. En tous les cas, vos perspectives seront encore meilleures quâespĂ©rĂ©es, suggĂ©rant de bons vents de carriĂšre ou de bonheur familial. Si vous ĂȘtes dĂ©jĂ dans cette bonne phase, Ă©coutez votre intuition, car de nouveaux chemins semblent sâouvrir. Ensuite, rĂȘver de jouer avec des enfants symbolise une paix et une harmonie intĂ©rieures. Ainsi, votre moi mature et lâenfant en vous sont en Ă©quilibre et vous mĂšneront au succĂšs. RĂȘver dâun enfant sur les genoux Un enfant sur vos genoux dans un rĂȘve indique que vous avez trop de responsabilitĂ©s envers quelquâun dâautre. Peut-ĂȘtre que cette personne est trop dĂ©pendante de vous ou vous surcharge de travail. Dans votre fort intĂ©rieur, il y a une sorte dâangoisse ou de difficultĂ© Ă faire face Ă cette situation devenue pesante. Ce rĂȘve vous suggĂšre de rĂ©flĂ©chir Ă cette dĂ©pendance. Dans la plupart des cas, vous devez la laisser sâoccuper dâelle-mĂȘme. Ou bien, trouvez un Ă©quilibre entre aider les autres et prendre soin de vous. Une autre explication suggĂšre un manque, un vide ou une nostalgie de quelquâun qui nâest plus lĂ . Dans de tels moments, nous nous retrouvons avec notre enfant intĂ©rieur en quĂȘte de refuge. RĂȘver dâun enfant puni Lâenfant puni, dans un rĂȘve, reprĂ©sente une pĂ©nitence intĂ©rieure. Alors, analysez votre vie ces derniers temps et comment vous avez pris vos dĂ©cisions. La plupart du temps, cette situation dans un rĂȘve indique que vous ĂȘtes trop impulsif. Lâenfant puni imaginaire appelle Ă un esprit plus calme, sain et Ă la maĂźtrise de soi. Et ce rĂȘve sâaccompagne dâun avertissement fort pour mieux rĂ©flĂ©chir avant dâagir. Câest parce que vos attitudes ou comportements peuvent nuire Ă vos proches. ThĂšmes associĂ©s au rĂȘve dâenfant Pourquoi rĂȘver de chercher son enfant ? . Le rĂȘve dâadopter un enfant. Une noyade dâenfant en rĂȘve. Lâenfant qui pleure dans un rĂȘve. RĂȘve dâun enfant mort. Le rĂȘve dâenfant selon lâIslam.Presest ma cote, plus pres est ma chemise, dit le proverbe mĂ©diĂ©val1. Pas de vĂȘtement plus proche de la peau, en effet, que la chemise. Et bien que les Romains ne lâaient guĂšre connu â le mot camisia nâapparaĂźt quâen bas latin â pas de vĂȘtement plus communĂ©ment citĂ© dans la littĂ©rature des xiie et xiiie siĂšcles, manteau mis Ă part. DâĂ©toffe de lin, parfois de toile de
Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Rues de LondresDaemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Sam 16 DĂ©c - 2019 Elhiya Ellis - Daemon mutuelleâLa vie est la plus belle des fĂȘtes.ââą â«â«â« Choix de DeyJ'avais vu partir ma douce avec une jeune femme afin de la chouchouter.*J'espĂšre que ce sera un moment agrĂ©able pour elle* avais-je une autre porte s'ouvrit devant et un jeune homme dans le mĂȘme type d'uniforme m'avait invitĂ© Ă la suivre. Pour moi, se prĂ©parer avant une occasion Ă©tait quelque chose de tout Ă fait naturel. Depuis que j'Ă©tais enfant on m'avait habituĂ© Ă mâapprĂȘter en toute circonstance. Que ce soit pour un dĂźner particulier , un anniversaire en famille ou bien des rencontres dans le cadre plus guindĂ© des soirĂ©es mondaines. J'Ă©voluais depuis mon enfance dans un milieu ou prendre soin de son image Ă©tait aussi conventionnel que l'ĂȘtre humain, qu'il soit moldu ou sorcier, me dirigea donc vers un lieu oĂč je pourrai me rafraichir. En quelques minutes, je pus choisir une nouvelle tenue, rien de trop voyant. Moi choix s'Ă©tait portĂ© sur une chemise classique noire accompagnĂ© d'un jeans anthracite. Je sortis de la cabine et suivi mon guide. J'allais passer dans les mains d'un coiffeur. J'en avais Ă©prouvĂ© le besoin car mes cheveux commençait Ă ĂȘtre un peu trop long. Je souris Ă la coiffeuse qui m'installa dans le fauteuil et la laissa travailler alors qu nous Ă©changions des propos assez anodins. Une fois, son travail terminait, elle me sourit et me libĂ©ra. J'Ă©tais satisfait du rĂ©sultat en m'observant dans le Merci, c'est suivis un nouveau jeune homme qui ramena dans le salon. Ma verte et argent m' Tu es encore plus belle que tout m'avançais vers elle et lui tendit la main pour rĂ©cupĂ©rer la sienne afin de la mettre dans le creux de mon Bonne soirĂ©e. Lança la rĂ©ceptionniste alors que nous quittions la Le Dorchester n'est pas trĂšs loin. Je me suis dit que profiter des lumiĂšres de la nuit en se baladant serait traversĂąmes donc les rues qui commençait Ă s' l'observait du coin de lâĆil n'osant pas trop parler afin qu'elle puisse profiter de la quiĂ©tude. Nous Ă©tions presque en vue du palas quand je repris la J'ai pensĂ© qu'au lieu du restaurant bondĂ©, la quiĂ©tude d'une suite serait plus agrĂ©able surtout qu'il y a une superbe vue sur La grande roue de Londres et la dĂ©tachais sa main de mon bras et entrelaça mes doigts avec les siens. Je m'approchais de la concierge qui Ă©tait derriĂšre le Bonsoir, puis-je vous aider ?- Bonsoir, j'ai une rĂ©servation au nom de consulta les noms sur l'ordinateur. Il releva la tĂȘte vers moi en disant - fit signe Ă un Veuillez conduire Monsieur ainsi que cette demoiselle Ă leur suite Nous l'avons suivi... Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re EchappĂ©e belleElhiya Ellis, le Dim 17 DĂ©c - 1829 Un compliment, un peu de rouge posĂ© sur ses joues, un sourire gĂȘnĂ© et politesse de rigeur Ă ceux qui les avaient accueilli. Un petit "toi aussi" discret avait franchi la barriĂšre de sa bouche rosĂ©e. Pas trop Ă l aise dans ce genre de cĂ©rĂ©monial. EbourriffĂ© ou complĂštement appretĂ© avait la mĂȘme image simple de douceur collant Ă son ĂȘtre. Les artifices pouvaient bien s'envoler immĂ©diatement, la blonde n'en serait pas moins Ă©blouit par tant d'attention. Quelques pas dehors, l'explication Ă©tonnante qu'un restaurant ne serait pas assez tranquille et la porte poussĂ©e d'un Ă©tablissement bien trop uppĂ©. Sans mot, se laissant entrainer par le tourbillon assourdissant des Ă©vĂ©nements, la blondinette avaitbsoirit timidement alors qu' on les conduisait vers leur ... suite. Ce mot l'avait dĂ©contenancĂ©, tant de grandeur pour juste ses 17ans. L'annĂ©e passĂ©e elle s'etait empifree de gateaux avec les filles, elles avaient fait des cupcake dont le glaçage avait terminĂ© sur leurs doigts, elles avaient rigolĂ© pendant que sa mĂšre les engueulait. Rien Ă voir avec aujourd groom avait entreouvert la porte, large sourire aux lĂšvres leur assurant que le repas arriverait rapidement. Il avait rajoutĂ© quelque chose qu'Elhiya n avait pas entendu, bien trop subjuguĂ© par l'immensitĂ© de la piĂšce. Ils Ă©taient deux, les lieux pouvaient bien contenir au bas mot une 10aĂźnĂ©s de personnes. La dĂ©coration finement travaillĂ© respirait le luxe et la distinction. Mais peu de temps Ă l'observation, le vascillement de petites bougies en terrasse avaient happĂ© son frais du dĂ©but de soirĂ©e semblait ne pouvoir atteindre la table joliement dĂ©corĂ©e. Organisation poussĂ©e jusqu au moindre dĂ©tail, les lampadaire chauffant aux allures parisiennes se callaint parfaitement sur ce balcon. La vue, Ă cette hauteur, mĂȘlait les prĂ©mices d'un ciel Ă©toiles au scintillement des lumiĂšre de la ville. MĂ©lange qu'elle avait toujours mots lui manquait. Que dire devant un tel dĂ©ballage spectaculaire? Alors elle avait sourit avec douceur, les mains appuyĂ©es sur la rambarde de pierre, les yeux parcourant la vaste Ă©tendue de Londre s'offrant Ă vraiment trop, tu n'aurais pas du tu sais.. Les choses simples c Ă©tait bien aussi... mais la force de lui dire ce genre de chose s'Ă©tait envolĂ© Ă peine le son de sa voix s'etait Ă©levĂ©e. Elle s Ă©tait retournĂ©e les opales troublĂ©es pour lui adresser un sourire tendre et rayonnant. Je.. Aveux tuĂ©s Ă leur toute naissance, Ă la porte l'employĂ© avait frappĂ©, prĂ©cisant qu'il apportait la commande rĂ©servĂ©e. Dey avait sĂ»rement du aller ouvrir car le temps deporter un coup d'oeil sur la roue de la ville le chariot au drappage blanc avait trouvĂ© place sur le balcon. Les parole a doucereuses attendront encore quelques table servie, les invitations a s'installer avaient suivit. La blonde s'etait exĂ©cutĂ©e, sourire toujours aux lĂšvres. Grignotant un peu de chaque plat prĂ©vu. La fin ne s'etait pas manifestĂ© non Ă cause du repas de midi un peu trop gras ingĂ©rĂ© mais par ce sentiment de quiĂ©tude et de bien ĂȘtre qui prenait le dessus. Alors quand arrivait le dessert, elle s en Ă©tait Ă©tonnĂ©e. Le temps filait... Daemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Sam 30 DĂ©c - 1811 Elhiya Ellis - Daemon mutuelleâLa vie est la plus belle des fĂȘtes.ââą â«â«â« Choix de DeyJ'avais Ă©tĂ© Ă©merveillĂ© par le regard que ma blonde avait posĂ© sur le lieu. Ses yeux clairs avait dĂ©taillĂ© l'ensemble de la piĂšce. Je me doutais un peu qu'elle Ă©tait mal Ă l'aise et que j'en avais fait beaucoup trop. Mais que voulez-vous, je n'avais jamais su faire dans la demi-mesure. J'Ă©tais un ĂȘtre entier que ce soit pour la bonne cause qui me semblait ou bien quand j'Ă©prouvais de l'Ă©goĂŻsme en particulier envers la verte et argent. D'ailleurs, je lui avais dit dĂ©s le dĂ©part que je serai un ĂȘtre difficile par moment, possessif et inquiet parce que c'Ă©tait tout simplement la premiĂšre fois que j'aimais quelqu'un de cette façon. Je me l'Ă©tai dĂ©jĂ fait remarquer comme c'Ă©tait Ă©trange lorsqu'on devenait dĂ©pend Ă ce point d'un ĂȘtre. La foule de sentiments contradictoire n'avait Ă©tĂ© que tempĂȘte jusqu'Ă prĂ©sent et quand je voyais un autre laisser un peu trop son regard sur ma douce, j'avais la curieuse sensation que mon s'effondrerait sans elle. Mais Ă cet instant, j'avais chassĂ© loin de moi, cette peur qui m'envahissait depuis quelques temps sans que j'en comprenne vraiment la groom avait fini on travail confirmant l'arrivĂ©e du cela se faisait dans ce genre d'endroit, je lui avais donnĂ© un pourboire assez consĂ©quent. Ce qui me paraissait naturel vu la qualitĂ© de service qu'on me fournissait. Puis il sortit de la piĂšce, nous laissant seuls ma petite amie et On a dix-sept ans qu'une fois et puis c'est un Ăąge important quand on est sorcier. AprĂšs tout, on nous considĂšre enfin comme des adultes. C'est pour cela que j'ai considĂ©rĂ© qu'il fallait le marquer mais surtout c'est la premiĂšre que nous le fĂȘtons ensemble. Je voulais que tout soit parfait pour toi mĂȘme si je rĂ©alise que j'en ai sans doute trop fait et que tu aurais Ă©tĂ© tout aussi heureuse avec quelque chose de plus voulez-vous, il y a des habitudes, qu'une fois inculquĂ©es, ont difficiles Ă perdre. C'Ă©tait le cas ici. AprĂšs tout, jâavais toujours vu mon pĂšre se mettre en quatre pour ma mĂšre et comme le couple Ă©tait le modĂšle idĂ©ale pour moi, j'avais reproduit ce qui me semblait ĂȘtre le mieux. Puis elle avait hĂ©sitĂ© Ă parler en faisant mourir sa phrase avant d'avoir pu Ă©noncer un second mot car le service d'Ă©tage Ă©tait garçon avait tout installĂ© sur la table avec dextĂ©ritĂ© comme on l'attendait d'un tel Ă©tablissement. Il nous invita Ă prendre place et disposa les divers plats devant Appelez si vous avez besoin d'autre chose, remerciais l'employĂ©. Elhiya commença Ă grignoter ici et lĂ . J'attendis quelques instant pour reprendre la conversation en lui soufflant - N'hĂ©site pas Ă me dire ce que tu voulais avant l'interruption du serveur. Je suis conscient que, par moment, je suis maladroit et que je ne suis pas le parfait garçon que je voudrais ĂȘtre pour j'avais rĂ©alisĂ© cela plutĂŽt au parc et j'essayais de prendre en compte ce qu'Elhiya avait cherchĂ© Ă me faire comprendre lĂ -bas. J'ajoutai alors un ton plus lĂ©ger afin d'amĂ©liorer l'ambiance - En tout cas, je suis heureux d'ĂȘtre ici avec toi et de constater que la nourriture te lui avais alors souri avant de piquer avec ma fourchette dans le plat le plus proche de moi. Les minutes avaient dĂ©filĂ© plus rapidement que prĂ©vu. BientĂŽt, j'allais sortir la boite contenant son cadeau. JâespĂ©rais que ce dernier allait lui plaire car j'y avais rĂ©flĂ©chi longtemps. Dans quelques instants, le dĂ©sert serait lĂ devant nous. J'avais fait un joli paquet que je comptais dĂ©poser devant moment attendu Ă©tait lĂ . Le gĂąteau Ă©tait arrivĂ©. Il Ă©tait au chocolat avec un jolie glaçage oĂč joyeux anniversaire Ă©tait Ă©crit avec le fameux dix-sept. Sur une petite plaque en pĂąte d'amande on pouvait lire en vert le prĂ©nom de ma douce. Les bougies Ă©taient allumĂ©es. J'avais profitĂ© des quelques secondes d'obscuritĂ© pour dĂ©poser mon cadeau prĂȘt d' Ouvre, j'espĂšre que cela te cĆur battait la chamade en attendant sa rĂ©action... Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re EchappĂ©e belleElhiya Ellis, le Ven 5 Jan - 1434 17ans, age de la majoritĂ©, periode de la vie ou ils Ă©taient encore des enfants, mais avec un pied dans la vie adulte. Une vie qui allait basculer, virer tourner suivant les choix quâils feraient aprĂšs leurs Ă©tudes. Trouver un emploi, poursuivre une formation, prendre une annĂ©e sabbatique. Tant de choix possible, tant de pseudo libertĂ© qui pouvaient faire peur. 17ans câĂ©tait si peut au final⊠Un doux sourire sâĂ©tait posĂ©e sur ses lĂšvres aux propos de son amour. Oui, câĂ©tait une annĂ©e Ă marquer au final. La perte de lâenfance, lâarrivĂ©e dans un monde dâadulte. Ăa devait se fĂȘter trĂšs certainement. Comme ça ou autrement. Ăa resterait dans sa mĂ©moire un moment. TrĂšs certainement. Alors, mĂȘme si câĂ©tait beaucoup trop, mĂȘme si elle nâaimait guĂšre lâexagĂ©ration du Ă une facilitĂ© financiĂšre, elle continuait Ă lui sourire dâune infime tendresse. Elle lâaimait si fort, son cĆur sâenserrait Ă chaque fois quâelle croisait son sourireâŠ. Alors comment lui dire, que oui, effectivement il avait un peu laissĂ© son adorable enthousiasme dĂ©border ? Impossible. Elle affichait toujours le mĂȘme sourire rayonnant, les mots bloquĂ©s dans sa gorge. Aucun ne trouverait leur chemin de sortie de toute pourtant arrivĂšrent Ă sâextirper, prenant forme timidement au creux de ses lĂšvres-Dis pas ça, moi je ne vois pas mieux tu saisPourquoi voulait-il se remettre en question ? Elle nâavait jamais fait de reproche, nâavait supposĂ© quoi que ce soit qui pouvait lui permettre de croire quâelle serait mieux ailleurs que dans ses bras ou sa compagnie. Cette remarque Ă©tait tellement Ă©trange quâelle ne voyait pas vraiment il avait pu y penser. Garder le silence lui semblait le plus appropriĂ©, surtout quâun gĂąteau avait pointĂ© son nez avec bougies en prime. Elle rigolait doucement, les petites flammes au-dessus du chiffre sâĂ©tait superflu, mais elle jouait le jeu et soufflait, comme une gosse alors quâun petit paquet avait Ă©tĂ© posĂ© Ă cĂŽtĂ© dâ de cette nouvelle attention, elle avait pris le petit objet en main, le tournant dans tous les sens, sâamusant du bruit avant de se dire que câĂ©tait fragile. Elle lâouvrit avec prĂ©caution pour dĂ©couvrir un collier au pendentif Ă la forme originale. PremiĂšre question quâest-ce que câĂ©tait ? En fait ça nâavait pas bien dâimportance, elle sâĂ©tait levĂ©e pour sauter au coup du brun et le remercier-Ho câest trop joli merci, tu me lâaccroches ? Daemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Lun 8 Jan - 507 Elhiya Ellis - Daemon mutuelleâLa vie est la plus belle des fĂȘtes.ââą â«â«â« Choix de DeyLes mots avaient eu un effet apaisant sur le moment. Toutefois, je ne saurais expliquĂ© comment, cette sensation instinctive qui me faisant sentir que tout ceci Ă©tait trop beau, que quelque chose n'allait pas et bien je n'arrivais pas Ă m'en dĂ©faire. Aujourd'hui, je ne voulais pas tout gĂącher alors je l'ai refoulĂ©e une fois de plus. Bien sĂ»r, j'avais dĂ©jĂ tentĂ© d'en parler avec Elhiya mais Ă chaque fois, elle me disait que je me faisais des idĂ©es. Pourtant, c'Ă©tait lĂ . Se focaliser sur autre chose. c'Ă©tait la seule façon de rĂ©ussir Ă passer alors qu'elle m'a demandĂ© de lui accrocher le bijou Avec plaisir. Je me suis donc levĂ© et marchĂ© pour me retrouver derriĂšre elle aprĂšs son geste spontanĂ© de joie. Tandis qu'elle me passait la chaĂźne, je me plaçais autour de son cou dĂ©licat les premiers maillons tout en disant - Ce collier appartient Ă ma famille depuis des annĂ©es. Ce n'est pas une piĂšce vraiment complexe ou extraordinaire aux yeux de certains, pourtant je l'ai toujours trouver magnifique. Et je me suis dis que je l'offrirais Ă celle qui, un jour, Ă©veillerait en moi l'amour. Et cette personne, c'est toi. Je sais que tu n'es pas fan des longs Ă©changes verbaux. Cependant, ce soir, en te mettant cet objet autour du cou, je veux que tu saches que je t'aime. Non pour ce que tu montres ou ce que les autres voient en toi. Mais simplement parce que tu es toi, Elhiya Ellis. Un fille au caractĂšre bien trempĂ© et qui a su capturer mon cĆur malgrĂ© le sale caractĂšre que je peux avoir par moment. Et comme dirait ma sĆur ou moi-mĂȘme, cela est un vrai fois que j'eus fini d'attacher les anneaux ensemble, je me penchais pour dĂ©poser au creux de sa nuque, un baiser lĂ©ger et doux Ă la fois. Je sentis le frissonnement de sa peau sur mes lĂšvres et j'aimais cela comme chacune des sensations qu'elle manifestait Ă mon encontre depuis le dĂ©but de notre relation. Je l'avais vu joueuse, tĂ©mĂ©raire, boudeuse, taquine, sĂ»re d'elle, fragile, triste, Ă©panouie, offerte, en pleine rĂ©flexion... Chaque expression, qu'elle m'avait dĂ©voilĂ©e, avait Ă©tĂ© une bĂ©nĂ©diction de la part des cieux. Je savais que j'avais de la chance, qu'une personne telle qu'elle soit dans ma alors passĂ© mes mains sur son ventre et nicher ma tĂȘte sur Ă©paule en demandant - Veux-tu aller admirer la vue en buvant encore un verre de ce champagne et dĂ©gustant un morceau de gĂąteau ?Je la serrais contre moi, laissant glisser mes doigts sur son ventre... Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re EchappĂ©e belleElhiya Ellis, le Lun 8 Jan - 1209 Dâun mouvement de poignet, la cascade de ses cheveux ondulĂ©s se retrouvaient sur le cĂŽtĂ©, laissant Ă son tendre amour la possibilitĂ© dâattacher le collier. Des yeux, elle le regardait tomber sur son dĂ©colletĂ©, sourire aux lĂšvres. Les explications la touchaient, empourprant ses joues, Ă©treignant son cĆur devant tant dâattention et de dĂ©claration. Des motsUne dĂ©clarationUn frissonLa sensation agrĂ©able de ne vouloir jamais ĂȘtre ailleursDe ne pouvoir connaitre autre douceurDe ne vouloir pouvoir supporter autant De juste vouloir que le temps sâarrĂȘtePour profiterEternellementPour ne pas sâĂ©veillerEt rĂ©aliser que tous les rĂȘves prennent fin un jourQuâil Ă©tait simple de rater une marcheDe tomberDe cette illusion doucereuse dans laquelle il la berçaitElle avait fermĂ© les yeux, Juste pour se dĂ©lecter un peu plusDe sa main sur son ventre,De ses doigts quâelle entremĂȘlait aux siensDe son souffle chaud dans sa nuqueDe ce trop plein de tendresse,De cette vrille possĂ©dant son estomacDe ce dĂ©sir croissant en son voulait juste quâil se taise, quâil fasse comme elle, quâil sache que lâinstant Ă©tait unique et Ă©phĂ©mĂšre, quâil perdait du temps Ă vouloir aller admirer la vue, la seule donc elle avait besoin Ă©tait en train de la serrer dans les bras. âNonUne simple nĂ©gation pour rĂ©ponse, alors quâelle sâĂ©tait tournĂ©e pour capturer ses lĂšvres et glisser ses mains dans ses cheveux, lâentrainant vers lâarriĂšre dans la suite. Pas besoin de scruter les Ă©toiles dans le ciel, celles quâil cachait dans ses yeux valaient un million dâentre ellse. Pas besoin de champagne, son parfum, ses caresses lâenivraient suffisamment. Pas besoin dâune part de gĂąteau, le gout de ses lĂšvres la nourrissait amplement. Elle lâavait entrainĂ© jusquâĂ un point de chute plus moelleux, sans cesser de se repaitre de son affection, le laissant tomber en arriĂšre sur un lot dâoreille, le lĂąchant uniquement Ă ce moment, esquissant un doux sourire Daemon StebbinsGryffondor Re EchappĂ©e belleDaemon Stebbins, le Mer 10 Jan - 914 Elhiya Ellis - Daemon mutuelleâLa vie est la plus belle des fĂȘtes.ââą â«â«â« Choix de DeyLe non avait rĂ©sonnĂ©, allumant une lueur d'envie et de dĂ©sir dans les prunelles de ma dulcinĂ©e. Juste trois lettres qui avaient Ă©lectrisĂ© nos corps en une seconde. Si la premiĂšre fois, je l'avais guidĂ©e. LĂ , c'Ă©tait elle qui dirigeait. Je mettais donc laisser faire par ma douce en tentant de lui facilitĂ© les choses. Il n'Ă©tait pas aisĂ© de dĂ©placer un type de ma taille et de ma carrure sans que ce dernier y consentait vraiment. Je trouvais son initiative des plus intĂ©ressantes et dĂ©licieuse. Et ce qui me plaisait le plus, c'Ă©tait elle qui avait commencĂ© ce jeu Ă deux. LĂšvres sur lĂšvres, mains contre mains, doigts entrelacĂ©s entre d'autres doigts. C'Ă©tait ainsi qu'elle m'avait amenĂ© Ă un lieu plus propice Ă des Ă©changes langoureux et amoureux. Je mettais donc retrouver dans la suite sur le tas de cousins qui trĂŽnaient sur l'immense lit. Elle me lĂącha pour me sourire et je le lui rendis. Je me redressais afin d'ĂȘtre assis tandis qu'elle Ă©tais debout prĂšs du lit. Je la fis prisonniĂšre, Ă mon tour, en attrapant l'un de ses bras. Je la tirais vers moi afin de continuer cette joute mot n'Ă©tait nĂ©cessaire en cet instant. Les gestes Ă©taient notre unique moyen de communication. Quelques soupirs traversaient par moment nos lĂšvres Ă cause des sensations que nous nous procurions. Nous parcourions le corps de l'autre avec une soif insatiable. Chaque millimĂštre de peau chez l'un rentrait en rĂ©sonance avec celle de l'autre provoquant une infinitĂ© de sensations qui poussaient notre soif de l'autre de plus en plu loin avec de plus en plus d'intensitĂ©. Les vĂȘtements avaient fini par disparaĂźtre, laissant place Ă la voluptĂ© et Ă cette faim qui ne trouvait sa conclusion que lorsque la communion de deux ĂȘtres atteint enfin son paroxysme et ce fut le cas quand nos corps furent secouĂ©s par un tremblement libĂ©rateur pour chacun tandis qu'un je t'aime Ă©tait venu mourir au creux de mes lĂšvres pour elle. Puis nous nous Ă©tions endormis..Pas de serment. Pas de promesse. Pourtant, Ă cet seconde, j'Ă©tais persuadĂ© que l'Ă©ternitĂ© nous appartenait Ă jamais. Que le destin ou le ciel serait clĂ©ment envers nous et que notre amour continuerait Ă m'Ă©blouir un peu plus chaque jour. A ce moment, j'Ă©tais naĂŻf parce que c'Ă©tait la premiĂšre fois que j'Ă©tais fou d'amour pour un autre ĂȘtre. Je ne savais pas que bientĂŽt tout ceci deviendrait de la cendre dans ma mĂ©moire et qu'un poignard sanglant, au goĂ»t de trahison, dans mon cĆur s'enfoncerait continuellement lorsque je songerais Ă tous ses instants uniques que je vivais avec elle depuis le premier jour de notre histoire. BientĂŽt les choses cachĂ©es feraient surface balayant tout dans la fureur et dans la rage...Fin du RPHrp Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Lun 15 Jan - 2337 Un Nouvel Amiavec Celui ;Ă©chappĂ©e belle, pour Nous, pour ToiLA accordĂ©sLes jours dĂ©filaient convenablement. A dire vrai, ils dĂ©filaient et on ne les voyait passer. Le quotidien offrait son lot de surprises et de moments partagĂ©s, triomphant adroitement de certaines responsabilitĂ©s qui tombaient sur le bout du nez et finissaient par envahir l'esprit, comme une nuĂ©e de parfois, il s'agissait de laisser la surprise prendre une toute nouvelle forme. C'Ă©tait ce qu'Aya avait en tĂȘte depuis quelques temps, dĂ©sormais. Ce que la sorciĂšre voulait, c'Ă©tait surprendre son bien-aimĂ©. Lui offrir une toute nouvelle occupation, dans ce monde. Une nouvelle du louveteau ne lui vint qu'aprĂšs une mure rĂ©flexion. Un voyage aurait pu faire l'affaire, mais l'acte de voyager Ă©tait bien plus Ă©phĂ©mĂšre que celui de s'occuper d'une petite bĂȘte. Aya voulait offrir un cadeau qui perdure dans le temps. Un cadeau qui laisserait ses marques. La jeune femme prit une longue inspiration et jeta un oeil Ă la ville qui se rĂ©veillait. Aujourd'hui, c'Ă©tait le grand jour. Le fameux jour qu'on marquait d'un J majuscule, dans les calendriers. Le jour du cadeau. Etrangement, Aya Ă©tait presque aussi excitĂ©e que si c'Ă©tait elle qui allait recevoir ce cadeau. Une certaine agitation d'esprit la faisait claquer des doigts sur sa tasse alors qu'elle vidait son deuxiĂšme cafĂ©. AprĂšs s'ĂȘtre vĂȘtue en vitesse d'un pull lĂ©ger et d'un pantalon noir, la sorciĂšre vĂ©rifia dans sa check-list interne que tout Ă©tait prĂȘt. Azphel Ă©tait dĂ©jĂ rĂ©veillĂ© depuis longtemps et, d'aprĂšs le mot laissĂ© sur la table de la cuisine, ne serait pas de retour avant le milieu de la matinĂ©e. C'Ă©tait l'occasion ou un voyage quelque peu agitĂ© Ă Dust & Spite, voyage pendant lequel la jeune femme avait fait attention Ă ne pas trop effrayer l'animal, Aya jeta un oeil Ă sa montre. Bon sang. Il Ă©tait dĂ©jĂ presque dix heures et Azphel ne tarderait sĂ»rement pas. Une bonne dose d'adrĂ©naline la poussa Ă griffonner quelques mots sur un parchemin SpoilerElle ne voulait pas que sa surprise soit gĂąchĂ©e par le mage qui reviendrait plus tĂŽt de ses emplettes ! Elle n'avait pas tout mis en place pour rien. Il avait fallu,de 1 improviser un abri Ă Dust & Spite pour la bestiole, au moins le temps de prĂ©parer le reste,de 2 manipuler Azphel pour qu'il aille cherche quelque chose Ă l'autre bout de la ville, le jour venu,de 3 faire le transfert d'habitation le matin chance, le louveteau Ă©tait encore timide et maladroit. Du coup, la bestiole qui lui mordillait gentiment le bras ne prĂ©sentait pas grand danger, bien au contraire. Elle espĂ©rait cependant que Duchesse n'ait pas dĂ©vastĂ© le salon en sentant l'arrivĂ©e d'un autre prĂ©dateur, mĂȘme de taille rĂ©duite. Et surtout, que la future cohabitation se passerait sans Ă©tait dix heures cinq et le louveteau Ă la belle couleur blanche marchait maladroitement au coeur des fougĂšres. Aya n'avait aucune idĂ©e de l'emplacement actuel du mage, et l'impatience lui dĂ©mangeait les membres. A plusieurs reprises, la sorciĂšre dut se prĂ©cipiter derriĂšre le bambin pour l'empĂȘcher d'aller trop loin. Ce n'Ă©tait pas le moment pour la forĂȘt d'appeler la craquement sonore l'arrĂȘta nette alors qu'elle grondait gentiment le nouveau compagnon du Reste tranquille maintenant. Ou ce ne sera pas Ă moi que tu devras rendre des comptes, chuchota-t-elle derriĂšre son Ă©paule. Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Mer 17 Jan - 1438 Avec CelleI l est des jours qui, en apparence, semblent tout Ă fait ordinaires, mais qui rĂ©servent des surprises extraordinaires. Ce qui en fait des dates marquantes, des souvenirs qui perdurent des annĂ©es entiĂšres. Ce sentiment est renforcĂ© lorsque ces surprises interviennent avec des personnes de la premiĂšre cette journĂ©e Ă©tait d'une banalitĂ© dĂ©concertante. L'on pouvait noter un soleil picorant assez inhabituel pour ce dĂ©but d'hiver, mais les gens, la routine, le quotidien, Ă©taient si programmĂ©s Ă l'avance que rien ne laissait entrevoir un bouleversement intĂ©ressant. Au rĂ©veil, Azphel Ă©tait parti tĂŽt pour Londres, en quĂȘte de provisions pour la Colline, pour Aya et lui, et pour faire une course pour la sorciĂšre. Si la tĂąche n'avait rien de passionnante en soi, il savait qu'en rentrant en milieu de matinĂ©e ils mangeraient ensemble et auraient tout l'aprĂšs-midi et la soirĂ©e l'un pour l'autre, et cette perspective, si elle Ă©tait manifestement ordinaire, Ă©tait fort pendule s'approchait de onze heures lorsque le mage noir se matĂ©rialisa dans la cour d'entrĂ©e de la Colline ĂtoilĂ©e, les bras chargĂ©s. Le soleil presque Ă son zĂ©nith avait rĂ©ussi Ă Ă©clipser la fraĂźcheur que l'hiver installait d'ordinaire Ă cette Ă©poque de l'annĂ©e et offrait une douceur printaniĂšre. ChĂ©rie ? interrogea la mage en poussant la porte d'entrĂ©e du pied. Une interrogation qu'il reposa en pĂ©nĂ©trant dans le salon. N'obtenant de rĂ©ponse, il dĂ©chargea ses bras sur la table avant de traverser le salon, d'ouvrir la porte fenĂȘtre et de sortir sur la terrasse surplombant un jardin et une vue descendante sur Londres, en ligne d'horizon. Aya ?Renouvelant son appel, il lui sembla entendre la voix de sa chĂšre et tendre. Il contourna la maison et s'aventura en dehors des limites, plongeant dans les arbres environnants. Ă mesure qu'il s'Ă©loignait un peu du manoir, la voix de la sorciĂšre lui parvint plus distincte, et il sourit Ă l'imaginer en train de s'Ă©merveiller d'un Ă©cureuil qu'elle aurait vu ou en train de penser Ă voix haute, sous ce soleil vivace qui incitait Ă Reste tranquille maintenant. Ou ce ne sera pas Ă moi que tu devras rendre des haussa un sourcil, se demandant Ă qui sa compagne pouvait bien parler. Lorsqu'il la vit, il remarqua qu'elle parlait Ă une petite boule de poils lovĂ©e dans ses C'est donc lĂ que tu es, dis le sorcier souriant, dĂ©couvrant son visage lumineux. Qu'es-ce que... ?Il arrivait Ă hauteur de la sorciĂšre et s'arrĂȘta net devant elle. La Belle tenait dans ses bras un petit louveteau qui semblait avoir du mal Ă tenir en place. Sa fourrure Ă©tait blanche et il Ă©tait si petit qu'il ressemblait Ă un chiot quelconque, il ne devait pas avoir plus de quelques semaines, guĂšre plus d'un mois. C'Ă©tait une boule de poils tout Ă fait charmante et craquante, mais le loup Ă©tait reconnaissable dans la forme du museau, l'allongement des oreilles et l'angle de ses petites pattes arriĂšres. S'il paraissait avoir des envies de vagabonder, il possĂ©dait cette mĂȘme mignonitude qu'ont tous les animaux du monde, Surprise ! Je te prĂ©sente notre nouveau compagnon mon coeur, dit une Aya lui parĂ©e d'un sourire d' resta bouche bĂ©e, les yeux pĂ©tillants posĂ©s sur la sorciĂšre, sa main droite s'engouffrant aussitĂŽt dans la fourrure du petit animal tenu lĂ . La bestiole rechigna et prĂ©fĂ©ra tenter de mordiller la main du vieux loup-garou. Ăa pour une surprise, c'Ă©tait une trĂšs bonne Quand l'as-tu achetĂ© ? Il est magnifique... Mais tu crois que ça va aller, avec Duchesse ?Azphel ne se posait pas rĂ©ellement la question. Sa panthĂšre noire Ă©tait si parfaitement Ă©duquĂ©e qu'elle ne manifestait aucune animositĂ© envers les humains ou les autres animaux. Il est magnifique...Les bras du mage noir enlacĂšrent Aya, qui tenait ferment le louveteau contre elle. Sur le visage du lycan, un sourire comblĂ© se dessina. Quelques semaines plus tĂŽt, leur anniversaire Ă©tait passĂ©. Ils ne l'avaient pas fĂȘtĂ© avec plus de cĂ©lĂ©bration que cela, mais symboliquement, la date les avaient marquĂ©s tous les deux. Le louveteau n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas un cadeau pour l'occasion, mais aux yeux du mage noir, c'est cela qu'il reprĂ©sentait, en plus d'un autre lien d'attachement pour eux deux. Pensif, il visualisa le tiroir de sa chambre, oĂč Ă©taient soigneusement emballĂ©s, depuis de longs jours dĂ©jĂ , la bague et le collier qu'il avait achetĂ©s pour la sorciĂšre pour leur premier anniversaire... S'il n'avait cochĂ© de jour exact pour les lui offrir, celui-ci s'Ă©tait peut-ĂȘtre dĂ©signĂ©. Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Ven 19 Jan - 1022 Ă ToiSon coeur tambourinait, Ă l'approche de l'aimĂ©. Peut-ĂȘtre pas Ă cent Ă l'heure, comme le voulait l'expression, mais suffisamment vite pour se rĂ©percuter dans ses oreilles, sa boĂźte crĂąnienne. Suffisamment vite pour la prendre Ă mĂȘme la louveteau ne voulait pas rester tranquille, entre ses mains et, sans ĂȘtre lourd, pesait tout de mĂȘme son petit poids. Plus tard, la bestiole serait athlĂ©tique et bien plus massive, selon l'alimentation et le soin que les sorciers lui fourniraient. Mais aucun doute qu'il leur fallait profiter de ce moment oĂč la nature offrait une occasion de porter cette merveille dans ces bras. MĂȘme s'il s'agissait dĂ©jĂ d'une sale petite peste surprise fit mouche, Azphel semblait ravi. Encore plus que lorsqu'il avait reconnu sa compagne, de loin. Les Ă©meraudes du lycan pĂ©tillaient, son sourire s'Ă©largissait. Azphel, bien que trĂšs beau dans sa sĂ©vĂ©ritĂ© et les tĂ©nĂšbres qui l'entouraient habituellement, Ă©tait rayonnant. Un vrai plaisir pour les mirettes d'Aya qui s'Ă©taient tout de suite Ă©veillĂ©es, Ă ce seul Il y a quelques jours, maintenant. J'ai du amĂ©nager un coin Ă Dust & Spite, rien que pour lui. Je ne te raconte pas la rĂ©action d'Eris et de Berlioz. Elles n'ont jamais autant hibernĂ© Ă l'Ă©tage et...Sa voix se perdit dans sa rĂ©flexion. Elle espĂ©rait sincĂšrement que ça se passerait mieux Ă l'avenir. Car l'avenir, bien que pavĂ© d'incertitudes, restait assez prĂ©visible entre eux. TĂŽt ou tard, les amants s'installeraient ensemble et alors la cohabitation devra bien exister. Pour le meilleur et pour le pire. Elle espĂ©rait sincĂšrement que le meilleur l' Duchesse est assez calme et bien Ă©duquĂ©e. Ăa devrait bien se passer. En espĂ©rant que ce monstre-lĂ , grogna-t-elle affectueusement en serrant la petite bĂȘte, soit un gentil et l'Ă©ducation devrait vite commencer. Aya savait qu'elle aurait toujours son mot Ă dire, tout comme elle avait, Ă sa façon, Ă©duquĂ© Duchesse lors des absences du maĂźtre de maison. Aujourd'hui, la panthĂšre Ă©tait on ne peut plus attachĂ©e Ă Aya. Elle espĂ©rait qu'il en soit ainsi avec le nouvel pour l'heure, les remerciements Ă©taient de mise. Azphel semblait rĂ©ellement heureux et l'Ă©treinte qu'ils partagĂšrent tous les trois conforta Aya dans sa dĂ©cision. Azphel avait besoin de ça. Leurs projets persistaient, tout prĂšs. De vengeances respectives en explorations, les mages noirs avaient trĂšs peu de temps pour flĂąner. Mais, au-dehors, un autre quotidien suivait tranquillement son cours. Aya avait Barjow & Beurk, le vieux maĂźtre pour s'occuper, mais Azphel n'avait plus rien depuis qu'il avait quittĂ© Poudlard. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il temps pour lui de se recycler ? De dĂ©couvrir de nouvelles choses ?Prendre un nouveau tournant, pour lui-mĂȘme. Aya le lui souhaitait Je suis ravie qu'il te plaise, chuchota Ă©changĂšrent un long baiser, la main d'Azphel fourrageant tranquillement la chevelure de son alter ego. Ce n'Ă©tait pas le moment de penser, mais bien de profiter de ce qu'ils avaient Ă s'offrir. Cette mĂȘme passion qui les habitait. Depuis leur rencontre, les premiers risques. Cette flamme patiemment couvĂ©e par les A toi l'honneur, susurra Aya en laissant Azphel prendre le louveteau dans ses sorciĂšre observa les deux canidĂ©s faire plus ample connaissance. Et a priori, le feeling semblait passer tout seul. C'Ă©tait certain. Le sourire Ă©tirĂ© d'Azphel, qui lui jeta un regard comblĂ© alors que la bĂȘte lui mordillait gentiment la main, la persuada qu'elle Ă©tait sur la bonne voie. C'Ă©tait tout ce qui lui importait. Ce sourire et ce sentiment de l'avoir protĂ©gĂ© de quelque chose. De l'avoir rattachĂ© aux rĂ©alitĂ©s. Azphel Ă©tait un grand garçon, mais il avait tellement fait pour elle que la jeune femme ne pouvait que le remercier. Et lui rappeler, Ă sa façon, qu'elle Ă©tait et serait toujours lĂ . Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Mar 23 Jan - 1636 D ans les bras du lycan, levĂ©s vers le soleil matinal, le louveteau gesticulait d'amusement. Il tirait la langue, tentait d'atteindre en vain le visage du mage qui le tenait, batifolait de ses petites pattes dans le vide. Azphel se demanda s'il devinait la nature lupine de son nouveau maĂźtre, ou si le fait qu'il Ă©tait si enjouĂ© n'avait rien d'extraordinaire pour son jeune Ăąge. Il prĂ©fĂ©rait la premiĂšre option, mĂȘme s'il lui faudrait la vĂ©rifier plus tard... encore qu'il ne s'imaginait pas particuliĂšrement sortir avec son nouveau compagnon Ă quatre pattes un soir de pleine lune, transformĂ© en Merci chĂ©rie, il me plaĂźt en effet...Le mage posa le louveteau au sol, qui se mit Ă tourner frĂ©nĂ©tiquement entre leurs jambes et Ă leur mordiller les n'imaginais prendre un autre animal, avec Duchesse qui est imposante, mais je pense que les deux bĂȘtes peuvent s'entendre oui, et j'ai le temps de m'en occuper, aprĂšs Ă©meraudes brillantes du sorcier se perdirent sur le visage de sa doigts des deux ombres se resserrĂšrent et ils observĂšrent longuement leur nouvel ami en fourrure courir tout autour d'eux, sans paraĂźtre s'essouffler. Il leur rappelait inĂ©vitablement Duchesse Ă ses premiers mois, rĂ©solument fĂ©lin, joueur et infatigable, avec une insouciance dans le regard et les mouvements qui avait quelque chose d'attendrissant et d'apaisant. VoilĂ un cadeau qui promettait de changer tous les matins qui allaient suivre pour le lycan. Heureux. Regardant tout autour de lui, cette matinĂ©e printaniĂšre, ce compagnon Ă quatre pattes joueur, le visage ensoleillĂ© d'un sourire de Aya, la tiĂ©deur de ses doigts serrĂ©s, Azphel prit conscience qu'il Ă©tait heureux, Ă©panoui dans sa nouvelle vie. Il n'avait jamais doutĂ© ĂȘtre comblĂ© avec la sorciĂšre dans sa vie, mais se sentir heureux dans toutes les choses autour de soi a beaucoup plus de valeur que l'apport seul d'une personne dans une existence. Pour une fois, la Colline ĂtoilĂ©e Ă©tait vivante Ă ses yeux et ne lui rappelait pas des souvenirs douloureux. Elle respirait leur amour et leur volontĂ© inĂ©branlable d'ĂȘtre plissa les yeux en regardant le vieux manoir et tira la main de Aya - Allons faire revivre la Colline, tu veux. On y a quelques souvenirs Ă deux sorciers se dirigĂšrent vers la bĂątisse, vĂ©rifiant en regardant derriĂšre que le louveteau les suivait bien. S'il parut un instant tentĂ© par l'appel de la forĂȘt, toute proche, il fit demi tour et revint au galop dans les pieds de ses nouveaux Tu sais, si tu veux qu'on refasse quelque chose ici, pour cette adorable petite bĂȘte, on pourrait lui offrir la mĂȘme libertĂ© qu'Ă Duchesse. Le mage faisait inĂ©vitablement allusion aux premiers mois passĂ©s ici pour la panthĂšre, une Ă©poque oĂč Aya vivait encore lĂ Ă©galement. Si le manoir gardait une valeur inestimable Ă ses yeux, c'Ă©tait Ă©videmment pour tout ce qu'il y avait vĂ©cu avec la sorciĂšre, en plus de ces souvenirs plaisants qu'il Ă©voquait. Il devinait derriĂšre les onyx impassibles de la sorciĂšre qu'elle aussi Ă©prouvait beaucoup de choses pour la demeure, et leur premier anniversaire Ă©tant dĂ©jĂ passĂ©, il savait que tous les deux pensaient maintenant Ă s'installer passĂšrent la porte d'entrĂ©e du manoir, franchirent le salon, oĂč le louveteau trouva un immense terrain, source de jeux potentiels et d'Ă©merveillement, et sortirent sur la terrasse. Le compagnon Ă fourrure resta Ă l' Tu as une idĂ©e d'un nom pour ce petit bout, ou tu prĂ©fĂšres que je choisisse ? Je reviens tout de suite, ajouta-t-il prĂ©cipitamment en faisant demi loup retrouva Ă l'intĂ©rieur du manoir son congĂ©nĂšre, qui avait Ă©lu domicile sur le canapĂ© oĂč il enfonçait ses coussinets dans le cuir. ArmĂ© d'un sourire vivace, le mage gagna l'Ă©tage et le tiroir de la chambre, oĂč Ă©taient enfermĂ©s les deux paquets achetĂ©s quelques jours plus tĂŽt aux Halles magiques. Les cachant dans son dos, il rejoignit Aya Ă l'extĂ©rieur et dĂ©posa un baiser sur la joue de sa compagne. Moi aussi j'ai quelque chose pour toi bĂ©bĂ©, pour cĂ©lĂ©brer Ă la fois nos un an et aussi par plaisir... Parce que tous les secrets nous ont ramenĂ© ici aujourd'hui. Il sortit de derriĂšre son dos les deux paquets cadeaux qui contenait une bague pourvue d'Ă©meraudes et un collier fin, avec une pierre identique en Parce que je suis heureux avec toi mon coeur, et que j'imagine pas la suite sans que tu sois lĂ . Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Mer 31 Jan - 1015 Quel Ă©tait ce sourire, qui Ă©tirait les lĂšvres d'Aya ?Un repos d'Ăąme, et de corps, auquel elle songeait comme une rĂ©compense amplement mĂ©ritĂ©e. La sorciĂšre ne savait dĂ©crire ce moment de fĂ©licitĂ© qui s'emparait d'elle. Tant par la prĂ©sence du Loup que par le cadeau qu'elle lui avait fait. C'Ă©tait aussi simple que cela pour une fois, elle avait aimĂ© faire plaisir Ă quelqu'un. Il s'agissait d'Azphel aprĂšs tout. Pas de n'importe petit loup fit connaissance des lieux pendant que ses maĂźtres retrouvĂšrent la terrasse. Aya retrouva son faciĂšs impassible, alors qu'elle observait les abords de la forĂȘt. Ses pensĂ©es divaguĂšrent. Certes, ces rares moments de calme et de paix intĂ©rieurs avaient une fin. Quelque part, au loin, rĂŽdaient toujours des dangers dont elle avait conscience. Parfois des Ă©vĂ©nements extĂ©rieurs sur les corps Ă©tait beaucoup trop forte pour ignorer ce qui grondait autour d'eux. Du fin fond de l'Ecosse Ă quelque part plus Ă l'est en Europe, jusqu'aux dunes de sable d'un Orient rĂȘvĂ©. Tous les deux avaient des choses Ă rĂ©gler. Chacun de leur cĂŽtĂ©, mais ils s'Ă©taient promis de s'aider, non ? Alors pourquoi son coeur se resserrait-il Ă l'idĂ©e d'imposer toujours cela au mage ? Il avait pourtant, bien des annĂ©es auparavant, offert son aide Ă la gamine. Sans rien lui demander en Ă©change. Si ce n'est de continuer Ă le suivre peut-ĂȘtre, jusqu'au bout de ses n'avait pas remarquĂ© que le lycan Ă©tait reparti. Ses mains rejoignirent le dossier d'une chaise de jardin, la laissant divaguer confortablement, sans ĂȘtre en proie aux lois de l'Ă©quilibre. Equilibre qui bien souvent se faisait la malle, lorsque d'autres soucis venaient lui encombrer les question Ă©tait donc partie au grĂ© des vents, et la sorciĂšre frissonna lorsqu'elle sentit les lĂšvres de son amant se dĂ©poser sur sa joue. Depuis quand la quittait-il aussi spontanĂ©ment, pour revenir tel un dĂ©mon ? C'Ă©tait ce qu'il Ă©tait, pourtant. Depuis le dĂ©but, un dĂ©mon des vents. Apparu dans sa vie comme un heureux hasard pour la combler yeux d'Aya s'Ă©carquillĂšrent en dĂ©couvrant les deux paquets cadeaux et elle prĂ©fĂ©ra les prendre dĂ©licatement que de poser trop de questions. Il Ă©tait inutile de spĂ©culer sur certaines probabilitĂ©s. Elle ne voulait pas se gĂącher la surprise en tentant de deviner. Et de toute façon, la taille laissait prĂ©sager quelques prĂ©sents en Moi non plus, susurra-t-elle dans un sourire, avant de quitter les Ă©meraudes pour se concentrer sur ce qu'elle tenait entre les doigts. Ce n'est pas une suite sans ne cacha pas une certaine surprise en dĂ©couvrant la bague. Principalement parce qu'on ne lui en avait jamais offert. Elle ne s'estompa pas non plus lorsqu'elle ouvrit le deuxiĂšme Ă©crin, qui contenait un magnifique Azphel..., sa voix s'Ă©touffa quelque peu, d'elle-mĂȘme. C'est visage n'Ă©tait pas froid. Pas spĂ©cialement enjouĂ© non plus. PlutĂŽt douloureux, Ă©perdu quelque part. Elle laissa les bijoux de cĂŽtĂ© pour prendre le visage du loup entre ses doigts. Azphel scella leur Ă©treinte en enlaçant Ă©troitement sa silence se posa entre eux, alors que leurs visages, le plat de leurs nez se rencontraient dans une longue Toujours, tu le sais hein ?- Toujours mon que oui, c'Ă©tait presque douloureux. De savoir qu'on offrait Ă un autre toutes les clĂ©s pour se dĂ©truire. On n'avait finalement plus Ă le faire soi-mĂȘme. Il suffisait de s'offrir et de sacraliser le tout par les mots, les gestes, les organes en furie. C'Ă©tait plus difficile qu'il n'y paraissait. Tomber malade d'amour, ce n'Ă©tait pas une histoire de sacrifier pour lui, oui, elle le ferait. Sans rĂ©flĂ©chir plus longtemps. Il avait pris le dessus sur bien des plans, entortillĂ© son instinct de survie. Depuis des annĂ©es, il s'agissait surtout de Tu veux bien me les mettre ? chuchota-t-elle alors que leurs mirettes se retrouvĂšrent. Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Jeu 1 FĂ©v - 1516 L a Colline, l'odeur de ses murs, les mille efflorescences se dĂ©gageant de la forĂȘt avoisinante tout au long de l'annĂ©e transpiraient en Azphel. DĂšs lors qu'il posait les pieds Ă l'intĂ©rieur, le regard sur les extĂ©rieurs, en plus du florilĂšge de souvenirs surgissaient toute cette Ăąme, cette prĂ©sence, cette force que dĂ©gageait l'endroit. LĂ oĂč Ă©tait nĂ© Ayaz, lĂ oĂč la tendresse s'Ă©tait dĂ©sagrĂ©gĂ© au profit de l'amour, oĂč le mentorat s'Ă©tait brisĂ©, oĂč les blessures, les caresses, avaient fait imploser tous les sentiments enfouis au sein des deux sorciers. C'est lĂ que tout existait, c'Ă©tait lĂ que le mage noir se sentait le plus Ă ses pieds, par terre, gisaient les emballages des cadeaux de la sorciĂšre- Tu veux bien me les mettre ?Le loup prit dans sa main la bague acquise quelques jours auparavant, Ă©tendit entre ses paume les longs doigts fins de la sorciĂšre et la lui passa Ă l'annulaire. Les yeux d'onyx de l'Ă©cossaise posĂ©s sur le bijou brillaient du mĂȘme Ă©clat que les Ă©meraudes qui la composaient. Azphel dĂ©fit ensuite le fermoir du collier et le passa autour du cou d'Aya qui maintenait d'une poigne fragile ses longs cheveux blonds en une queue de cheval VoilĂ chĂ©rie. Tu n'en avais pas besoin mais ils te vont Ă couple Ă©changea un baiser langoureux, qui fut interrompu par le retour soudain du louveteau, piaillant autour d'eux. Viens-lĂ toi, dit Aya en l'attrapant dans ses bras. Azphel les observa longuement, la jolie sorciĂšre tournant sur elle-mĂȘme, le visage rieur, s'amusant Ă faire l'avion avec un louveteau qui ne rechignait pas Ă s'amuser. Elle paraissait plus heureuse que jamais, vivante. Ătait-ce lui, Azphel, qui avait rĂ©ussi Ă la ramener Ă la vie ? Bien entendu, elle aurait toujours ses ombres et ses dĂ©mons, qui attendraient son retour vers les tĂ©nĂšbres, mais Aya n'Ă©tait plus la petite fille qui voyait noir partout. Elle respirait, vivait en couleur, lĂ , sur la terrasse, Ă s'amuser avec le canidĂ© qui ne demandait rien de moins. Le loup-garou pensa que l'animal n'Ă©tait pas un cadeau pour lui, mais une promesse supplĂ©mentaire pour eux. Un lien dont on ne se sĂ©pare ne disaient pas toujours les mots qui provenaient des profondeurs de l'Ăąme, Azphel et Aya n'avaient pas d'Ă©gal pour se montrer leur force de sentiments et leur conviction de l'autre dans leurs gestes et attentions. Cette certitude sentie depuis les tripes, barriĂšre naturelle Ă tout ce qui les attendait dehors, mais ne leur faisait pas oublier tout le reste, les dangers de Richard et James, la menace constante de Moira, ni leur place d'Ă©quilibriste dans ce monde perdu entre noirceur et espoir de Ă la place oĂč Aya se trouvait plus tĂŽt, le sorcier sortit de ses songes Des nouvelles de Moira, du rejeton ?Le sourire sur le visage d'Aya s'estompa lĂ©gĂšrement, avant de reparaĂźtre. Ă sa façon de cligner des yeux, Azphel comprit qu'aujourd'hui n'Ă©tait pas le moment, que ce jour n'Ă©tait qu'Ă eux, jusqu'Ă l'aube prochaine. Eux et le petit bout de poil minaudant qu'elle lui dĂ©posa sur les genoux. AprĂšs tout oui, il n'y avait pas Ă penser au reste. Juste Ă profiter de ce moment parfait sur la Colline, entrevoir les futures pĂ©rĂ©grinations de Duchesse et du nouvel ami venu, de se laisser emporter vers les moments de joie Ă venir entre les deux mages noir et leur plĂ©iade d'animaux qui s'agrandissait, de laisser divaguer les souvenirs vers leurs seuls jours heureux, les inaltĂ©rables, ceux qui les voient liĂ©s sans cesse et dans un abandon total, une osmose Comment va-t-on t'appeler, toi ? questionna le mage en caressant la tĂȘte de la boule de poils. Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Lun 12 FĂ©v - 955 C'Ă©tait un doux frisson, une caresse. Sentir le poids plume du bijou prendre place autour de son cou, une lĂ©gĂšretĂ© pourtant lourde de significations. Aya rayonnait. Pas par vĂ©nalitĂ©. PlutĂŽt par bonheur simple d'ĂȘtre entourĂ©e de ce qu'elle voulait, au plus profond d' s'en foutait de ce qui les attendait, les entourait. Elle se savait protĂ©gĂ©e par cet espoir fou, pourtant bien solide, au creux de ses doigts et de ses reins. Elle se savait Ă sa place dans leur pouce caressa le dessin de la bague et ses grands yeux, d'un gris ce jour-lĂ Ă©clatant, s'acharnaient Ă y trouver un dĂ©faut. Tout comme sur le visage du mage, qu'elle retraçait dĂ©sormais d'une caresse lointaine, aprĂšs s'ĂȘtre approchĂ©e de lui et du louveteau. Ce n'Ă©tait pas l'heure des questions. Il le savait. Ils n'avaient pas Ă interroger un lendemain qu'ils connaissaient dĂ©jĂ , au fond d'eux. Elle prĂ©fĂ©rait faire la part belle Ă ce qu'ils chĂ©rissaient tous les deux leur liaison, et leur union dans la lumiĂšre et les ombres. Elle savait le mage dotĂ© de la mĂȘme inspiration Ă ce doigts rencontrĂšrent le pelage soyeux du louveteau, qui renifla la main de la sorciĂšre, avant de s'en dĂ©sintĂ©resser, puis d'y revenir dans une caresse de la langue. Elle Ă©touffa dans un sourire, un rire un peu hasardeux, et essuya le revers de ses doigts sur elle-mĂȘme. - Je vais nous chercher un verre, lança-t-elle doucement, aprĂšs avoir embrassĂ© le front de son amant. Et rĂ©flĂ©chir Ă un nom pour cette petite chose. Tu n'as pas l'air Avec plaisir, rĂ©pondit-il dans un sourire en qu'elle avait choisi lui permettait d'observer le mage et la bĂȘte faire connaissance. Nul doute que les deux deviendraient sans doute de trĂšs bons amis, et c'Ă©tait ce qu'Aya souhaitait. Quelque chose qui raccrochait Azphel Ă ce son dĂ©part de Poudlard, celui-ci ne remplissait pas forcĂ©ment ses journĂ©es comme il le souhaitait et elle le surprenait bien souvent, lointain et plongĂ© dans de profondes rĂ©flexions. Le sorcier avait toujours Ă©tĂ© trĂšs secret et silencieux, tout comme elle, mais elle savait que ces rĂ©flexions Ă©taient portĂ©es sur des individus bien particuliers. Son oncle James, qu'il avait laissĂ© en piteux Ă©tat, et le responsable de la mort de Cyrielle, Richard, exilĂ© quelque part Ă vida les derniĂšres gorgĂ©es d'un excellent whisky qu'Azphel chĂ©rissait dans un premier verre puis se servit un excellent vin rouge. En observant l'agrĂ©able liquide grenat couler dans son verre, la sorciĂšre songea au fait qu'il n'avait plus parlĂ© de ses oncles depuis un bon bout de temps. S'Ă©tait-il passĂ© quelque chose sans qu'elle ne le sache ? Certainement pas. Azphel lui aurait dit quelque chose, bien que les Ă©vĂ©nements se soient trĂšs vite retournĂ©s contre elle lors de leur rencontre avec James. Peut-ĂȘtre voulait-il la protĂ©ger, mais dans tous les cas, le sorcier ne se serait pas mis en danger sans lui dire quelque chose. Il ne pouvait rĂ©apparut sur la terrasse, les mains prises par les deux verres, et Azphel chassa le louveteau de ses genoux pour y accueillir sa compagne. Ils s'enlacĂšrent un instant, Aya les mains chargĂ©es et le mage tout dĂ©cidĂ© Ă profiter de celle-ci sans dĂ©fense, retraçant la dĂ©licate dĂ©clive de son cou de ses lĂšvres Te voilĂ , chuchota-t-il entre deux baisers, avant d'atteindre le gracieux dessin de la mĂąchoire, le bord des lĂšvres charnues d' une guerre bien personnelle, que se faisait la jeune femme. Celle de ne pas trop vite succomber Ă ce qu'il dĂ©gageait, Ă ses gestes puissants et peu contrĂŽlĂ©s lorsqu'il s'agissait d'elle. Pourtant, Ă chaque fois, elle tapait Ă cĂŽtĂ© et se laissait aller. Batailler contre ses dĂ©sirs Ă©tait finalement inutile. Il la possĂ©dait toute Je pensais Ă Nour. Ăa veut dire mage ne rĂ©pondit rien, Ă l'instant, sa bouche Ă©tant occupĂ©e Ă siroter son verre de whisky. Et elle ne lui en laissa pas l'occasion, d'ailleurs. Ses questions Ă©taient bien trop prĂ©sentes pour ĂȘtre annihilĂ©es. Elle qui avait souhaitĂ© zapper la partie questions sur Moira n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas trĂšs fine. Mais il s'agissait bien trop souvent d'elle. Aya voulait Ă©galement soutenir Azphel dans ses Un voyage Ă Berlin de prĂ©vu, ces prochains temps ? Devon StarckPoufsouffle Re EchappĂ©e belleDevon Starck, le Sam 17 FĂ©v - 1000 L es deux sorciers auraient pu passer la journĂ©e Ă ne rien faire d'autre que profiter d'ĂȘtre ensemble, enlacĂ©s passionnĂ©ment, comme ils l'avaient fait de nombreuses fois. Si l'attirance entre eux Ă©tait assez logique vue de l'extĂ©rieur, elle ne suffisait Ă expliquer la densitĂ© magnĂ©tique qui les animait, cette attraction qu'ils ressentaient constamment pour l'autre. Les caresses dĂ©licates des doigts de la sorciĂšre Ă©taient semblables Ă des brises rĂ©confortantes et rassurantes, autant que des appels Ă se blottir un peu plus ou Ă succomber Ă des moments de langueur si ce jour Ă©tait particulier, Ă mi-chemin de leurs histoires personnelles et de leur Histoire, il n'Ă©tait pas propice Ă des coucheries convenues, un dĂ©ballage de draps pour le simple plaisir de l'autre et de sa chair. S'ils n'avaient besoin d'Ă©noncer l'un pour l'autre tout ce qu'ils pensaient, ils avaient conscience d'ĂȘtre Ă un point crucial de leur vie commune. Etait fini le temps de la protection et des sentiments naissants, des pensĂ©es interdites. Il Ă©tait loin, ce jour oĂč Aya l'avait pris pour un profiteur. Aujourd'hui, ils ne pensaient qu'Ă vivre ensemble, et si la tĂąche paraissait ĂȘtre d'une simplicitĂ© enfantine, de part les multiples demeures qu'ils possĂ©daient, elle entraĂźnerait beaucoup de complications. La famille de la sorciĂšre comme celle d'Azphel n'Ă©taient pas Ă ignorer, des membres redoutables de chacune avaient tentĂ© de nuire Ă Aya. Et ils recommenceraient sans doute. Leur Ă©loignement en matiĂšre d'habitat pour Azphel et Aya avait cet avantage de ne pas les rendre trop faciles Ă trouver. Vivre sous le mĂȘme toit serait offrir Ă Moira une cible de choix, Ă James une raison de revenir...Nour Ă©mit une plainte gĂ©missante, un cri de chiot, quand Aya suggĂ©ra son prĂ©nom, comme s'il donnait son accord. Azphel Nour... LumiĂšre ? C'est parfait, ce mot me correspond bien, si proche des releva la tĂȘte vers sa chĂšre et tendre, il savait que ce mot n'avait de hasard pour elle Un voyage Ă Berlin de prĂ©vu, ces prochains temps ?Azphel termina son verre de whisky, songeur, et rĂ©arma un lĂ©ger Je sais le quartier oĂč vit Richard, rĂ©pondit-il, il n'y a plus qu'Ă .... Il marqua une pause de rĂ©flexion. J'ai toujours haĂŻ ma famille pour la mort de Cyrielle, tu sais... Mais maintenant d'ĂȘtre si proche de connaĂźtre la vĂ©ritĂ© et de la venger je... je ne sais pas. Je ne flanche pas, je veux tuer Richard. Il le mĂ©rite. Mais je me pose sans arrĂȘt des questions... Quid de sa famille lĂ -bas, d'Ă©ventuels autres sorciers sur place... de moyens de dĂ©fense... Et puis, pour ĂȘtre honnĂȘte, je pense toujours Ă James, Ă ce qu'il t'a fait, la lueur meurtriĂšre dans son regard sur toi...La main du mage se resserra sur le poignet d'Aya, et il enfouit sa tĂȘte un instant dans son long Ăa fait longtemps dĂ©jĂ , que James m'a dit oĂč il Ă©tait. MĂȘme si je les sais moins proches depuis l'explosion de la famille... je pense qu'il aurait pu prĂ©venir Richard de mon arrivĂ©e, et ça ne rend les deux que plus dangereux. Je ne peux aller tout seul Ă Berlin, ce serait aller au suicide... J'aurais forcĂ©ment besoin de toi, mais je ne veux pas que tu sois un dommage quelques centimĂštres de son visage, Azphel plongea son regard Ă©meraude dans son homologue d'obsidienne. Le nez des deux sorciers se touchĂšrent et ils fermĂšrent les yeux, l'un contre l'autre. Sur la terrasse de la Colline, seuls les chants de quelques oisillons et les jĂ©rĂ©miade de Nour qui gambadait seul dans la cour dĂ©rangeaient la communion des deux Je veux finir tout ça, je crois qu'il est temps. Et je sais qu'aprĂšs... on pourra passer Ă autre chose, vivre plus sereinement, tu vois ? Et peut-ĂȘtre que je me trouverais une nouvelle vocation, qui sait... Sariel FawkesSerpentard Re EchappĂ©e belleSariel Fawkes, le Mar 20 FĂ©v - 1631 Attention, RP bras d'Azphel avaient ce quelque chose de rassurant, mĂȘme lorsque la conversation dĂ©rivait sur des sujets peu rĂ©jouissants. Mais ce n'Ă©tait pas le problĂšme, au final. Les deux sorciers partageaient tout cet amour indescriptible, leurs idĂ©aux, leurs problĂšmes, leurs parcours, parcours qui s'Ă©taient aujourd'hui oncles du sorcier ne constituaient pas un sujet tabou, Ă proprement parler. Bien sĂ»r, le couple ne parlait que trop rarement de la famille d'Azphel et plus particuliĂšrement de sa soeur, mais ce n'Ă©tait pas trĂšs Ă©tonnant. Tout comme Mysie, Cyrielle reprĂ©sentait un passĂ© qu'ils tentaient tous les deux d'oublier, bien que difficilement parfois. Tout ce qu'ils dĂ©siraient aujourd'hui, c'Ă©tait repartir du bon pied aprĂšs avoir fait ce qu'il fallait faire. Pour Azphel, venger la mort de sa soeur, pour Aya, venger la mort de sa tante mais Ă©galement se venger elle-mĂȘme, de tous les troubles que Moira avait pu lui Az', je serai toujours prĂšs de toi, chuchota la jeune femme aprĂšs avoir retrouvĂ© les Ă©meraudes de son compagnon. Je t'aiderai Ă venger ta soeur, coĂ»te que coĂ»te. Je ne serai pas un dommage collatĂ©ral, non. Je me battrai avec toi, pour toi et on y arrivera. Mh ?Le sourire qu'elle lui offrit dĂ©clencha le sien, rayonnant mais quelque part Nous nous le sommes promis, mon amour, continua la sorciĂšre en jouant avec une mĂšche de cheveux d'Azphel. C'est toi et moi, jusqu'au hochement de tĂȘte significatif, avant qu'il ne se rĂ©fugie dans le cou de son amante, qui l'enlaça de plus belle de ses longs bras Je te le souhaite mon coeur. Te trouver une nouvelle voie, nous retrouver tous les deux. Finir ça ensemble pour repartir sur de nouvelles bases et peut-ĂȘtre...- ..., marmonna-t-il contre sa Pardon ? demanda-t-elle en reculant lĂ©gĂšrement le menton, comme pour tenter de percevoir ses Je t'aime dĂ©clarations avaient toujours le mĂȘme effet. Celui du feu en plein dĂ©sert, nĂ© entre ses dunes, mort d'une pluie qui n'arrivait jamais. La flamme, dĂ©mon entre ses reins, ne se contenta pas de cet aveu. Aya voulait Azphel plus que n'importe qui. C'Ă©tait un cri du coeur, un cri du corps. Organes entiers en chamaille au passage de ses doigts, mĂȘme, de son regard. PassĂ©e au crible par ses prunelles, il savait tout, devinait tout en elle. Jusqu'au plus infime penchant d' mains d'Azphel s'insinuĂšrent sous le haut de sa compagne, remontĂšrent Ă -mĂȘme la peau pour agripper son dos frĂȘle. Leurs prunelles se rencontrĂšrent, long moment d'intensitĂ© palpable alors que la patte du Loup venait s'enticher de la nuque de sa Belle. Les retrouvailles de leurs bouches affamĂ©es Ă©taient prĂ©visibles, et d'autant plus intenses. Le baiser que lui imposa le mage Ă©tait chargĂ© de signification, d'appartenance aveugle Ă ce qu'ils estimaient ĂȘtre leur couple, leur duo d'ombres, toutes offertes l'une Ă l' minutes se dĂ©sagrĂ©geaient en souffles conquis et complices. Il n'Ă©tait question que de quelques secondes pour la dĂ©vĂȘtir, que d'un instant infime de rĂ©flexion pour s'offrir toute Ă lui. Azphel avait ça dans ses mains, dans ses lĂšvres qui remontaient la peau nacrĂ©e de sa nymphe, perdue sous ses doigts. Les mots ne servaient plus Ă faire Ă©clore le dĂ©sir. Sa prĂ©sence, son souffle il fallait taire la violence des Ă©motions qu'il se chargeait de faire naĂźtre. Les coups de bassin amourachĂ©s de sa femme, en proie Ă ce qu'il provoquait, lui arrachaient des soupirs lascifs. Il n'avait qu'Ă animer la poupĂ©e pour qu'elle rĂ©ponde comme il le Comme ça ? chuchotait-elle, candide, alors qu'il se perdait en plaintes contre sa aimait ça, bon sang qu'elle aimait ça, perdre le contrĂŽle tout en le gardant sur lui. Il ne pouvait dĂ©cider, seulement supporter, quĂ©mander, doigts enfoncĂ©s jusqu'au drĂŽle de tantrisme Ă leur image il n'avait qu'Ă la dĂ©pouiller de toutes ses sensations pour s'en accaparer, deux corps joints Ă l'unisson. Plus rien n'avait de sens que leur union, plus rien ne semblait les satisfaire que de s'offrir l'un Ă l'autre. Une jouissance toute en Plus fort, grognait-il alors qu'elle accĂ©lĂ©rait, poigne fĂ©roce glissĂ©e autour de la gorge de sa belle, sa gosse perdue jusqu'au Encore ? exhala-t-elle, toujours, toujours. Coeur au bord des lĂšvres, poumons emplis de lui. Il ne suffisait plus seulement de donner, il fallait continuer. Le sentir grandir en elle. Le sentir tout faire chavirer. Re EchappĂ©e belleContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Droitdâauteur: alekseyk1975 / 123RF Banque dâimages La veste est un vĂȘtement courant, mais câest aussi un objet qui a Ă©tĂ© une source dâinspiration pour la crĂ©ation dâexpressions idiomatiques. DĂ©couvrons les expressions qui comportent le mot veste.. Expressions imagĂ©es . Voici des expressions idiomatiques avec le mot veste.Lisez les exemples et essayez de Mon regard se figea quelque instant sur le visage de la princesse acide. Elle nâavait pas tort, on ne manquait pas franchement de flotte⊠par contre qui dit point dâeau dit proie et surtout on peut se planquer dedans en utilisant la bonne veille technique de la paille. Puisque quitte Ă boire de lâeau, je prĂ©fĂšre quâon mettre un sceau dâeau dehors, et boire la pluie que celle dâune sorte de mare aux canards. Je ne lui rĂ©pondis pas. Techniquement trĂšs efficace, pour Ă©viter dâattiser le feu. Je le fais avec ma sĆur quand elle est trop chiante. ImmĂ©diatement, elle se calme, puisque je ne lui donne pas de matiĂšre Ă montrer dans les tours. Non, pas que craignant de mâengueuler avec Kara. Mais simplement, que je sentais bien, quâelle Ă©tait Ă bout et quâelle en avait pleins le derriĂšre !Je reportais mon attention sur le lavabo et puis elle craqua. Ce nâĂ©tait pas vraiment du rĂ©confort mes phrases, ça je ne sais pas du tout faire⊠mais alors pas du tout. Plus de lâhumour, pour pas quâelle sâeffondre et pleurniche. Enfin, jâai du mal Ă la voir se lamenter comme une pauvre femme faible et dĂ©sespĂ©rer. Mais au cas oĂč, je ne dĂ©sirais pas voir se spectacle. Quâelle pleure ok, mais pas de maniĂšre de gonzesse effarouchĂ©e. Je nâai pas besoin de ça, faut survivre malgrĂ© nos emmerdes ! Câest malheureusement le cas oui, nous sommes dans la merde, perdu et avec lâenvie de partir loin de tout ça. En tout cas, elle se mit Ă rire, câest bon signe ! Et sa petite rĂ©plique mâarracha un rire Ă mon tour. Oh si ça peut rendre service Ă sa majestĂ© ⊠» Fis-je dans la mĂȘme lancĂ©e ironique, sans me douter quâau fond dâelle, elle en Ă©tait presque sĂ©rieuse. Elle obtempĂ©ra Ă ma proposition sur lâeau. Il est toujours Ă©trange, que de se laver un peu, permet dâoublier un court instant la galĂšre. Cela a toujours eu un effet assez Ă©trange sur les gens et bĂ©nĂ©fique sur leur comportement aprĂšs. Pour ça, que je ne comprenais pas les humains, qui ne se lavait jamais. Un coup dâeau et zou, une bonne humeur. Ă moins que cela soit un rĂ©flexe de personne civilisĂ© ? Peut-ĂȘtre bien aprĂšs ricanai Ă sa petite mention sur lâeau. Il y a quoi ĂȘtre dĂ©goutĂ©e en effet. Cela me fit prendre conscience, que jâavais le pantalon humide, mon vĂȘtement de pluie avait dĂ» se prendre des coups, pour ne pas dire sâĂȘtre fait dĂ©chirer bien gentiment par les pierres dans la pente. Ce matĂ©riel Geniis, câest de la camelote en boite ! Si on ne chope pas la crĂšve avec toutes nos conneries du jours⊠je pense quâon pourra louer qui ont veut, pour elle un dieu si elle est croyante, mais moi les Lays, dâavoir une vigueur de malade !Enfin bon, ce petit frisson, me fit prendre conscience que cette commode serait bien en petit morceau pour faire un feu et se rĂ©chauffer. Kara, loin dâĂȘtre en reste dâhumour, me fit arrĂȘter mon geste et je pouffai. Ouai⊠Normalement les princesses sont des reines du logis... Le prince va Ă la guerre » Dis-je amusĂ©. Il y avait beaucoup de conte plus ou moins commun Ă travers les cultures. Chez les Geniis, on en avait des trĂšs anciens, sur une monarchie qui nâexiste plus depuis les premiĂšres sĂ©lections Wraiths. Mais, le principe de la femme au foyer est trĂšs prĂ©sent, mĂȘme le besoin de soldats les a rendus indĂ©pendante et des membres a part de la sociĂ©tĂ© au mĂȘme titre que les hommes. Tu ferras le mĂ©nage et le repassage et moi, le bois et la cuisine » RĂ©pliquait-je dâun ton lĂ©ger. Jâavais presque envie de lui dire, que ma sĆur ne savait pas faire Ă manger et quand câest le cas, on mourrait bel et bien Ă cause dâun poison, mais je mâabstenue de lui rĂ©vĂ©ler les talents flippants de ma jumelle. Le meuble fut la matiĂšre premiĂšre Ă un beau feu dans la cheminĂ©e. Jâai toujours trouvĂ© les flammes fascinantes, quâil dommage de ne pouvoir les toucher sans se faire mal. Tout en me rĂ©chauffant, je comptais les tubes encore intacts, qui furent sorties du sac, qui nâavait franchement pas belle allure. Avec mon couteau je dĂ©chirai la partie saine du tissu pour en faire un nouveau sac, histoire de ne pas perdre notre butin. Il est vrai quâon aurait lâair fin chez nous, de dire quâon a mis autant de temps pour rien. Druan, ne serait pas ravi, mais au final je nâaurais strictement rien dĂ©penser de ces piĂšces dâor, donc il allait pas mâembĂȘter ! Enfin quâimporte, je ne pense pas quâil soit derriĂšre mon cul, pour demander des comptes, surtout pour des tubes. Lui se qui lâintĂ©resse câest la finalitĂ© ! Je nâai pas de compte Ă rendre. Tant que je fais mon travail » Dis-je en haussant les Ă©paules. Je me levai, pour mettre prĂȘt de la porte le sac usagĂ© avec le verre brisĂ© dedans, en cas dâattaque, lancer des projectiles coupants Ă©taient une bonne idĂ©e. Puis, revenu prĂȘt du feu Ă cĂŽtĂ© de la miss, qui se leva ⊠elle a la bougeotte tout comme moi ont dirait. Oui, mais si on peut nous laisser peinards durant la nuit, ça me va » De toute façon, que pouvons-nous faire avec cet orage ? Je nây vois que dalle et elle ne pouvait pas gambader des heures et des heures sous cette flotte. Autant restĂ© lĂ , tranquillement attendre que mĂšre nature se calme. Et on bougera. On avait le confort dâĂȘtre perdu et les Geniis, nâallaient pas nous trouver je suivis ses mouvementsâŠ. Elle se radinait avec ⊠non sĂ©rieux une bouteille dâalcool ? Mais cela devait ĂȘtre du bon tors boyaux de chasseur ! Je ne pus mâempĂȘcher de sourire dâun air complice. On allait sâoccuper oui ! Ah ! Je sens que tu vas ĂȘtre cuitĂ© rien quâen la sentant ! » Une petite provocation gratuite. Je tendis la main, pour ouvrir la bouteille et oui, elle sentait fort lâeau de vie au fruit. Je ne sais pas si câest une bonne idĂ©e de boire alors quâon a des Geniis aux fesses. Mais, tant quâon nâest pas trop rond ça va » Et puis accessoirement jâai une bonne rĂ©sistance a ce genre de breuvage ! Si vous savez ce que boit Tebâ⊠ça dĂ©colle la tapisserie ! AprĂšs il ne faut pas oublier, que la notion de danger mâĂ©tais floue, sur le coup, mon esprit Ă©tait ravi de boire un peu et dâoublier cette journĂ©e et mon instinct me faisait remarquer de ne pas trop en abuser pour ĂȘtre opĂ©rationnelle si on est encore attaquer. Il fut un temps oĂč elle lui aurait rĂ©pondu quâelle tenait trĂšs bien lâalcool mais ce temps Ă©tait rĂ©volu. Et puis lâĂ©vidence Ă©tait devant ses yeux..la diffĂ©rence de gabarit. Naalem Ă©tait une armoire Ă glace et pas Kara. Mais quand mĂȘme de lĂ Ă ĂȘtre cuitĂ© quâavec lâodeur il ne fallait pas pousser. Je vais au moins tenir deux verres face Ă toi...dâailleurs en parlant de verre. Ou ce que câest quâils sont ?» La jeune femme fit le tour de la cabane presque en chantonnant pour trouver des verres. Mais niet, nada, yâavait rien dâutilisable dans ce taudis. Tout en continuant ses fouilles, Kara rĂ©pondit Ă Naalem. Tu sais quoi? Je les emmerde les Geniis.» Voilà ça câĂ©tait dit. La brune nâavait pas lâhabitude de parler aussi mal mais les circonstances Ă©taient exceptionnelles. Bon yâa pas de verres donc on va la faire Ă lâancienne cette bouteille, direct au goulot. » Kara Ă©tait passĂ©e en mode â lachĂ© priseâ et ça pouvait faire bizarre Ă Naalem. Elle vint donc s'asseoir en face du feu, attendant quâil fasse de mĂȘme. Ils nâallaient quand mĂȘme pas boire debout. Deux verres ? Eh bah cela allait ĂȘtre du rapide. BĂȘtement je me mis Ă rire, lâimaginant ronde comme une queue de pelle. Et son gros mot renforça mon rire. Mais câest quâelle en disait des grossiĂšretĂ©s la princesse dit donc ? Enfin je ne vais pas me vexer, pour moi, je ne suis plus Geniis, depuis que je me suis barrĂ© de leur ville de tarĂ© souterrain. La vie de lapin, ce nâest pas mon trip. Eh bien princesse on se lĂąche ! » dit-je dâun ton jovial, jâaime bien cette nouveautĂ©, ĂȘtre trop austĂšre ou engoncĂ© dans un protocole verbal ce nâest pas bon. Faut savoir dire un beau merde » parfois et un peu de vulgaritĂ© dans des moments aussi dĂ©sespĂ©rer ça dĂ©tend. Et ça la rend moins cul pincĂ© la demoiselle. Sa recherche de verre fut un Ă©chec ! bof, Ă lâancienne, pas besoin de sâembĂȘter Ă prendre des verres. Oui, ne tâembĂȘte pas va ! Je suis Ă jour sur mes vaccins et je ne suis pas malade ». Je me tournai pour lui faire face. On ne va pas boire comme le papi pour le principe de se mettre en lâair ⊠Chez les tĂȘtes couronnĂ©es, vous avez bien un jeu ou ce nâest pas dans le protocole ? ». Oui elle se lĂąchait car sinon câĂ©tait ses nerfs qui allaient lĂącher et elle ne voulait pas rejouer la scĂšne de la pauvre Princesse en dĂ©tresse. Et puis Kara Ă©tait plus proche de la fille joyeuse qui aimait sâamuser que de la Princesse guindĂ©e. Du moins elle Ă©tait comme ça plus jeune, quand Naalem lâavait vu pour la premiĂšre fois mais dommage pour lui ce soir elle nâavait pas Ă©tĂ© dâhumeur. Elle rigola Ă sa phrase en lâimaginant se faire piquouser pour ĂȘtre vaccinĂ©...fallait pas quâil bande ses muscles sinon lâaiguille se casserait. Bref, elle lui prit la bouteille des mains pour boire une gorgĂ©e. Elle se mit immĂ©diatement Ă tousser, comme si du feu descendait dans sa gorge. Câest fort ce truc. » Kara tendit la bouteille vers Naalem pour que lui aussi se brĂ»le le gosier. La jeune femme mit un moment Ă reprendre une voix normale. Elle essaya de sortir quelques sons, mais on aurait dit un dragon tentant de communiquer. Elle Ă©tait persuadĂ©e que si elle mettait du feu devant sa bouche, en soufflant dessus, elle allait tout embraser. Ouuuuhhh lĂ si tu savais tout ce quâon fait qui nâest pas dans le protocole. Oui on a un jeu, le â as-tu dĂ©jĂ fait ? â Je te pose une question, si tu as fait ce que concerne la question tu dois boire une gorgĂ©e. Du style as-tu dĂ©jĂ de bu de lâalcool ? oui donc tu bois. Autant dire que les questions sont souvent trĂšs intimes ». Eh bah⊠voilĂ quâelle me prendre la bibine sans mĂȘme demander. Elle en avait besoin. IntĂ©rieurement je me mets Ă rire, comme quoi lâalcool câest universel pour aller mieux et sâen ait presque flippant que les humains soient si prĂ©visibles et similaires Ă lâautre bout de la galaxie. En tout cas, vu sa tĂȘte, ça doit ĂȘtre lui pris la bouteille pour sentir et boire une petite gorgĂ©e histoire de jauger le breuvage. Oh putain mais oui ! Je fis une petite moue un peu pliĂ©e. Mais aussi fort que cela soit, il y a un bon petit arriĂšre-goĂ»t de fruit qui passe large ! Ouai⊠enfin elle est plutĂŽt bonne, quand le cĂŽtĂ© fort passe » fis-je en ricana,voyant ses efforts Ă communiquer. Elle Ă©tait enrouĂ©e. Bon ça me rassure vous ĂȘtes des gens normaux » fis-je ironiquement, faut dire quâon sâen fait tout un patacaisse de la royautĂ©, enfin dans lâimaginairede mon peuple. Je connais ce jeu. Ăa me va bien⊠! » Je mâen fou du cĂŽtĂ© intime, je choisirais de dire ce qui mâintĂ©resse on peut toujours esquiver de maniĂšre intelligente Ă ce jeu ! Alors as-tu dĂ©jĂ fait quelque chose de proscrit par ton peuple ? » Je commence fort !Bonne, mouais, Kara avait dĂ©jĂ goĂ»tĂ© bien meilleur mais vu leur situation elle allait sans problĂšmes se contenter de ça. Et bien sĂ»r que les royaux Ă©taient des gens normaux, ils avaient juste une vie diffĂ©rente. Quoi que grĂące Ă tous ses voyages, Kara avait rĂ©alisĂ© quâelle avait vraiment une vie de privilĂ©giĂ©e. Par contre elle nâallait pas culpabiliser par rapport aux gens pauvres. Certains ne sont pas normaux mais la plupart on sait trĂšs bien quâon est des chanceux. » La jeune femme nâavait eu que cette idĂ©e de jeu qui lui Ă©tait venue en tĂȘte. Ce nâĂ©tait surement pas le meilleur jeu Ă faire avec un inconnu mais pas trĂšs grave vu quâils ne se reverront pas aprĂšs sâils arrivaient Ă sortir dâici. Et dans le cas oĂč ils nây arriveraient pas, les Geniis les tueraient donc elle nâavait pas de soucis Ă se faire pour sa rĂ©putation. La premiĂšre question partait fort dĂ©jĂ . Eh ben.. Elle lui prit la bouteille des mains pour boire une gorgĂ©e. Normalement je devrais limite boire toute la bouteille avec une question pareille. As-tu dĂ©jĂ regrettĂ© dâavoir fait quelque chose de mal dans ta vie ? » Jâhochai la tĂȘte, je ne connaissais pas cette vie, la mienne Ă©tait bien trop Ă©trange. Dans un sens jâai Ă©tĂ© aussi privilĂ©giĂ© dâavoir le paternelle grand officier, cela nous a permis avec Teshara de ne pas ĂȘtre tuĂ© Ă cause de nos comportements Ă©tranges⊠et intĂ©grĂ© lâĂ©lite des forces de Koyla. Quoique ce dernier point fut surtout dĂ» Ă notre propre fait, on ne fait pas lâimpasse sur des gĂ©nies. Mais bon, au final, je nâai pas connu le mystĂšre des pas fond de nos villes souterraine Ă racler la cuvette des chiottes des soldats. Mais dire que jâavais Ă©tĂ© rĂ©ellement dans un confort⊠vu ce que je peux me crĂ©er et me construire, mon ancienne vie est miteuse. La vie de Geniis est miteuse de toute donc et sans surprise, elle but une gorgĂ©e. Pas trĂšs sage la princesse⊠» Dit-je avec un rictus malicieux. Jâaime bien les nanas qui sont rebelles et non coincĂ©es Ă dire que la moindre chose est mal. Enfin quand on ne sait pas oĂč est la notion bien & mal, on ne peut quâaimer les personnalitĂ©s qui ne sâembĂȘtent pas avec les rĂšgles. Par contre sa question, comment direâŠmais me laissa quelques secondes dans mes pensĂ©es et cela devait se voir que je semblais un peu dĂ©contenancĂ©. Le regret. Je savais la dĂ©finition littĂ©rale de ce mot, mais selon les mĂ©decins, je nâai pas la comprĂ©hension de ce genre de ressentis⊠Je trouve ça con, je peux tout ressentir non ? Enfaite non, je sais bien que quelque chose cloche et jâen suis plutĂŽt fier de ne pas ĂȘtre aussi faible que la plupart de mes congĂ©nĂšres. Euh qui se plie et de peur quand les Wraith arrive, je suis le seul avec ma sĆur Ă se dresser et Ă se battre sans jamais trembler⊠Mais cela entraĂźne aussi dâautre Ă©tat, comme le manque dâempathie, quoique en consolant » Kara nâest-ce pas ça lâempathie ? Je nâen sais rien et je mâen fou au final⊠peut-ĂȘtre pas. Le regret⊠comment les autres lâexprimaient tâils ? Avait dĂ©jĂ regrettĂ©e une de mes actions ? Mes actions sont toujours bien et je ne les aurais pas changĂ©es. Peut-aurais-je un jour du regret si lâune dâentre cause la perte de ma moitiĂ©, de ma sĆur⊠mais cela reviendrait Ă me tuer regard alla sur la bouteille et je ne la pris pas. Je ne sais pas ce que câest⊠» Cela pouvait ĂȘtre un truc de gros bras qui se la pĂšte pour impressionner la nana, mais je nâai pas besoin de rouler des mĂ©caniques. Je ne drague pas et puis bon, jâai pas cette prĂ©tention de mâembellir plus, je me trouve proche dâune perfection, celle que mon esprit Ă peint et que jâai tentĂ© dâatteindre. De toute façon, vu le ton de ma voix, un peu plus faible et mon air un peu déçu de ne pas pouvoir rĂ©pondre favorablement au jeu, montre que je ne mens pas ou que je ne cherche pas Ă mettre plus de paillette sur une personnalitĂ© qui ne brille pas par la lumiĂšre. Bon a moi ! As-tu dĂ©jĂ Ă©tĂ© attaquĂ© par un Wraith ? » Pas trĂšs joyeux j'avoue. La jeune femme lui fit un clin dâĆil complice. En effet elle nâĂ©tait pas sage et elle Ă©tait vraiment loin de lâĂȘtre. La brune nâĂ©tait pas vraiment la princesse de base, toute belle, toute sage, bonne Ă marier. Ok elle Ă©tait belle mais pour le reste lĂ non. Kara avait pensĂ© poser une question tout Ă fait innocente mais quand elle vit le moment que mis Naalem Ă rĂ©pondre puis le ton assez bas de sa voix elle savait quâelle avait touchĂ© un point sensible sans faire exprĂšs. Le but du jeu nâĂ©tait pas d'embarrasser lâautre et elle aurait pu presque sâen excuser. Bien sĂ»r elle ne le fit pas mais ne dit rien de plus Ă ce sujet. Quand elle entendit la question, la rĂ©ponse Ă©tait facile Non. Elle avait entendu parler des Wraiths, savait que son peuple avait une certaine trĂȘve mais pas plus. En plus elle ne savait mĂȘme pas si câĂ©tait rĂ©ellement une trĂȘve ou autre chose donc elle ne prit pas la bouteille. Donc Ă mon tour et passons aux choses sĂ©rieuses mais facile...As-tu dĂ©jĂ couchĂ© avec une femme ? » La PĂ©gasienne avait compris quâil valait mieux Ă©viter certains sujets donc le sexe Ă©tait un terrain sans risques et comme elle nâĂ©tait pas prude ça ne lui posait pas de problĂšmes. Et puis elle avait vraiment commencĂ© par du facile oĂč elle Ă©tait sĂ»re quâil devrait nâavait jamais Ă©tĂ© attaquĂ© par un Wraith ? En avait-elle dĂ©jĂ vu ? Rien que pour ça, elle pouvait ĂȘtre chanceuse. Ce nâĂ©tait pas le cas de beaucoup dhumain. Pour ma part oui, plusieurs fois et jâavoue quâil nây a sĂ»rement rien de pire que de voir ses immondes crĂ©atures dans le question Ă©tait⊠hilarante, je pris cependant sur moi pour ne pas rigoler. Jâaffichai au contraire une mine grave presque honteuse. Je vous ai parlĂ© de mes talents de comĂ©diens ? Eh bien voilĂ chose faite. Euh⊠».Je laissai quelques instants filĂ©s dans notre temps. Histoire de la faire mariner un en relevant les yeux vers elle, jâĂ©clata de rire. JâĂ©tais plutĂŽt fier de ma connerie moi ! Je pris la bouteille, buvant un coup. Arff câest super fort, je sens quâau bout de la cinquiĂšme gorgĂ©e je ne ressentirais plus rien, puisque je nâaurais tout bonnement plus de trachĂ©e ! Haha, je rigole, faudrait que je vide cette bouteille moi aussi⊠mon Ă©tat de puceau, est bien loin ! As-tu dĂ©jĂ couchĂ© avec plusieurs partenaires en mĂȘme temps ? » Soyons dans lâintime et le marrant ! Il pensait vraiment que Kara allait se faire avoir avec son petit jeu dâacteur ? La jeune femme nâĂ©tait pas nĂ©e de la derniĂšre pluie donc si Naalem lui rĂ©pondait que non, elle saurait que câĂ©tait un mensonge. Elle nâĂ©tait pas dĂ©jĂ pas tombĂ©e dans son cinĂ©ma il y a des annĂ©es ce nâĂ©tait pas pour se faire avoir maintenant. Mais non aprĂšs son numĂ©ro il lui dit la vĂ©ritĂ©. Et hop une gorgĂ©e pour le Genii, ils devaient ĂȘtre Ă Ă©galitĂ© maintenant mais Ă ce rythme-lĂ Kara tiendra beaucoup moins longtemps que son compagnon dâinfortune. La brune Ă©couta la question...mince si lui aussi restait sur les questions intimes elle allait finir vraiment chiffon carpette. Elle lui prit la bouteille et bu une gorgĂ©e. Le seul point positif de ce tord boyaux câĂ©tait quâelle nâavait plus froid, lâalcool la rĂ©chauffait de lâintĂ©rieur et aussi le feu de cheminĂ©e qui Ă©tait en face dâelle. Dâailleurs elle descendit un peu la fermeture Ă©clair de son haut. Ă mon tour, as-tu dĂ©jĂ fais lâamour plusieurs fois dans un mĂȘme journĂ©e mais pas avec la mĂȘme personne ? »Bon je ne lâavais pas bernĂ©, mais bon ce fut trop tentant comme rĂ©action. Câest comme si on vous demande, pourquoi vous ĂȘtes blond ? On ne peut faire que lâidiot. Et puis bon, jâĂ©tais content, le but Ă©tait de sâamuser, mĂȘme si de base, ont Ă©tait pas lĂ pour Ă©clair zĂ©bra le ciel et tomba non loin, cela dĂ©chira le ciel quâon ne pouvait pas voir Ă travers les petites meurtriĂšres. Et tant mieux. JâespĂ©rais que dâautres Ă©claires viendraient Ă tomber sur les pauvres fous, qui galopent dans les sentiers Ă notre je pris une autre gorgĂ©e de cette liqueur. Je suis rĂ©putĂ©e, pour ĂȘtre un tombeur et me farcir plusieurs nanas dans la journĂ©e mâest dĂ©jĂ arrivĂ©. Dans un sens, sur RenĂ©gat il est facile de se trouver de la compagnie. Mais, je prĂ©fĂšre les gratuite, celle qui demande un minimum dâattrait. MĂȘme si bon, parfois, allĂ© Ă la facilitĂ©es nâest pas si mal, quand câest Ă but dâentretien. Hum⊠As-tu dĂ©jĂ testĂ© de lâAtlante ? »Kara le regarda dâun air un peu indĂ©chiffrable lorsquâelle le vit boire en rĂ©ponse Ă sa question. Ah ben lĂ il la laissait sans voix. La pĂ©gasienne en conclut une chose, câest quâun homme quâimporte sa race restait un homme et Ă©tait donc en grande partie dirigĂ© par ce quâil avait entre les jambes. Mais plusieurs femmes dans la mĂȘme journĂ©e? La brune ne savait pas si elle trouvait cette rĂ©vĂ©lation dĂ©gueulasse ou pas. Elle entendit sa question et ne prit pas la bouteille. Eh ouais elle nâavait jamais eu dâAtlante dans son lit encore. Ok elle en avait embrassĂ© un plusieurs fois mais ce nâĂ©tait pas allĂ© plus loin Ă son grand dĂ©plaisir. Bon elle devait trouver une nouvelle question pertinente⊠As-tu dĂ©jĂ eu des expĂ©riences avec quelquâun du mĂȘme sexe que toi ? » Je ne savais pas trop Ă quoi, elle avait pensĂ©e suite Ă cette rĂ©vĂ©lation⊠mais bon quâimporte. Je nâavais pas justifiĂ© mes folies. Par contre, elle nâavait pas essayĂ© dâAtlantes, bon⊠peut-ĂȘtre quâils sont pas gĂ©niaux, ou quâelle nâavait pas lâoccasion, il doit bien quâil y avoir que moi entre nous deux, qui se pose autant de questions la seconde question⊠je vais vraiment me faire passer pour le libertin de service. Mais bon, ce fut pour voir comment ce fut. Une expĂ©rience de lâun des amants de ma sĆur. Et ce ne fut pas concluant, prĂ©fĂ©rant les femmes. Je bu une gorgĂ©e⊠je fais que ça lĂ ! Jâallais te poser la mĂȘme question. Donc miroir » Expression de mon peuple. Alors euh lĂ si Kara nâavait pas Ă©tĂ© assise elle serait tombĂ©e sur les fesses dâĂ©tonnement. Jamais au grand jamais elle nâaurait imaginĂ© Naalem, le mec respirant la virilitĂ© par tous les pores de la peau quâil ait pu tester les hommes. Cette soirĂ©e allait vraiment de surprises en surprises et lĂ finalement la jeune femme ne savait pas si cette rĂ©vĂ©lation Ă©tait amusante ou pas. Kara avait une imagination dĂ©bordante et donc lĂ pas besoin de vous faire un dessin sur les images qui passait dans son cerveau. Dâailleurs une nouvelle question germa dans son esprit un peu pervers mais lĂ elle ne savait pas vraiment si elle pouvait la poser. Elle Ă©couta la question du jeune homme et prit la bouteille pour boire. LĂ aussi elle aurait pu boire une grande partie de la bouteille A une Ă©poque Kara avait eu autant de partenaires fĂ©minins que masculins en fait ça câĂ©tait arrĂȘtĂ© que depuis quâelle Ă©tait sur Atlantis. Le liquide descendit dans sa gorge et lĂ lui brĂ»la. Cette sensation de brĂ»lure restait mĂȘme longtemps aprĂšs lâavoir bu. Kara enleva sa veste Atlante pour rester en dĂ©bardeur. Elle entendait vaguement le bruit de lâorage dehors. Elle nâavait rarement vu un orage durer aussi longtemps. Je commence Ă manquer dâidĂ©es et Ă ĂȘtre aussi bien gaie, dis...et si on dansait ? ou Alorssssss » Kara se leva et se mit Ă marcher dans la cabane en gardant la bouteille dans la main et en buvant quelques gorgĂ©es. Elle sâapprocha de Naalem et trĂ©bucha avec lâalcool en lui tombant dessus Connais tu le jeu action ou vĂ©ritĂ© ? » Bon nous Ă©tions deux gros curieux en fait. Au moins, si on meurt dans la journĂ©e qui arrive, on aura bien vĂ©cue. Et ayant une imagination fleurie et heureusement, sinon je ne serai pas un bon concepteur de technologieâŠun grand technifique ! Jâeu plusieurs images cocasses suite Ă cette rĂ©vĂ©lation. Parfois, je me demandai comme cela devait ĂȘtre entre deux femmes ! Il y a des choses quâon ne peut connaĂźtre Ă cause de la barriĂšre du commençais Ă ĂȘtre bien, sans pour autant pompette comme une trompette. Par contre, je crois que lâalcool vient de me dĂ©truire la gorge, tellement elle est forte. Ă se demander si les chasseurs ne lâutilisent pas pour dĂ©caper les murs ! Enfin ce fut sur cette constations, que la princesse reine des elfes noirs, dĂ©cida de se lever pour ⊠me proposer de danser ? Et la musique ont la fait au son des Ă©clairs ? Je me mis Ă ricaner comme un idiot, nous imaginant danser sur le son de mĂšre nature en colĂšre ! Ou alorrssssssss ? » Dit-je dâune maniĂšre taquine. Elle Ă©tait drĂŽle et cela tenait aussi du fait quâelle commençait Ă ĂȘtre de trĂšs bonne humeur. Je la suivais du regard alors quâelle ne marchait pas droit, pour finir par me tomber dessus. Jâavais les jambes croiser en tailleur et elle se retrouva sur celle-ci. Je lui pris la bouteille. Tu vas finir par la casser la danseuse ! » Je ne fis rien pour la relever Ă dire vrais. Je pus une gorgĂ© et ⊠ça brĂ»le encore ! La vache ! Ouai je connais, chez nous c'est bouge ou parle. Action ou vĂ©ritĂ© ? » Je sens que ça va finir en nâimporte quoi ! Et le pire câest que jâais Ă fond, enfin je suis toujours Ă fond pour faire des conneries ! Kara ne se rappellait mĂȘme plus la derniĂšre fois oĂč elle avait Ă©tĂ© dans cet Ă©tat. Avant Atlantis donc câĂ©tait yâa longtemps. Câest fou comme elle jugeait sa vie bien ennuyeuse maintenant. Mais au moins lĂ en cet instant malgrĂ© le danger qui planait sur eux, elle sâamusait bien. Elle voulait danser, chanter, en fait ce que la jeune femme voulait câĂ©tait se lĂącher, oublier la princesse, oublier la diplomate et sâamuser comme quelquâun de normal. Quand elle se leva, elle se mit Ă tourner sur elle-mĂȘme ce qui ne lâaida pas Ă garder son Ă©quilibre alors que ce tord boyaux dĂ©cidait de mettre son grain de sel. Elle se retrouva sur Naalem et fut assez surprise car elle ne se rappelait sâen ĂȘtre autant approchĂ©. Bah pas bien grave ça. Maaiiiis non, elle est solide la danseuse » Elle le regarda en rigolant. Oui bon lĂ la PĂ©gasienne Ă©tait perdue, lâalcool avait pris le contrĂŽle de son cerveau mais surtout de son corps. InstallĂ© comme elle Ă©tait sur les jambes en tailleur de Naalem, elle passa un bras autour de son cou et braqua son regard vert dans le sien. Je choisis action » Et en mode furtif elle lui piqua la bouteille pour boire une nouvelle gorgĂ©e. Oui oui, elle est solide⊠enfin si elle continue Ă valser elle va se faire mal. Je lui fis une petite moue pour lui dire mais oui mais oui ». Et puis de toute façon, je nâeus pas trop le temps de la charrier sur le fait quâelle glisse que madame fut sur moi. Bon⊠autant si elle Ă©tait vracs, je mâen fichais, mais voilĂ , quâelle mâenlace avec son regard vert digne dâune tentatrice⊠enfin on dira ce quâon veut des hommes, quâils sont forts et quâils sont lĂ pour casser des rotules, mais on reste tous pareils avec une belle nana Faible. Surtout quand elle est dans vos bras, vous ne rĂ©sistez pas longtemps. Enfin si lâidĂ©e de rĂ©sistez-vous traverse lâesprit. LĂ , sur le coup, jâavais pleins dâactions peut chastes Ă lui bon, câest facile de profiter de lâalcool franchement. Et en plus, elle me pique la bibine ! Mais⊠» Et sans attendre, je lui rĂ©pliquai la bouteille, on allait se chamailler pour ça franchement. Je bu une gorgĂ©e. Bon, comme tu sembles vouloir bouger et danser⊠action deux tours Ă cloche pieds ! On va voir si elle est solide la danseuse » Je fis un petit mouvement de tĂȘte, pour lui dire zou action ! Je commençais doucement Ă me laisser prendre au jeu et surtout par lâalcool, le ventre vide, on se torche plus rapidement. Non mais Kara venait bien de voir ce quâil venait de faire ? Il venait dâoser lui prendre sa prĂ©cieuse bouteille, quâelle avait trouvĂ© au prix dâun danger insurmontable ? Elle lui fit une moue trĂšs enfantine limite Ă bouder quâon lui prenne son jouet. LĂ ils allaient commencer Ă mal sâentendre sâil lui prenait lâobjet de sa convoitise, en plus Kara nâĂ©tait pas du genre partageuse. Maaaaaaiiiisss ma bouteille...tâes un mĂ©chant pfff » Elle Ă©couta quand mĂȘme le gage quâil lui donnait, un jeu Ă©tait un jeu. Elle se leva et tourna sur elle-mĂȘme deux fois Ă cloche pied. La jeune femme avait un peu la tĂȘte qui lui tournait mais elle gĂ©rait bien. Elle revint vers lui et cette fois resta debout face Ă lui en prenant la bouteille. Alors maintenant Ă toi, action ou vĂ©ritĂ© ? » Kara Ă©tait dâun tempĂ©rament joueur et provocateur mais lĂ pour le moment Naalem avait de la chance, elle ne le provoquait pas. Je ne pus mâempĂȘcher de rire face Ă cet air dâenfant capricieuse ! On la retrouve bien lĂ ! La princesse ! Oh oui au moins ! Mais je ne le serais pas, si sa majestĂ© daignait partager son breuvage ! » Je gardai la bouteille bien sagement entre mes mains, manquerait plus quâelle me la pique. Et puis, elle avait un gage Ă faire. Jâattendais avec une certaine impatience, quâelle se ramasse, mais non madame avait bon Ă©quilibre. Tant pis, cela aurait pu ĂȘtre drĂŽle et jâaurais eu raison de dire quâelle allait s