Bref la femme peut ĂȘtre thĂ©matisĂ©e comme un sujet Ă  part entiĂšre de la rĂ©flexion philosophique. En tĂ©moignent les citations philosophiques sur les femmes que nous avons rassemblĂ©es, notamment sur les rapports hommes/femmes, la 1– “Il est autorisĂ© d’avoir des rapports sexuels avec une fille de trois ans et un jour », Sanhedrin 55b 2– JĂ©sus Ă©tait un bĂątard nĂ© dans l’adultĂšre », Yebamoth 49b 3– Il est permis de divorcer avec votre femme si vous voyez une plus jolie fille-vierge et attirante, mĂȘme si elle n’est ĂągĂ©e que de 3 ans », Gittin 91a 4– JĂ©sus a Ă©tĂ© envoyĂ© en enfer, oĂč il est puni en Ă©tant bouillit dans des excrĂ©ments”, Gittin 56b 5– Marie Ă©tait une prostituĂ©e », Sanhedrin 106a 6– Les disciples de JĂ©sus mĂ©ritent d’ĂȘtre tuĂ©s », Sanhedrin 43a 7– MĂȘme le meilleur des Goyim non juif devrait ĂȘtre abattu », Abhodah Zarah 26b T 8– Les femmes Juives sont contaminĂ©es par la simple rencontre de Non-juifs », Iore Dea 198, 48 9– Il n’est pas bon de parler aux femmes, pas mĂȘme votre propre femme », Aboth 10– Un Non-juif est comme un chien », Ereget Rashi 30 11– Mangez en prĂ©sence d’un non-juif c’est comme manger avec un chien », Jebamoth 94b. 12– Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains », Abhodah Zarah 4b 13– Si un goyim non-juif frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu , Sanhedrin 58b 14– L’usurele taux d’intĂ©rĂȘt peut ĂȘtre pratiquĂ©e sur les Non-juifs », Abhodah Zarah 54a 15– Si un juif trouve un objet appartenant Ă  un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre », Babha Mezia 24a. 16– La propriĂ©tĂ© d’un Non-juif appartient au premier juif qui la rĂ©clame », Babha Bathra 54b 17– Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder », Sanhedrin 57a 18– Les goyims non juifs qui chercheraient Ă  dĂ©couvrir les secrets de la Loi d’israĂ«l, commettent un crime qui rĂ©clame la peine de mort », Sanhedrin 59a 19– Ordre est donnĂ© de modifier et de ridiculiser les textes religieux des goyims non juifs », Iore Dea 20– Tous les juifs sont vertueux », Sanhedrin SVP pas de commentaires antisĂ©mites
les juifs non sionistes d’adhĂšrent pas Ă  cette idĂ©ologie, bien au contraire! N’oubliez pas de partager cet article
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 Source directe de cet article La page Facebook de la VidĂ©o que Manuel Valls veut supprimer Born in 1953,I am the founder of the Defenders of the Earth in October 10 ,2007. We try to proposed an alternative of the New World Order and a new vision of life. We consider that the Humanity must live in harmony with all forms of life and abolish the neoliberalism for preserve the human life and continue the Earthlians adventure. We consider that we are not alone and we will receive an ultimatum in few time. Voir tous les articles par Michel Duchaine NerĂ©agissez pas Ă©motionnellement Ă  tout ce que l’on vous dit. Si vous permettez aux mots de vous contrĂŽler, vous permettez aux autres de vous contrĂŽler. N’accordez jamais ce pouvoir ! J’ai appris que je ne devais pas perdre mon temps et mon Ă©nergie Ă  me battre avec les personnes toxiques, ils n’ont rien Ă  perdre ! Versets les plus Pertinents Jean 1621 La femme, lorsqu'elle enfante, Ă©prouve de la tristesse, parce que son heure est venue; mais, lorsqu'elle a donnĂ© le jour Ă  l'enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance, Ă  cause de la joie qu'elle a de ce qu'un homme est nĂ© dans le monde. Psaumes 1273 Voici, des fils sont un hĂ©ritage de l'Éternel, Le fruit des entrailles est une rĂ©compense. ÉsaĂŻe 714 C'est pourquoi le Seigneur lui-mĂȘme vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, Et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. GenĂšse 128 Dieu les bĂ©nit, et Dieu leur dit Soyez fĂ©conds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. GenĂšse 1716-19 Je la bĂ©nirai, et je te donnerai d'elle un fils; je la bĂ©nirai, et elle deviendra des nations; des rois de peuples sortiront d'elle. Abraham tomba sur sa face; il rit, et dit en son coeur NaĂźtrait-il un fils Ă  un homme de cent ans? et Sara, ĂągĂ©e de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle? Et Abraham dit Ă  Dieu Oh! qu'IsmaĂ«l vive devant ta face!lire dit Certainement Sara, ta femme, t'enfantera un fils; et tu l'appelleras du nom d'Isaac. J'Ă©tablirai mon alliance avec lui comme une alliance perpĂ©tuelle pour sa postĂ©ritĂ© aprĂšs lui. GenĂšse 2521 Isaac implora l'Éternel pour sa femme, car elle Ă©tait stĂ©rile, et l'Éternel l'exauça Rebecca, sa femme, devint enceinte. 1 Samuel 120 Dans le cours de l'annĂ©e, Anne devint enceinte, et elle enfanta un fils, qu'elle nomma Samuel, car, dit-elle, je l'ai demandĂ© Ă  l'Éternel. Luc 113 Mais l'ange lui dit Ne crains point, Zacharie; car ta priĂšre a Ă©tĂ© exaucĂ©e. Ta femme Élisabeth t'enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jean. GenĂšse 316 Il dit Ă  la femme J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes dĂ©sirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. Psaumes 1139 Il donne une maison Ă  celle qui Ă©tait stĂ©rile, Il en fait une mĂšre joyeuse au milieu de ses enfants. Louez l'Éternel! Psaumes 486 LĂ  un tremblement les a saisis, Comme la douleur d'une femme qui accouche. ÉsaĂŻe 138 Ils sont frappĂ©s d'Ă©pouvante; Les spasmes et les douleurs les saisissent; Ils se tordent comme une femme en travail; Ils se regardent les uns les autres avec stupeur; Leurs visages sont enflammĂ©s. GenĂšse 3516-19 Ils partirent de BĂ©thel; et il y avait encore une certaine distance jusqu'Ă  Éphrata, lorsque Rachel accoucha. Elle eut un accouchement pĂ©nible; et pendant les douleurs de l'enfantement, la sage-femme lui dit Ne crains point, car tu as encore un fils! Et comme elle allait rendre l'Ăąme, car elle Ă©tait mourante, elle lui donna le nom de Ben Oni; mais le pĂšre l'appela mourut, et elle fut enterrĂ©e sur le chemin d'Éphrata, qui est BethlĂ©hem. Matthieu 122-23 Tout cela arriva afin que s'accomplĂźt ce que le Seigneur avait annoncĂ© par le prophĂšte Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. ÉsaĂŻe 667 Avant d'Ă©prouver les douleurs, Elle a enfantĂ©; Avant que les souffrances lui vinssent, Elle a donnĂ© naissance Ă  un fils. MichĂ©e 49 Pourquoi maintenant pousses-tu des cris? N'as-tu point de roi, plus de conseiller, Pour que la douleur te saisisse comme une femme qui accouche? MichĂ©e 53 C'est pourquoi il les livrera Jusqu'au temps oĂč enfantera celle qui doit enfanter, Et le reste de ses frĂšres Reviendra auprĂšs des enfants d'IsraĂ«l. Galates 419 Mes enfants, pour qui j'Ă©prouve de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'Ă  ce que Christ soit formĂ© en vous, Romains 822 Or, nous savons que, jusqu'Ă  ce jour, la crĂ©ation tout entiĂšre soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. Avoir Un Enfant Femmes stĂ©riles Porter Enfant ProcrĂ©ation Punition, Nature de Travail Travail Douloureux Être Femme Never miss a post
Laliberté est femme. La liberté naßt de la délivrance. Kheira Chakor 17 Femme qui rit, à moitié dans ton lit Napoléon Bonaparte 17 Si un homme dicte à une femme ce qu'elle doit faire et
Introduction Le sujet d’honorer nos parents est de grande importance. Une raison pour son importance est que les Ecritures d’à la fois l’Ancien et le Nouveau Testament nous commandent d’honorer nos Le CinquiĂšme Commandement dĂ©clare, Honore ton pĂšre et ta mĂšre afin de jouir d'une longue vie dans le pays que l'Eternel ton Dieu te donne. » Exode 2012 Ce commandement doit ĂȘtre prit au sĂ©rieux, non seulement parce c’est une question de rĂ©vĂ©lation de l’Ancien Testament, mais parce que l’obligation d’honorer nos parents est un sujet qui est rĂ©itĂ©rĂ© et confirmĂ© dans le Nouveau Testament Vous, enfants, obĂ©issez Ă  vos parents Ă  cause du Seigneur, car c'est lĂ  ce qui est juste. Honore ton pĂšre et ta mĂšre c'est le premier commandement auquel une promesse est rattachĂ©e pour que tu sois heureux et que tu jouisses d'une longue vie sur la terre. » EphĂ©siens 61-3 Ainsi, honorer nos parents est un commandement que nous ne devrions pas ignorer. Mais il y a une deuxiĂšme raison pour laquelle nous devons Ă©tudier attentivement le CinquiĂšme Commandement. Honorer nos parents est un des appels les plus importants et la plus grande tĂąche Ă  laquelle nous devons faire face dans notre vie. Il y a deux grandes tĂąches dans nos vies auxquelles la plupart d’entre nous sommes appelĂ©s. La premiĂšre est d’avoir et d’élever des enfants, pour les amener de la dĂ©pendance absolue de nos entrailles, Ă  l’indĂ©pendance de l’adolescence, Ă  la maturitĂ© quand ils deviennent adultes. La deuxiĂšme est de prendre soin de nos propres parents dans leurs derniĂšres annĂ©es. Souvent cela implique la dĂ©tĂ©rioration physique de leurs corps, et frĂ©quemment de leur esprit. Elever les enfants a ses douleurs, mais c’est gĂ©nĂ©ralement accompagnĂ© par la joie de voir nos enfants grandir, devenir matures, responsables, et indĂ©pendants. Prendre soin de nos parents est rarement aussi gratifiant. L’apogĂ©e de ce processus est la tombe. Honorer les parents confronte le ChrĂ©tien avec de nombreux problĂšmes dont la plupart sont la source d’une grande agonie, et souvent de beaucoup de culpabilitĂ©. Nous pourrions avoir Ă  dĂ©cider de prendre ou non un parent ĂągĂ© Ă  venir vivre dans notre maison ou de les placer dans des maisons de retraites. Nous pourrions mĂȘme ĂȘtre appeler Ă  dĂ©cider Ă  dĂ©brancher » ou non la machine qui les maintient en vie ou prolonge la mort. Nous pourrions avoir Ă  prendre des dĂ©cisions avec lesquelles nos parents ne seraient pas d’accord and pour lesquelles ils ou des autres nous accuseraient de ne pas les aimer. Avec tous ces problĂšmes liĂ©s Ă  honorer nos parents, quelqu’un pourrait s’attendre Ă  recevoir beaucoup d’aide de littĂ©rature chrĂ©tienne, mais ce n’est pas le cas. Beaucoup a Ă©tĂ© Ă©crit et dit pour aider les ChrĂ©tiens Ă  Ă©lever leurs enfants. Pendant que j’ai entendu beaucoup des fois trop de choses Ă  propos de la responsabilitĂ© des parents envers leurs enfants, je n’ai rien vu de dĂ©finitif sur la responsabilitĂ© des enfants envers leurs parents. Au mieux, un tel enseignement a presque toujours rapport Ă  l’obligation de jeunes enfants Ă  obeir leurs parents. Au pire, l’enseignement d’honorer les parents est dĂ©formĂ©. Certains ont enseignĂ© que l’autoritĂ© parentale devrait toujours ĂȘtre exercĂ©e, sinon sous la forme de phrases directes, en une pauvre forme dĂ©finie de chaine de commandement ». D’autres voudraient que nous pensions que placer un parent dans une maison de retraite est un pĂ©chĂ© impardonnable. La troisiĂšme raison pour une Ă©tude approfondie du CinquiĂšme Commandement est que notre culture le plus souvent ralentie et oppose nos efforts d’honorer nos parents. Dans la culture de l’ancien Proche-Orient, il y avait une bien plus haute estime pour ceux qui avaient des positions d’autoritĂ© en gĂ©nĂ©ral et pour les parents en particulier. MĂȘme aujourd’hui, les Chinois, par exemple, encouragent honorer leurs parents par une pratique non biblique de vĂ©nĂ©ration ancestrale. Il est inutile de dire que c’est une pratique le fait d’utiliser une façon non biblique que je ne recommanderais pas. Cependant, ça encourage un respect profond des parents et des personnes ĂągĂ©es qui n’est pas prĂ©sent dans notre pays. En AmĂ©rique, plusieurs facteurs ont tendance Ă  dĂ©truire honorer les parents. » 1 Il y a l’impact de la technologie. Dans les gĂ©nĂ©rations prĂ©alables, les pĂšres Ă©taient souvent artisans qui avaient appris leur mĂ©tier de et par leur pĂšre. Il fallut Ă  un fils des annĂ©es pour arriver au niveau de son pĂšre, et il ne le dĂ©passait que graduellement. Par ce moment lĂ , le pĂšre Ă©tait ĂągĂ©. Les pĂšres mourraient plus tĂŽt, et il n’y avait pas d’assistance artificielle de la vie disponible comme dans les hĂŽpitaux aujourd’hui. Maintenant, un enfant Ă  l’école Ă©lĂ©mentaire peut apprendre des choses dont les parents n’ont jamais entendu parlĂ©. Qui de nous, par exemple, voudrait essayer d’expliquer quelques leçons de math que nos enfants apprennent Ă  l’école? Ainsi, chaque nouvelle gĂ©nĂ©ration surpasse rapidement la prĂ©cĂ©dente dans les connaissances qu’elle a. Il y a beaucoup de tendance dans la nouvelle gĂ©nĂ©ration de penser Ă  leurs parents comme Ă©tant dĂ©modĂ©s, archaĂŻque dans la rĂ©flexion. Dans une sociĂ©tĂ© ou la connaissance a plus de valeur que la sagesse, la gĂ©nĂ©ration plus ĂągĂ©e est fortunĂ©e d’ĂȘtre respectĂ©e, sans parler d’honorĂ©e, par la gĂ©nĂ©ration plus jeune. 2 A cause de l’augmentation rapide des divorces, les enfants sont souvent appelĂ©s Ă  honorer un parent et Ă  dĂ©tester l’autre. Aucun parent ne semble tolĂ©rer l’idĂ©e qu’un ancien compagnon ait le respect de leur enfant. Si cela n’était pas assez, la Psychologie freudienne a fourni Ă  chaque gĂ©nĂ©ration une excuse pour blĂąmer tous ses problĂšmes sur ses ancĂȘtres. D’innombrables expĂ©ditions dans les passĂ©s parentaux ont fournit Ă  beaucoup d’individus une excursion chĂšre dans l’histoire passĂ©e pour coller le blĂąme de leurs pĂ©chĂ©s sur quelqu’un d’autre, souvent, un ou les deux parents. 3 S’il est possible de blĂąmer quelqu’un d’autre pour nos problĂšmes, il est aussi facile de jeter la responsabilitĂ© de s’occuper d’un parent ĂągĂ© sur le dos de quelqu’un d’autre. Peut-ĂȘtre plus que n’importe quel autre temps dans l’histoire, nous comptons sur le gouvernement pour supporter une grande partie du fardeau des familles en fournissant de l’aide pour les parents vieillissants. La SĂ©curitĂ© Sociale, toutes les aides mĂ©dicales et autres programmes gouvernementaux sont vus comme Ă©tant les moyens pour traiter nos obligations envers nos parents. 4 L’honneur est dĂ» Ă  plus qu’aux Le Nouveau Testament exige que le ChrĂ©tien respecte tous les hommes Romains 1210 ; 1 Pierre 217.21 Apprendre Ă  honorer les parents est ainsi un pas important dans la direction d’honorer les autres. Le but de ce message est d’explorer ce que le CinquiĂšme Commandement veuille dire, non seulement pour les IsraĂ©lites du vieux temps, mais pour le ChrĂ©tien contemporain. Nous commencerons en dĂ©finissant le terme honorer », puis en dĂ©couvrant comment les parents de l’Ancien Testament Ă©taient honorĂ©s ou dĂ©shonorĂ©s par leurs enfants. Ensuite, nous nous tournerons vers le Nouveau Testament, pour voir l’enseignement et l’application pratique de notre Seigneur, comment les parents devaient ĂȘtre honorĂ©s, spĂ©cialement contre le contexte de la mĂ©connaissance des parents par les scribes et les pharisiens. Finalement, nous verrons comment le CinquiĂšme Commandement fut modifiĂ© et appliquĂ© par l’apĂŽtre Paul. Pour conclure notre Ă©tude, nous chercherons Ă  distiller les principes fondamentaux qui devraient nous gouverner pour honorer nos parents, et en traitant avec quelques-uns des problĂšmes difficiles associĂ©s avec cette obligation. Honorer les Parents Dans l’Ancien Testament Le terme honorer » en est un qui a un genre de ton archaĂŻque, un qui est rarement utilisĂ© dans les conversations de tous les jours. Il est donc nĂ©cessaire pour nous de comprendre le sens d’ honorer » comme il est utilisĂ© dans la En premier, nous regarderons Ă  honorer » dans son usage le plus large, puis nous rĂ©trĂ©cirons son utilisation Ă  honorer un parent » comme c’est ordonnĂ© dans l’Ancien Testament. 1 Honorer est personnel. Dans la Bible, seules des personnes sont honorĂ©es, pas les choses. Nous n’honorons pas des peintures ou de grandes Ɠuvres d’art ou des choses de valeur, nous n’honorons que des gens. Nous pouvons dire que l’honneur est rendu par des gens Ă  des gens. Plus spĂ©cifiquement, l’honneur est confĂ©rĂ© par une personne Ă  une personne. L’honneur ne peut pas ĂȘtre attribuĂ© Ă  soi-mĂȘme, mais doit venir de quelqu’un d’autre De plus, on ne s'attribue pas, de sa propre initiative, l'honneur d'ĂȘtre grand-prĂȘtre on le reçoit en y Ă©tant appelĂ© par Dieu, comme ce fut le cas pour Aaron. » HĂ©breux 54 2 Honorer est un privilĂšge. Quand nous honorons quelqu’un, nous les plaçons au-dessus des autres. 
 faites passer les autres avant vous » Romains 1210 Honorer les parents veut dire les respecter, Ă  l’opposĂ© de peu les dĂ©valuer. Puisqu'il en est ainsi, voici ce que moi, l'Eternel, le Dieu d'IsraĂ«l, je dĂ©clare J'avais promis Ă  ta famille et Ă  celle de tes ancĂȘtres que vous seriez toujours chargĂ©s du service devant moi. Mais Ă  prĂ©sent, moi l'Eternel, je le dĂ©clare c'est fini! Car j'honorerai ceux qui m'honorent, mais ceux qui me mĂ©prisent seront Ă  leur tour couverts d'opprobre. » 1 Samuel 23023 3 L’honneur est dĂ» Ă  la position. Quand des gens sont honorĂ©s dans la Bible, ils sont honorĂ©s principalement Ă  cause de la position qu’ils occupent. Ceux que nous sommes ordonnĂ©s d’honorer dans la Bible sont le plus souvent ceux qui tiennent une certaine position de distinction. Dieu est honorĂ© parce qu’Il est le Dieu Souverain de l’Univers. Les rois, les dirigeants, et les maitres doivent tous ĂȘtre respectĂ©s. Les parents aussi doivent ĂȘtre respectĂ©s pour leur position dans la famille. Donc, l’honneur a quelque chose Ă  voir avec la position, le pouvoir, et la dignitĂ© qu’une personne a au-dessus des autres. 4 Honorer est pratique. Honorer quelqu’un exige plus que des mots Le Seigneur dit encore Ce peuple se tourne vers moi, mais ce n'est qu'en paroles, et il me rend hommage, mais c'est du bout des lĂšvres car au fond de son cƓur, il est bien loin de moi, et la vĂ©nĂ©ration qu'il me tĂ©moigne n'est faite que de rĂšgles que des hommes lui ont enseignĂ©es. » ÉsaĂŻe 2913 Cet honneur que Dieu exige de l’homme est un honneur qui doit se traduire en termes pratiques, que ce soit diriger vers Dieu ou vers les hommes. 5 L’honneur est L’acte d’honorer les parents commence avec une attitude de respect pour eux. Ainsi nous lisons dans la Loi, Que chacun de vous respecte sa mĂšre et son pĂšre, et observe les jours de repos que j'ai prescrits. Je suis l'Eternel, votre Dieu.» LĂ©vitique 193 L’expression de l’attitude d’estime est l’action d’honorer, et l’action est gĂ©nĂ©ralement publique. Ainsi, Ă  la fois, le mari et les enfants sont exhortĂ©s de louer la femme pieuse en public Ses enfants, dĂšs leur lever, la disent bienheureuse, et son mari aussi fait son Ă©loge Il y a bien des filles qui montrent leur valeur, mais toi, tu les surpasses toutes.» La grĂące est dĂ©cevante et la beautĂ© fugace; la femme qui rĂ©vĂšre l'Eternel est digne de louanges. Donnez-lui donc le fruit de son travail! Qu'on dise ses louanges aux portes de la ville pour tout ce qu'elle fait! » Proverbes 3128-31 Les Ă©vidences d’un enfant dĂ©shonorant » sont publiques, et donc, l’enfant continuellement et obstinĂ©ment rebelle devait ĂȘtre disciplinĂ© exĂ©cutĂ© dans une cĂ©rĂ©monie publique. -Si un homme a un fils rĂ©voltĂ© et rebelle qui n'obĂ©it ni Ă  son pĂšre ni Ă  sa mĂšre, et reste insensible aux corrections qu'ils lui infligent, ses parents se saisiront de lui et l'amĂšneront devant les responsables de la ville Ă  la porte de leur citĂ©. Ils dĂ©clareront aux responsables Notre fils que voici est rĂ©voltĂ© et rebelle, il ne nous obĂ©it pas, c'est un dĂ©bauchĂ© et un ivrogne.» Alors tous les hommes de sa ville lui jetteront des pierres, jusqu'Ă  ce que mort s'ensuive. Ainsi vous ferez disparaĂźtre la souillure qu'entraĂźne le mal du milieu de vous. Tout IsraĂ«l en entendra parler et sera saisi de crainte. » Deut. 2118-2125 Le passage central en ce qui concerne honorer les parents est celui trouvĂ© dans les Dix Commandements. Honore ton pĂšre et ta mĂšre afin de jouir d'une longue vie dans le pays que l'Eternel ton Dieu te donne » Exode 2012 ; aussi DeutĂ©ronome 516 Comme c’est vraiment la premiĂšre occurrence de l’ordre d’honorer les parents, il serait bien de faire plusieurs observations Ă  propos du commandement qui est donnĂ© 1 Le commandement est donnĂ© aux enfants, prĂ©cisant leur obligation envers leurs parents. Les termes pĂšre » et mĂšre » sont synonymes de parents », ainsi ici nous avons Ă©pelĂ© l’obligation des enfants d’honorer leurs parents. 2 Il n’y a aucune indication ici de l’ñge des enfants qui doivent honorer leurs parents. Nous pourrions avoir tendance Ă  penser que ce commandement fut donnĂ© Ă  de jeunes enfants regardant leur obligation envers leurs parents, mais ce n’est pas le cas. D’autres passages appliqueront ce commandement gĂ©nĂ©ral Ă  des groupes d’ñges spĂ©cifiques, mais ce commandement est dĂ©libĂ©rĂ©ment vague. 3 Il n’y a aucune action particuliere exigĂ©e ici. Les enfants ne furent pas commandĂ©s quoi faire en particulier pour honorer leurs parents. Nous devrions assumer, et de bon droit, que des actions diffĂ©rentes seront exigĂ©es Ă  diffĂ©rentes occasions, de diffĂ©rentes gens. Nous devons alors chercher ailleurs dans les Ecritures pour dĂ©terminer comment nous devons honorer nos parents Ă  tout les moments. Les Ecritures de l’Ancien Testament fournissent beaucoup de dĂ©tails regardant ce qui constitue honneur et dĂ©shonneur, en ce qui concerne les parents. Quand les parents sont dĂ©shonorĂ©s, ils sont maudits Exode 2117 ; LĂ©vitique 209 ; Proverbes 2020 ou selon les Proverbes, pas bĂ©nis 3011. Ce dĂ©dain pour les parents peut rĂ©sulter en les frappant physiquement Exode 2115 ; Proverbes 1926, et mĂȘme en les volant Proverbes 2824. L’enfant peut dĂ©shonorer ses parents en vivant un style de vie qui est contradictoire avec celui de ses parents et de la sociĂ©tĂ©, incluant dĂ©sobĂ©issance, l’obstination, la rĂ©bellion, l'ivresse, et la goinfrerie DeutĂ©ronome 2118-21. 4 Le CinquiĂšme Commandement est le premier des commandements qui traite avec nos obligations envers les hommes. Les quatre premiers commandements traitaient avec les obligations des IsraĂ©lites envers Dieu. Ce commandement introduit ceux qui prĂ©cisent leurs devoirs en ce qui concerne les hommes. Ce commandement se rapporte seulement Ă  l’obligation entre l’enfant et les parents. C’est aussi un commandement positif, suivi par des prohibitions. 5 Le CinquiĂšme Commandement est le premier qui soit accompagnĂ© par une promesse. La promesse, comme je la comprends, a deux parties. PremiĂšrement, c’est une promesse d’une longue vie. DeuxiĂšmement, c’est une promesse d’une longue vie, vĂ©cue dans le pays de Tel qu’il est, le CinquiĂšme Commandement est donnĂ© spĂ©cifiquement aux IsraĂ©lites, avec une promesse qui a rapport Ă  eux. Le Nouveau Testament adaptera et modifiera ce commandement pour ĂȘtre appliquer aux ChrĂ©tiens non Juifs et Ă  l’église, laissant le commandement dans presque la mĂȘme forme dans laquelle il est trouvĂ© dans l’Ancien Testament. La promesse de longue vie dans le pays de Canaan est donnĂ©e autre part, mais c’est la rĂ©compense pour observer tous les commandements de Dieu, pas seulement le CinquiĂšme Commandement. -Voyez, je place aujourd'hui devant vous, d'un cĂŽtĂ©, la vie et le bonheur, de l'autre, la mort et le malheur. Ce que je vous commande aujourd'hui, c'est d'aimer l'Eternel votre Dieu, de suivre le chemin qu'il vous trace et d'obĂ©ir Ă  ses commandements, ses ordonnances et ses lois. En faisant cela, vous aurez la vie, vous deviendrez nombreux et vous serez bĂ©nis par l'Eternel votre Dieu dans le pays oĂč vous vous rendez pour en prendre possession. » DeutĂ©ronome 3015-16 Pourquoi est l’obĂ©issance au CinquiĂšme Commandement liĂ©e aux bĂ©nĂ©dictions attachĂ©es Ă  l’obĂ©issance Ă  tous les commandements ? En plus du fait que quelqu’un doit obĂ©ir chaque commandement pour obĂ©ir tous les commandements, le CinquiĂšme Commandement joue un rĂŽle spĂ©cial en ce qui concerne le reste des commandements. Les lois de Dieu devaient ĂȘtre transmises aux gĂ©nĂ©rations futures d’IsraĂ©lites, principalement des parents Ă  leurs enfants. Ainsi, l’accentuation de DeutĂ©ronome sur l’enseignement de la Loi aux enfants. Si les enfants Ă©coutaient leurs parents et apprenaient Ă  aimer la Loi, ils devaient en premier respecter et honorer les enseignants – leurs pĂšres et leurs mĂšres. Honorer les parents est donc une condition prĂ©alable Ă  l’enseignement de la Loi d’une gĂ©nĂ©ration Ă  l’autre. Si les enfants honorent leurs parents, ils Ă©couteront leurs instructions. S’ils Ă©coutent leurs instructions, ils obĂ©iront toute la Loi de Dieu. S’ils obĂ©issent la Loi de Dieu, ils ne blesseront pas leurs camarades israĂ©lites. Vu nĂ©gativement, honorer les parents causera l’enfant Ă  ĂȘtre enclin Ă  Ă©viter le mal du meurtre, de l’adultĂšre, du vol, du mensonge, et de l’envie. Vu plus positivement, honorer les parents a une trĂšs forte corrĂ©lation avec honorer les autres et prendre soin d’eux. C’est accentuĂ© dans deux passages de Proverbes Il y a des gens qui maudissent leur pĂšre et qui n'ont pas un mot de reconnaissance pour leur mĂšre, des gens qui se croient purs, bien qu'ils n'aient pas Ă©tĂ© lavĂ©s de leur souillure, des gens trĂšs hautains et qui regardent les autres de haut, des gens dont les dents sont des Ă©pĂ©es, et les crocs des couteaux, pour dĂ©vorer les malheureux et les faire disparaĂźtre de la terre, pour retrancher les pauvres du milieu des hommes. » Proverbes 3011-14 Paroles du roi Lemouel, maximes que sa mĂšre lui a enseignĂ©es Que te dirai-je, mon fils? Que te conseillerai-je, ĂŽ mon fils bien-aimĂ©? Que te dirai-je, fils appelĂ© de mes vƓux? Ne gaspille pas tes forces avec les femmes, ne te laisse pas mener par celles qui perdent les rois. Il ne convient pas aux rois, Lemouel, non, il ne convient pas aux rois de boire du vin, ni Ă  ceux qui gouvernent d'aimer les boissons enivrantes, car, aprĂšs avoir bu, ils pourraient oublier les lois et lĂ©ser les droits des victimes de la misĂšre
 Ouvre la bouche pour dĂ©fendre ceux qui ne peuvent parler, pour dĂ©fendre les droits de tous ceux qui sont dĂ©laissĂ©s. Oui, parle pour prononcer de justes verdicts. DĂ©fends les droits des malheureux et des pauvres! » Proverbes 311-5, 8-9 Dans Proverbes 3011-14, honorer les parents est vu du point de vue nĂ©gatif. Les versets sont tous une partie d’une piĂšce, un thĂšme. La section commence en nous informant du fils dĂ©shonorable, qui maudit ses parents. Elle conclut en dĂ©crivant son oppression des autres, particuliĂšrement en attaquant ceux qui sont faibles et affligĂ©s. Le fils qui n’hĂ©site pas Ă  maudire son pĂšre et sa mĂšre, n’hĂ©sitera pas Ă  maudire n’importe quel homme. Le fils qui frappe ou vole ses parents ne trouvera pas difficile d’opprimer les autres. Le fils qui dĂ©shonorent ses parents maltraitera les autres. Le traitement des parents de quelqu’un est directement liĂ© Ă  son traitement des autres hommes. Dans Proverbes 31, la question est vue d’une perspective positive. Dans ce texte, la mĂšre du roi Lemouel donne Ă  son fils de sages instructions. Bien que ce texte soit spĂ©cifiquement liĂ© au rĂšgne juste d’un roi vertueux, il s’applique aussi plus gĂ©nĂ©ralement. Si les instructions de la mĂšre sont suivies, son fils Ă©vitera de boire trop et les femmes Ă©tranges », et il usera son pouvoir pour aider les affligĂ©s. Le fils qui honore ses parents viendra Ă  l’aide des faibles pendant que le fils dĂ©shonorable opprimera les affligĂ©s. Le CinquiĂšme Commandement est donc trĂšs liĂ© Ă  ceux qui l’observent. Il y a aussi une relation entre honorer les parents et honorer Dieu. Non seulement le CinquiĂšme Commandement lie et facilite l’observance des derniers commandements, il est aussi trĂšs liĂ© Ă  l’observance de ces commandements concernant la vĂ©nĂ©ration de Dieu. C’est spĂ©cialement apparent dans Malachie 16 Un fils honore un pĂšre, un serviteur son maĂźtre. Si je suis votre pĂšre, oĂč donc sont les honneurs qui me sont dĂ»s? Si je suis votre maĂźtre, pourquoi ne me rĂ©vĂ©rez-vous pas? Et puis vous demandez En quoi t'avons-nous mĂ©prisĂ©? » Ceux qui honorent Dieu doivent aussi honorer leurs parents. Ceux qui honorent leurs parents ont dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  honorer Dieu. Nos pĂšres terrestres sont, d’un cotĂ©, les reprĂ©sentants de Dieu, instruisant et disciplinant leurs enfants Ă  Sa place. D’un autre cotĂ©, les parents servent Ă  illustrer le chemin dans lequel Dieu est au travail dans les vies de Ses enfants, comme un pĂšre. Cela est vu, par exemple, dans les chapitres 2 et 3 de Proverbes, oĂč le soin du pĂšre pour son enfant est comparĂ© au soin paternel de Dieu pour Ses enfants. Honorer les parents Ă©tait une obligation de la plus grande importance, signalĂ©e par son inclusion dans les Dix Commandements, par la peine de mort attachĂ©e Ă  sa profanation flagrante, et par le dĂ©tail qui nous est donnĂ© en ce qui concerne les Ă©vidences d’honorer les parents ou leur Honorer les parents Ă©tait fondamental pour le passage de la foi d’IsraĂ«l d’une gĂ©nĂ©ration Ă  l’autre. C’est aussi important parce que cela renforce et facilite le fait d’honorer Dieu commandements 1-4 et les autres commandements 6-10. Le Principe d’Honorer les Parents Dans l’Enseignement de Notre Seigneur L’enseignement de notre Seigneur d’honorer les parents est plutĂŽt abondant. Ce passage nous fournit avec un grand aperçu du commandement comme Dieu l’avait destinĂ©, et comment les scribes et les pharisiens ont cherchĂ© Ă  l’abuser A cette Ă©poque, des pharisiens et des spĂ©cialistes de la Loi vinrent de JĂ©rusalem; ils abordĂšrent JĂ©sus pour lui demander -Pourquoi tes disciples ne respectent-ils pas la tradition des ancĂȘtres? Car ils ne se lavent pas les mains selon le rite usuel avant chaque repas. -Et vous, rĂ©pliqua-t-il, pourquoi dĂ©sobĂ©issez-vous Ă  l'ordre de Dieu lui-mĂȘme pour suivre votre tradition? En effet, Dieu a dit Honore ton pĂšre et ta mĂšre et Que celui qui maudit28 son pĂšre ou sa mĂšre soit puni de mort. Mais vous, qu'enseignez-vous? Qu'il suffit de dire Ă  son pĂšre ou Ă  sa mĂšre Je fais offrande Ă  Dieu d'une part de mes biens avec laquelle j'aurais pu t'assister», pour ne plus rien devoir Ă  son pĂšre ou Ă  sa mĂšre. Ainsi vous annulez la Parole de Dieu et vous la remplacez par votre tradition. Hypocrites! EsaĂŻe vous a fort bien dĂ©peints dans sa prophĂ©tie Ce peuple m'honore du bout des lĂšvres, mais, au fond de son cƓur, il est bien loin de moi! Le culte qu'il me rend n'a aucune valeur, car les enseignements qu'il donne ne sont que des rĂšgles inventĂ©es par les hommes. » Marc. 71-13 ; Il y a plusieurs choses importantes dans ce texte que nous devons observer et apprĂ©cier avant que nous puissions voir leurs contributions au sujet d’honorer les parents En traitant avec les scribes et les pharisiens, notre Seigneur lie trois textes de l’Ancien Testament, et de ces textes, il expose l’hypocrisie de ses adversaires. Le CinquiĂšme Commandement d’Exode 20 et DeutĂ©ronome 5 sont joints avec un passage parallĂšle d’Exode 2117. Ceux-ci sont alors liĂ©s Ă  une citation d’ÉsaĂŻe 2913. Il y a quatre termes clĂ©s qui sont la force liante de ces passages, qui permettent Ă  notre Seigneur de combiner ces textes en une rĂ©ponse Ă  Ses interrogateurs traditions », honneur », pĂšre et mĂšre », et les termes concernant la parole parler », dire », lĂšvres ». D’importance Ă  notre Ă©tude est le fait que le CinquiĂšme Commandement fut adressĂ© par notre Seigneur aux enfants adultes, concernant leurs responsabilitĂ©s Ă  leurs parents ĂągĂ©s. Les acteurs principaux dans cet incident sont les scribes et les pharisiens. Si dans votre imagination vous voyez ces hommes avec des touffes de cheveux gris et de longues barbes, vous ĂȘtes complĂštement corrects. Ces hommes n’étaient gĂ©nĂ©ralement pas des jeunes, mais des anciens de JĂ©rusalem. JĂ©sus adressa le CinquiĂšme Commandement Ă  ces hommes ĂągĂ©s, et les condamna pour interfĂ©rer dans les actions de ceux qui voudraient prendre soin de leurs parents ĂągĂ©s. Le fait que notre Seigneur dit, alors vous ne le laissez plus rien faire pour son pĂšre ou sa mĂšre.» v. 12 vaut qu’on le remarque. La tradition d’affirmer que les biens de quelqu’un soient dĂ©diĂ©s Ă  Dieu » est une chose qui fut enseignĂ©e par les scribes et les pharisiens, une tradition qui fut imposĂ©e au peuple, leur interdisant ainsi de faire ce qu’ils apparemment auraient voulu faire. Cela bloquait leur argent, le rendant intouchable pour des actes de charitĂ© personnels. Et qui, supposez-vous, contrĂŽlaient cet argent ? Le texte ne dit rien, mais je parie que c’étaient les pharisiens. Le nom de cette corporation holding a dĂ» ĂȘtre quelque chose comme la Corporation d’Investissements des Pharisiens ». Le point semble ĂȘtre que les pharisiens, une fois encore, profitaient des pauvres, des faibles, et des gens sans dĂ©fense, en empĂȘchant les enfants d’avoir contrĂŽle de leur argent pour aider leurs parents. Dans cet incident, notre Seigneur enseigna que les hommes n’avaient pas intĂ©rĂȘt Ă  utiliser honorer Dieu » Corban comme excuse pour ne pas honorer leurs parents. Cela semblait si pieux, si religieux. L’argent qui aurait dĂ» ĂȘtre disponible pour aider les parents Ă©tait dĂ©diĂ© Ă  Dieu » avec la formule magique Corban ». Comment quelqu’un pourrait-il en vouloir Ă  un enfant pour placer Dieu au-dessus de ses parents ? C’était une feinte, une façade, comme JĂ©sus le signalait. Cette tradition » d’affirmer que quelque chose Ă©tait dĂ©diĂ© Ă  Dieu » Ă©tait simplement un moyen de se dĂ©barrasser du CinquiĂšme Commandement avec des apparences pieuses. La vraie religion ne fait pas de mal aux faibles, elle les aide Jacques 127. JĂ©sus enseigna aussi qu’ honorer les parents » n’était pas une excuse pour nĂ©gliger d’ honorer Dieu ». Il y a ceux qui iront Ă  une extrĂ©mitĂ©, pendant que d’autres iront Ă  l’autre. S’il y avait ceux qui utilisaient honorer Dieu » comme excuse pour ne pas honorer les parents », il y en avait d’autres qui faisaient juste l’opposĂ©. Ainsi, JĂ©sus enseigna frĂ©quemment que Le suivre exigeait de Le mettre au-dessus de tout autre, incluant pĂšres et mĂšres JĂ©sus dit Ă  un autre -Suis-moi! Mais cet homme lui dit -Seigneur, permets que j'aille d'abord enterrer mon pĂšre. JĂ©sus lui rĂ©pondit -Laisse aux morts le soin d'enterrer leurs morts. Quant Ă  toi, va proclamer le rĂšgne de Dieu! Un autre encore lui dit -Je te suivrai, Seigneur, mais permets-moi d'abord de faire mes adieux Ă  ma famille. JĂ©sus lui rĂ©pondit -Celui qui regarde derriĂšre lui au moment oĂč il se met Ă  labourer avec sa charrue n'est pas prĂȘt pour le rĂšgne de Dieu. » Luc 959-62 C'est pourquoi, tous ceux qui se dĂ©clareront pour moi devant les hommes, je me dĂ©clarerai moi aussi pour eux devant mon PĂšre cĂ©leste. Mais celui qui aura prĂ©tendu ne pas me connaĂźtre devant les hommes, je ne le reconnaĂźtrai pas non plus devant mon PĂšre cĂ©leste. -Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur terre ma mission n'est pas d'apporter la paix, mais l'Ă©pĂ©e. Oui, je suis venu opposer le fils Ă  son pĂšre, la fille Ă  sa mĂšre, la belle-fille Ă  sa belle-mĂšre on aura pour ennemis les membres de sa propre famille. -Celui qui aime son pĂšre ou sa mĂšre plus que moi n'est pas digne de moi. Celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi. Et celui qui ne se charge pas de sa croix et ne me suit pas n'est pas digne de moi. Celui qui cherche Ă  sauver sa vie la perdra; et celui qui l'aura perdue Ă  cause de moi la retrouvera. -Si quelqu'un vous accueille, c'est moi qu'il accueille. Or celui qui m'accueille, accueille celui qui m'a envoyĂ©. » Matt. 1032-40 Alors Pierre demanda -Et nous? Nous avons tout quittĂ© pour te suivre. JĂ©sus rĂ©pondit -Vraiment, je vous l'assure si quelqu'un quitte, Ă  cause de moi et de l'Evangile, sa maison, ses frĂšres, ses cƓurs, sa mĂšre, son pĂšre, ses enfants ou ses terres, il recevra cent fois plus dĂšs Ă  prĂ©sent des maisons, des frĂšres, des cƓurs, des mĂšres, des enfants, des terres, avec des persĂ©cutions; et, dans le monde Ă  venir, la vie Ă©ternelle. Mais beaucoup qui sont maintenant les premiers, seront les derniers, et beaucoup qui sont maintenant les derniers, seront les premiers. » Marc 1028-31 -Si quelqu'un vient Ă  moi et n'est pas prĂȘt Ă  renoncer Ă  son pĂšre, sa mĂšre, sa femme, ses enfants, ses frĂšres, ses sƓurs, et mĂȘme Ă  son propre moi, il ne peut ĂȘtre mon disciple. » Luc 1426 Aucune relation terrestre ne peut avoir une plus grande prioritĂ© que celle de la relation de quelqu’un avec Dieu. Placer Dieu en premier veut dire Le faire passer avant la famille. La MĂ©thode de Notre Seigneur Pour Honorer Ses Parents La mĂ©thode de notre Seigneur en ce qui concerne honorer Ses parents sert de commentaire sur Son enseignement. Quand JĂ©sus eut douze ans, ils y montĂšrent selon la coutume de la fĂȘte. Une fois la fĂȘte terminĂ©e, ils prirent le chemin du retour, mais JĂ©sus, leur fils, resta Ă  JĂ©rusalem et ses parents ne s'en aperçurent pas. Ils supposaient, en effet, qu'il se trouvait avec leurs compagnons de voyage et firent ainsi une journĂ©e de marche. Ils se mirent alors Ă  le chercher parmi leurs parents et leurs connaissances. Mais ils ne le trouvĂšrent pas. Aussi retournĂšrent-ils Ă  JĂ©rusalem pour le chercher. Trois jours plus tard, ils le retrouvĂšrent dans le Temple, assis au milieu des maĂźtres; il les Ă©coutait et leur posait des questions. Tous ceux qui l'entendaient s'Ă©merveillaient de son intelligence et de ses rĂ©ponses. Ses parents furent trĂšs Ă©tonnĂ©s de le voir lĂ , et sa mĂšre lui dit -Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela? Tu sais, ton pĂšre et moi, nous Ă©tions trĂšs inquiets et nous t'avons cherchĂ© partout. -Pourquoi m'avez-vous cherchĂ©? leur rĂ©pondit JĂ©sus. Ne saviez-vous pas que je dois m'occuper des affaires de mon PĂšre? Mais ils ne comprirent pas ce qu'il leur disait. Il repartit donc avec eux et retourna Ă  Nazareth. Et il leur Ă©tait obĂ©issant. Sa mĂšre gardait prĂ©cieusement dans son cƓur le souvenir de tout ce qui s'Ă©tait passĂ©. » Luc 242-51 Je dois dire qu’en tant que parent, ma premiĂšre inclination est de m’identifier avec la frustration et la dĂ©tresse de Marie et Joseph, une frustration qui est Ă©vidente dans le texte. A premiĂšre vue, il semble que ce serait JĂ©sus qui aurait eu tort. JĂ©sus n’aurait-il pas dĂ» rester avec sa famille ? Au lieu de ça, Il Ă©tait dans le Temple, occupĂ© avec les chefs religieux. Au moins, certains pourraient dĂ©fendre, JĂ©sus aurait pu avoir la courtoisie de dire Ă  Ses parents ce qu’Il faisait. JĂ©sus semblerait avoir eu tort. Comment a t-Il pu ĂȘtre sĂ©parĂ© de Sa famille pendant au moins trois jours, et peut-ĂȘtre plus, sans rien faire Ă  ce propos ? Nous ne pouvons pas arriver Ă  cette conclusion pour au moins deux raisons. PremiĂšrement, JĂ©sus Ă©tait Dieu et Il ne pĂ©chait jamais. Donc, Il n’aurait pas pu pĂ©cher. DeuxiĂšmement, la rĂ©ponse du Seigneur Ă  la rĂ©primande de Sa mĂšre est, elle-mĂȘme, une douce rĂ©primande contre eux. Marie et Joseph avaient tort ici, pas JĂ©sus. Cherchons Ă  voir pourquoi. La rĂ©ponse de JĂ©sus Ă  Ses parents fut -Pourquoi m'avez-vous cherchĂ©? leur rĂ©pondit JĂ©sus. Ne saviez-vous pas que je dois m'occuper des affaires de mon PĂšre? ». Si Marie et Joseph avaient assumĂ© que JĂ©sus Ă©tait avec de la famille quand ils sont partis, alors ce furent eux qui Ă©taient dans l’erreur. Une fois qu’ils furent partis, qu’aurait-Il put faire d’autre que de rester lĂ  et quelle meilleure place qu’au Temple ? Les paroles de JĂ©sus ne furent pas dirigĂ©es vers la question de pourquoi Il fut laissĂ© derriĂšre, sans prĂ©avis, mais Ă  pourquoi il fallut Ă  Ses parents si longtemps pour qu’ils le cherchent au Temple. Pourquoi L’ont-ils cherchĂ© ailleurs ? Ne savaient-ils pas qu’Il aurait Ă©tĂ© naturellement attirĂ© par le Temple, la maison de Son PĂšre ? En l’absence de Ses parents terrestres, Il alla Ă  la maison de Son PĂšre. OĂč s’attendaient-ils Ă  Le trouver, Lui qui Ă©tait le Fils de Dieu, ailleurs qu’à la maison de Dieu ? Les derniers mots de ce rĂ©cit sont extrĂȘmement intĂ©ressants 
 Et il leur Ă©tait obĂ©issant. » Luc indique ici, comme auparavant et plus tard, que JĂ©sus Ă©tait soumis Ă  Marie et Ă  Joseph, Ses parents terrestres. C’étaient eux qui Ă©taient dans l’erreur, pas Lui. Il leur Ă©tait soumis, mais plus encore, Il voulait ĂȘtre dans la maison de Son PĂšre. NĂ©anmoins, Marie et Joseph ne comprenaient pas. Pourtant, JĂ©sus diffĂ©renciait clairement entre Sa relation avec Ses parents terrestres et celle avec Son PĂšre CĂ©leste. Ce ne fut qu’un aperçu de ce qui allait arriver, quand JĂ©sus commanda Son ministĂšre terrestre. Des annĂ©es plus tard, apparemment aprĂšs la mort de Joseph, un autre incident arriva, que l’Evangile selon St Jean raconta, qui se rapporte Ă  l’honneur des parents de JĂ©sus. Or voilĂ  que le vin se mit Ă  manquer. La mĂšre de JĂ©sus lui fit remarquer -Ils n'ont plus de vin. -Ecoute, lui rĂ©pondit JĂ©sus, est-ce toi ou moi que cette affaire concerne? Mon heure n'est pas encore venue. Sa mĂšre dit aux serviteurs -Faites tout ce qu'il vous dira. » Jean 23-5 Le fait que JĂ©sus appela dĂ©libĂ©rĂ©ment Sa mĂšre femme » Edition Louis Segond et qu’Il utilisa l’expression est-ce toi ou moi que cette affaire concerne? », indique que son agrĂ©ment de satisfaire sa requĂȘte n’était basĂ© uniquement que sur Sa compassion pour elle en tant que femme, et non pas sur Son obĂ©issance Ă  elle en tant que Sa mĂšre. Maintenant que Son ministĂšre public avait commencĂ©, Sa mĂšre n’avait aucun droit sur Son pouvoir super naturel. Les Catholiques doivent regarder ce texte de beaucoup plus prĂšs Ă  cause de leur vue exagĂ©rĂ©e de Marie, la mĂšre de Dieu », la rendant mĂ©diatrice entre les hommes et Dieu. C’est aussi dans l’Evangile selon St Jean que nous voyons qu’une des derniĂšres actions de notre Seigneur sur la croix fut la rĂ©alisation de Son obligation d’honorer Sa mĂšre. En voyant sa mĂšre et, Ă  cĂŽtĂ© d'elle, le disciple qu'il aimait, JĂ©sus dit Ă  sa mĂšre -Voici ton fils. Puis il dit au disciple -Voici ta mĂšre. A partir de ce moment-lĂ , le disciple la prit chez lui. AprĂšs cela, JĂ©sus, sachant que dĂ©sormais tout Ă©tait achevĂ©, dit, pour que l'Ecriture soit accomplie -J'ai soif. » Jean 1926-28 Marie, la mĂšre de notre Seigneur, est encore une fois faite allusion par le mot femme » Edition Louis Segond, plutĂŽt que mĂšre ». JĂ©sus allait finir son travail terrestre, et donc Marie cessera d’ĂȘtre la mĂšre de notre Seigneur. Parce que Joseph apparemment mourut et JĂ©sus fut le fils ainĂ©, une grande obligation de s’occuper de Sa mĂšre Lui tomba dessus. Ainsi, dans une de Ses derniĂšres actions terrestres, JĂ©sus appointa Jean pour rĂ©aliser Son obligation. Dans cette action finale, JĂ©sus honora Sa mĂšre. Les ApĂŽtres et Honorer les Parents Les apĂŽtres parlent aussi de la responsabilitĂ© des enfants envers leurs parents. ParticuliĂšrement Paul. En premier, Paul comprit que due Ă  la dĂ©pravation des hommes, les enfants ne seraient pas nĂ©cessairement enclins Ă  obĂ©ir ou Ă  honorer leurs parents Les hommes seront Ă©goĂŻstes, avides d'argent, vantards et prĂ©tentieux. Ils parleront de Dieu d'une maniĂšre injurieuse et n'auront pas d'Ă©gards pour leurs parents. Ils seront ingrats, dĂ©pourvus de respect pour ce qui est sacrĂ©, » 2 Timothee 32 ; Aussi Romains 130 L’enseignement de Paul est aussi confirmĂ© par Pierre et Jude, qui parlent de ces paĂŻens qui dĂ©daignent l’autoritĂ©, refusant ainsi d’honorer ceux Ă  qui honneur est dĂ». Imbus d'eux-mĂȘmes et arrogants, ces enseignants de mensonge n'hĂ©sitent pas Ă  insulter les ĂȘtres glorieux, » 2 Pierre 210 Eh bien, malgrĂ© cela, ces individus font de mĂȘme leurs rĂȘveries les entraĂźnent Ă  souiller leur propre corps, Ă  rejeter l'autoritĂ© du Seigneur et Ă  insulter les ĂȘtres glorieux du ciel.» Jude 8 Ce n’est pas sans une bonne raison pratique et thĂ©ologique que Paul donna cette instruction aux enfants Vous, enfants, obĂ©issez Ă  vos parents Ă  cause du Seigneur, car c'est lĂ  ce qui est juste. Honore ton pĂšre et ta mĂšre c'est le premier commandement auquel une promesse est rattachĂ©e pour que tu sois heureux et que tu jouisses d'une longue vie sur la terre. » EphĂ©siens 61-3 Dans ce passage, il faut remarquer que Paul applique spĂ©cifiquement le CinquiĂšme Commandement aux enfants jeunes. Bien que le commandement soit gĂ©nĂ©ral, son application est spĂ©cifique. Pour les enfants jeunes qui sont croyants, une façon par laquelle ils honoreront leurs parents est de leur obĂ©ir. L’obĂ©issance, tout comme toutes soumissions terrestres, est seulement dans ces paramĂštres qui plaisent Ă  Dieu, ainsi la restriction, Ă  cause du Seigneur ». Paul n’hĂ©site pas Ă  baser son instruction sur un des Dix Commandements, et ainsi, sur la Loi de l’Ancien Testament. Cependant, il modifie le texte de l’Ancien Testament, pour faire une promesse attachĂ©e Ă  ce commandement qui a rapport Ă  l’audience des non-Juifs chrĂ©tiens. L’énoncĂ© d’Exode 2012, afin de jouir d'une longue vie dans le pays que l'Eternel ton Dieu te donne. » fut changĂ© Ă , pour que tu sois heureux et que tu jouisses d'une longue vie sur la terre. » EphĂ©siens 63 Ainsi, une vie longue et une bĂ©nĂ©diction divine sont promises, mais pas une vie dans le pays de Canaan, comme cela fut promis aux IsraĂ©lites. Non seulement Paul applique le principe d’honorer les parents aux jeunes enfants, mais il instruit aussi les croyants adultes Ă  assumer la responsabilitĂ© de prendre soin de leur famille dans le besoin, incluant dans le contexte les parents Occupe-toi des veuves avec respect, je veux dire de celles qui sont rĂ©ellement privĂ©es de soutien
 Si quelqu'un ne prend pas soin des siens, en particulier des membres de sa famille, il a reniĂ© la foi et il est pire qu'un incroyant. » 1 TimothĂ©e 53,8 Ici, comme dans l’Ancien Testament et dans l’enseignement de notre Seigneur, le refus d’honorer les parents en prenant soin de leurs besoins en est parlĂ© comme Ă©tant une offense des plus sĂ©rieuses. Dans l’Ancien Testament c’était une offense capitale. Dans le Nouveau, c’est un reniement de la foi, rendant cette personne pire qu’un incroyant. Ainsi, le Christianisme n’abolit pas les obligations de l’Ancien Testament d’honorer les parents, il les ratifie et les explique plus clairement. De plus, le mĂȘme honneur qui doit ĂȘtre manifestĂ© aux parents, doit ĂȘtre aussi manifestĂ© Ă  ceux qui sont nos aĂźnĂ©s Ne rudoie pas un homme ĂągĂ©, mais encourage-le comme s'il Ă©tait ton pĂšre. Traite de la mĂȘme maniĂšre les jeunes gens comme des frĂšres » 1 TimothĂ©e 51 Cette instruction est importante parce qu’elle suggĂšre que le mĂȘme honneur ou au moins respect dĂ» au pĂšre d’une personne devrait ĂȘtre dĂ» Ă  tout homme ĂągĂ©. De plus, puisque TimothĂ©e est instruit de corriger un homme ĂągĂ© comme un pĂšre, Paul suggĂšre qu’un pĂšre, aussi, n’est pas Ă  l’abri de reproches, mais que tout reproche doit ĂȘtre traitĂ© de façon respectueuse. Conclusion Pour finir, permettez-moi de suggĂ©rer plusieurs principes gouvernant qui, je crois, sont bibliques et pertinents Ă  honorer les parents. Ces principes nous guideront dans les choix agonisants que nous, les enfants, auront Ă  faire regardant la forme que l’honneur de nos parents devra prendre. 1 Si les enfants doivent honorer leurs parents, alors ĂȘtre un parent doit ĂȘtre une profession honorable. Nous ne devrions pas avoir besoin de le dĂ©clarer, mais dans le monde d’aujourd’hui, il est nĂ©cessaire de le dire. Le fait que des femmes fassent la file aux cliniques d’avortement dans tout le pays et dans toutes les parties du monde, suggĂšre qu’élever des enfants est vu comme quelque chose de bien moins qu’une bĂ©nĂ©diction. Cela va totalement Ă  l’encontre de la Bible, tel que le Psaume 127. Ceux qui quitteraient la maison et rechercheraient l’exaucement de leurs vƓux dans le monde professionnel pour gagner de la dignitĂ© et le respect se sont aussi dĂ©tournĂ©s de la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu. Laissons ceux qui cherchent Ă  Ă©viter de devenir un parent ĂȘtre rappelĂ©s que dans la Parole de Dieu, ĂȘtre un parent est une profession des plus honorable. 2 Honorer les parents prend des formes diffĂ©rentes pour des gens diffĂ©rents, dans des circonstances diffĂ©rentes. Puisque le CinquiĂšme Commandement est trĂšs gĂ©nĂ©ral, nous devrions nous attendre Ă  ce que l’application de ce commandement ne soit pas le mĂȘme pour tout le monde. L’Ancien et le Nouveau Testament nous fournissent avec beaucoup d’exemples positifs et nĂ©gatifs du commandement d’honorer nos parents. Le jeune enfant honorera ses parents en leur obĂ©issant Proverbes, EphĂ©siens 61-3.29 L’enfant plus grand honorera ses parents en Ă©tant obĂ©issant Ă  Dieu. L’enfant dont les parents sont dĂ©pendants en Lui honorera ses parents en subvenant Ă  leurs besoins Matt. 151-9 ; Marc 71-13 ; 1 TimothĂ©e 53,8. Il est trĂšs important de rĂ©aliser qu’honorer les parents prend des formes diffĂ©rentes Ă  des moments diffĂ©rents. Cela veut dire qu’une personne ne peut honorer ses parents en faisant une action symbolique. Cela veut dire que la façon dont une personne honore ses parents peut ĂȘtre differente de celle d’une autre personne. Cela devrait nous avertir Ă  propos de ceux qui ont de trĂšs simples formules pour honorer nos parents, basĂ©e sur les principes de la Parole de Dieu. Les trois principes suivants soulignent trois des changements les plus dramatiques dans la relation entre les enfants et leurs parents, qui affectent la façon par laquelle honorer les parents pourrait ĂȘtre manifestĂ©e. 3 Les rapports entre une personne et ses parents changent avec sa conversion. Quand une personne accepte Christ comme son Sauveur, il y a un nombre important de changements 2 Cor. 517. Quand une personne devient un enfant de Dieu par la foi, Dieu devient un PĂšre pour eux d’une façon nouvelle et auparavant inconnue. A partir de ce moment lĂ , le ChrĂ©tien devient le fils de Dieu Jean 112 ; Matt. 69. Bien que Dieu fut une fois reniĂ©, et Son autoritĂ© rejetĂ©e EphĂ©siens 21-3, Il est maintenant notre PĂšre CĂ©leste, avec une autoritĂ© finale, une autoritĂ© qui a prioritĂ© sur toutes les autres, incluant les pĂšres et mĂšres. Comme nous avons vu de l’enseignement de notre Seigneur, la foi en Christ peut aliĂ©ner les enfants de leurs parents. 4 Les rapports entre une personne et ses parents changent avec le mariage. Le mariage est normalement le premier de changements dramatiques dans la relation d’un enfant avec ses parents. Dans le Livre de GenĂšse, Dieu rĂ©vĂ©la que le mariage allait amener un changement dans le rapport entre l’enfant et ses parents C'est pourquoi un homme se sĂ©parera de son pĂšre et de sa mĂšre et s'attachera Ă  sa femme, et les deux ne feront plus qu'un. » GenĂšse 224 Plusieurs changements importants sont signalĂ©s ici, comme je comprends ce passage. PremiĂšrement, le fils quitte l’autoritĂ© structurĂ©e de la maison de ses parents pour Ă©tablir un nouveau foyer, sous son autoritĂ©. Ce passage enlĂšve le fils d’en dessous de l’autoritĂ© de ses parents, oĂč il Ă©tait. C’est mon opinion personnelle que l’enseignement qui modifie la chaine d’autoritĂ© » entre parent et enfant Ă  une chaine de conseil » n’est pas une sĂ©paration d’autoritĂ© paternelle suffisamment adĂ©quate aprĂšs le mariage. DeuxiĂšmement, le fils doit quitter la maison pour que sa dĂ©votion et son affection soient principalement concentrĂ©es sur sa femme. L’affection du fils envers ses parents n’est certainement pas terminĂ©e, mais quitter sa maison diminue la compĂ©tition entre le pĂšre et la mĂšre d’un homme et sa femme pour sa dĂ©votion et son attention. Finalement, l’instruction de ce texte nous suggĂšre que la relation parent-enfant est temporaire, alors que la relation mari-femme est permanente. 5 La façon dont nous honorons nos parents change quand nous devenons disciple du Christ. Certains ChrĂ©tiens semblent penser que jusqu'Ă  temps ou Ă  moins qu’un enfant se marie, le rĂŽle fort autoritaire du parent reste dans la vie cĂ©libataire de l’enfant plus ĂągĂ©. Je pense que cela manque de prendre assez au sĂ©rieux l’enseignement de notre Seigneur sur le changement qui arrive avec la dĂ©cision de suivre Christ en tant que disciple. Dans les passages dĂ©jĂ  citĂ©s Matt. 1032-40 ; Marc 1028-31 ; Luc 1426, le Seigneur demanda clairement que les disciples choisissent de Le suivre au-dessus de tous autres, incluant spĂ©cialement la famille. Notre Seigneur ne rivalisera pas avec les pĂšres et les mĂšres pour l’affection et l’obĂ©issance de Ses disciples. Un passage plus loin souligne le changement que le fait d’ĂȘtre un disciple a sur les relations familiales Ne donnez pas non plus Ă  quelqu'un, ici-bas, le titre de PĂšre», car pour vous, il n'y a qu'un seul PĂšre le PĂšre cĂ©leste. » Matt. 239 Ainsi, les enfants ne doivent non seulement quitter pĂšre et mĂšre quand ils se marient, ils doivent aussi le faire bien que pas nĂ©cessairement littĂ©ralement quand ils dĂ©cident de devenir un disciple du Christ. 6 Honorer Dieu comme notre PĂšre n’est pas une excuse pour dĂ©shonorer nos parents. Certains, comme les scribes et les pharisiens Matt. 151-9 ; Marc 71-13, ont utilisĂ© la conviction » et la pratique religieuse comme excuse pour Ă©viter leur obligation d’honorer leurs parents. Pour ceux qui voudraient faire ça, les passages Ă  propos de placer Dieu au-dessus des pĂšres et mĂšres peuvent ĂȘtre pervertis et dĂ©formĂ©s pour excuser l’irresponsabilitĂ©, mais rappelons-nous que notre Seigneur enleva le voile de la spiritualitĂ©, montrant que c’était le pĂ©chĂ© le plus abominable. 7 Nous honorons le plus nos parents quand nous obĂ©issons et honorons Dieu dans nos vies. Le plus grand but des parents est d’élever l’enfant que Dieu leur a donnĂ© de façon Ă  encourager et promouvoir amour de Dieu et obĂ©issances Ă  Sa Parole. Quand un enfant a confiance en Dieu et obĂ©it Sa Parole, il honore ses parents. MĂȘme un parent non croyant est honorĂ© par un enfant croyant et obĂ©issant. 8 Nous honorons Dieu quand nous honorons nos parents. Non seulement nous honorons nos parents quand nous honorons Dieu, mais nous honorons aussi Dieu quand nous honorons vraiment nos parents. Il y a deux raisons principales pour lesquelles c’est vrai. PremiĂšrement, nous honorons Dieu parce que nous obĂ©issons Son commandement d’honorer nos parents. Honorer nos parents, quand c’est un acte d’obĂ©issances Ă  la Parole de Dieu, est honorer Dieu. Ainsi, nous voyons que la norme est qu’honorer les parents accomplit deux choses Ă  la fois Nous rendons honneur aux parents et Ă  Dieu. Mais, si quelqu’un a des parents qui ne sont pas dignes d’honneur ? Nous connaissons beaucoup d’enfants dont les parents ont tout fait pour ruiner leurs vies. Les enfants qui furent physiquement, Ă©motionnellement ou sexuellement abusĂ©s devront vivre avec les effets de cet abus pour leur reste de leurs vies ? Comment ces enfants peuvent-ils honorer leurs parents ? La rĂ©ponse Ă  cette question est trouvĂ©e dans la deuxiĂšme façon par laquelle honorer les parents honore Dieu. Quand nous honorons nos parents, nous reconnaissons qu’ils furent destinĂ©s par Dieu Ă  ĂȘtre nos parents et Ă  recevoir notre respect. Honorer des parents qui ne sont pas dignes d’honneur ne peut ĂȘtre seulement fait si on reconnaĂźt que Dieu les a ordonnĂ©s Ă  ĂȘtre parents, et ainsi ils sont honorĂ©s pour leur position de parents » ordonnĂ©e par Dieu, pas pour leur performance en tant que parents. Permettez-moi d’illustrer ce principe avec une autre personne qui doit ĂȘtre honorĂ©e par nous – un roi. On nous dit dans les Ecritures que nous devons honorer les rois Romains 131-7 ; 1 Pierre 217. Dans le contexte de ces commandements d’honorer le roi, il doit ĂȘtre honorĂ© en vertu de sa position de roi, pas pour sa performance en tant que roi. Dans le chapitre 13 de Romains, Paul dit clairement que les Rois doives ĂȘtre honorĂ©s et obĂ©is parce qu’ils ont Ă©tĂ© nommĂ©s par Dieu. Le fait qu’ils aient le poste est Ă©vidence de la nomination de Dieu Romains 131-2. Ainsi, honorer un roi cruel, impitoyable est admis, pas parce que cette personne est digne de respect, mais parce que cette personne a le job une position d’honneur par la volontĂ© souveraine de Dieu. Quand un enfant rend honneur un parent indigne, mĂ©chant et le fait parce qu’il reconnaĂźt que Dieu l’a destinĂ© Ă  avoir cette position d’autoritĂ© et d’honneur, il se soumet Ă  la volonte souveraine de Dieu. Et parce qu’il sait que Dieu fait arriver toutes choses pour le bien de la vie du croyant, il rĂ©alise que bien que des parents peuvent faire des choses horribles dans le but de le blesser, Dieu les a permises dans un but favorable GenĂšse 5020. Honorer un parent indigne ouvre ainsi la porte pour quelqu’un de voir la bonne main de Dieu en fournissant un mauvais parent. Ce sont souvent les faiblesses du parent, dans un tel cas, qui causent les forces correspondantes de l’enfant. 9 Honorer les parents ne veut pas toujours dire que l’enfant fait ce que ses parents veulent. Les pĂšres et mĂšres ne doivent pas ĂȘtre honorĂ©s parce qu’ils sont parfaits, mais parce qu’ils sont parents. Ils sont, comme leurs enfants, troublĂ©s par la perversitĂ© de l’humanitĂ©. Ils, comme leurs enfants, pĂšchent. Ils feront donc beaucoup d’erreurs dans leur condition de parents. Des fois, ils ordonneront que leurs enfants fassent de mauvaises choses. Et d’autres fois ils leur interdiront de faire ce qui est bien. Un jeune enfant doit assumer que ses parents ont raison, parce qu’ils ont plus d’expĂ©riences et de sagesse. Si tout Ă©choue, parce qu’ils sont plus grands ! Quand l’enfant commence Ă  mĂ»rir, il pourra commencer Ă  questionner certaines dĂ©cisions. Cela doit ĂȘtre fait trĂšs soigneusement. Je peux imaginer la dĂ©sobĂ©issance d’un enfant seulement quand la Bible parle directement du problĂšme. Par exemple, je m’attendrais Ă  ce qu’un enfant refuse de participer Ă  n’importe quelle forme d’abus sexuel par des parents ou d’autres adultes. A un certain moment, un enfant rĂ©alisera que le parent pĂšche, et trouvera nĂ©cessaire de le lui reprocher. Dans ce cas, l’instruction de Paul de corriger un homme ĂągĂ©, comme un pĂšre 1 TimothĂ©e 51 nous instruit que les parents et personnes ĂągĂ©es doivent ĂȘtre rĂ©primandĂ©s gentiment et avec respect. Ceux qui ont des parents ĂągĂ©s au point qu’ils sont devenus confus, dĂ©sorientĂ©s ou mĂȘme rĂ©voltĂ©s se trouvent eux-mĂȘmes dans la position difficile d’avoir Ă  discipliner leurs parents, tout comme leurs parents eurent Ă  les discipliner quand ils Ă©taient plus jeunes. La façon dont une personne honore ses parents change. 10 Honorer les parents pourrait un jour exiger de devenir les parents » des parents. Quelle ironie ! Mais ceux qui eurent un pĂšre et une mĂšre qui prirent soin d’eux, devront souvent prendre soin de leurs parents dans leurs derniĂšres annĂ©es. Les parents qui, une fois, nourrirent et changĂšrent les couches de leurs enfants pourraient dans les derniĂšres annĂ©es de leur vie ĂȘtre nourrit par et dĂ©pendre de leurs enfants. Le nouveau bĂ©bĂ© qui ne reconnaissait pas ses parents pourrait un jour regarder sa mĂšre ou son pĂšre ĂągĂ© et ne pas ĂȘtre reconnu par eux. L’enfant qui une fois avait Ă©tĂ© au soin de ses parents devient maintenant le parent de ses parents, prenant des dĂ©cisions pour eux, ayant des fois Ă  faire des choix contre leur volontĂ©, pouvant mĂȘme avoir Ă  dĂ©cider de combien de temps il devrait permettre les machines de prolonger la vie artificielle pour maintenir un semblant de vie. Il n’y a pas de pensĂ©es moins agrĂ©ables que cela, mais pour beaucoup ça a Ă©tĂ©, est ou sera une rĂ©alitĂ©. Certains parents se fĂącheront et deviendront dĂ©raisonnables. Ils pourraient nous faire des demandes, Ă  nous et Ă  notre famille, qui sont impossibles Ă  accomplir. Ils pourraient, si on les laisse, dĂ©truire notre vie de famille. Des fois, ils deviennent incohĂ©rents et rebelles. Physiquement, il se peut que les parents ĂągĂ©s ne puissent plus prendre soin d’eux-mĂȘmes ou deviennent incapables de vivre seuls. Les dĂ©cisions que nous devons prendre Ă  ces moments lĂ  sont les plus douloureuses de notre vie. Quand le temps de prendre des dĂ©cisions arrive, il doit ĂȘtre dĂ©terminĂ© si des commandements venants des Ecritures sont impliquĂ©s ou non et si oui, comment ceux-ci doivent ĂȘtre exĂ©cutĂ©s. Les impacts des diffĂ©rents choix sur la famille, dans sa totalitĂ©, doivent ĂȘtre tenus en compte. Et, naturellement, le meilleur intĂ©rĂȘt des parents doit ĂȘtre soigneusement recherchĂ©. Je crois qu’au moins trois facteurs sont impliquĂ©s dans la dĂ©termination de quel cours d’action sera le meilleur pour les parents. PremiĂšrement, nous avons une obligation de prĂ©server la vie. Cela ne veut pas nĂ©cessairement dire que nous devons la prĂ©server artificiellement ou prolonger le processus de la mort, mais cela veut dire que les nĂ©cessitĂ©s de la vie soient fournies. Nourriture pourrait venir d’une perfusion, oxygĂšne, et les fluides soutenant la vie doivent ĂȘtre fournis. Trop souvent, ces nĂ©cessitĂ©s sont diffĂ©rĂ©es, avec le rĂ©sultat inĂ©vitable, la mort. Empecher de recevoir les nĂ©cessitĂ©s de la vie constitue un meurtre, comme je comprends les Ecritures. DeuxiĂšmement, nous devons chercher Ă  fournir autant de confort physique et Ă©motionnel qu’il est nĂ©cessaire. L’entourage doit ĂȘtre familier et aussi plaisant que possible. Cela pourrait ou pas, vouloir dire garder les parents dans notre voisinage ou les placer dans un Ă©tablissement oĂč des soins professionnels soient disponibles. TroisiĂšmement, je crois qu’honorer les parents exige que nous maintenions autant de dignitĂ© pour eux que possible. Les termes honorer » et dignitĂ© » se chevauchent un peu, et il me semblerait que nous honorons les parents en cherchant Ă  prĂ©server autant que possible leur dignitĂ©. Par exemple, je suis au courant de certaines situations dans lesquelles des patients ne peuvent pas de se nourrir eux-mĂȘmes et sont nourris de force » littĂ©ralement, en les gavant. Dans de telles situations, je choisirais, si c’était possible, les nourrir par perfusion comme une alternative. L’indignitĂ© d’alimentation de force est grande, et devrait ĂȘtre, si possible, Ă©vitĂ©e. Ces trois sujets, la vie, le confort, et la dignitĂ©, pourraient entrainer certains Ă  prendre soin d’un parent ĂągĂ© Ă  la maison, et d’autres Ă  pourvoir pour utiliser les soins d’un bon Ă©tablissement spĂ©cialisĂ©. 11 Le respect ne peut ĂȘtre gagnĂ©, ni ne peut-il ĂȘtre demandĂ©. Puisque l’honneur est dĂ» sur la base de la position, et non pas de la performance, nous devrions rĂ©aliser que l’honneur n’est pas quelque chose qu’une autre personne puisse nous demander. Un roi peut demander que nous lui obĂ©issions, mais pas que nous l’honorions, au moins au sens propre du terme. Ainsi, un parent ne peut pas vraiment exiger le respect de leurs enfants. Dans les derniĂšres annĂ©es d’une personne, il y aura une tentation pour un parent d’imposer d’un enfant exactement quelle forme son respect devra prendre, mais je crois que c’est contraire Ă  la nature de l’honneur. L’honneur exigĂ© n’est pas du tout un honneur. 12 Puisque nous devons honorer toutes personnes, les parents doivent respecter leurs enfants. Beaucoup a Ă©tĂ© dit et Ă©crit Ă  propos de dĂ©velopper la confiance de soi chez les enfants. Je pense que je diffĂšrerais avec certaines choses de cet enseignement, basĂ© sur le fait que beaucoup de la confiance de soi est simplement appelĂ©e fiertĂ©, et le Livre des Proverbes a beaucoup plus Ă  dire Ă  propos du besoin d’humilitĂ© chez un enfant que du besoin de confiance en soi et certainement que du besoin d’amour de soi. Cependant, nous devons traiter nos enfants d’une façon qui ne manifeste non seulement notre propre dignitĂ© 1 TimothĂ©e 34, mais aussi qui rĂ©flĂ©chisse la dignitĂ© de nos enfants comme Ă©tant une crĂ©ation de Dieu, une crĂ©ation pour laquelle Christ mourut. Ainsi, nous devons honorer nos enfants, comme nous devons honorer tous les autres. 13 Si nous devons honorer tous les hommes, alors nous devons faire nos prioritĂ©s de ceux que nous devons placer au-dessus des autres. Nous avons dĂ©jĂ  vu que nous devons honorer Dieu, les rois, les aĂźnĂ©s, les parents, etc. Quand nous devons honorer tous les hommes, et ne pouvons pas le faire Ă©quitablement ou en mĂȘme temps, alors nous devons choisir. Par exemple, en tant que maris nous devons honorer nos Ă©pouses, et nous devons honorer nos parents. Je crois que si l’un ou l’autre doit avoir prioritĂ©, c’est l’épouse qui devrait ĂȘtre placĂ©e au-dessus des parents. Prendre ces dĂ©cisions de prioritĂ© Ă  l’avance est la meilleure des choses, car pour sĂ»r, ces prioritĂ©s seront mises Ă  l’épreuve. 14 Honorer les parents est si important, et potentiellement si couteux, que c’est quelque chose que nous devons prĂ©voir de faire Ă  l’avance. Honorer les parents exigera beaucoup plus qu’une carte de vƓux. Si honorer les parents implique prendre soin d’eux quand ils deviennent ĂągĂ©s, c’est une question onĂ©reuse, et une pour laquelle nous devons nous prĂ©parer Ă  l’avance. Un de mes amis suggĂ©ra que ce serait quelque chose que nous devions stipuler dans nos testaments. Supposez, par exemple, que nous mourions avant nos parents. Ce fut le cas avec notre Seigneur et Sa mĂšre, et nous avons dĂ©jĂ  vu comment Il prit ses dispositions pour S’occuper d’elle. En plus d’avoir nos enfants dans nos testaments, nous pourrions avoir Ă  nous prĂ©parer Ă  la possibilitĂ© de mourir avant nos parents. Cela pourrait vouloir dire prendre une assurance supplĂ©mentaire pour ĂȘtre assurer que les besoins de nos parents seront rencontrĂ©s aprĂšs notre dĂ©part. Dans certains cas, il pourrait ĂȘtre nĂ©cessaire pour des ChrĂ©tiens ou peut-ĂȘtre la communautĂ© chrĂ©tienne, de fournir des Ă©tablissements pour personnes ĂągĂ©es, qui s’occuperaient non seulement de leurs besoins physiques spĂ©ciaux, mais qui leur fourniraient aussi un environnement de beautĂ© et un sens de dignitĂ©. Nous devons Ă©viter comme la peste de pousser nos parents dans une maison lugubre, sombre et morne oĂč ils attendraient simplement pour mourir. Ce n’est qu’un aperçu, mais j’espĂšre que cela Ă©largit notre vision au-delĂ  de ce que la SĂ©curitĂ© Sociale et les aides mĂ©dicales pourront se permettre pour aider nos parents dans leurs derniĂšres annĂ©es. Un commandement prĂ©sentĂ© aussi vigoureusement, Ă  la fois, dans l’Ancien et le Nouveau Testament ne devrait pas ĂȘtre prit Ă  la lĂ©gĂšre. 19 The following Scriptures are important to our understanding of honoring parents. I highly recommend that you study these passages carefully Central Passages for Honoring Parents Exodus 2012 Deut. 516; 2115, 17; Matthew 151-9; Mark 71-13; Leviticus 193; Ephesians 61-3; Proverbs 3011-14; 311-9; 1 Timothy 51, 3, 8; Isaiah 2913; Malachi 16. Related Passages on Honoring Parents Genesis 224; Matthew 1032-40; Leviticus 1932; 209; 219; Mark 1028-31; Numbers 2217, 37; Luke 1426; Deuteronomy 410-12; 64-7; 338-10; John 522-23; 848-50; 1226; Joshua 212-13; Romans 130; 27, 10; 1210; 137; Judges 1317; 1 Corinthians 1223-24; 1 Samuel 230; 1 Thessalonians 44; Proverbs 18; 39; 41-5; 1926; 2020; 1 Thessalonians 44; 287, 24; 1 Timothy 117; 53, 17; 61; Ezekiel 2030; 2 Timothy 32; Hebrews 54; 1 Peter 217; 37; 2 Peter 117; Jude 8; Revelation 49-11; 512-13; 712; 2124-26. 20 In my study of “honor” in the Bible, I discovered the following people which generally involve a position are given honor God, the Father—1 Timothy 117; Proverbs 39; Revelation 49-11; 512-13; 712; 191; 2124, 26; God, the Son—John 522-23; Hebrews 27, 9; 2 Peter 117. Those in positions of authority over us Kings—1 Peter 217; Higher authorities—Romans 137; Elders—1 Timothy 517; Masters by slaves—1 Timothy 61; Those not in a superior status to us—Husbands to honor wives—1 Peter 37; 1 Thessalonians 44; All men—1 Peter 217; One another—Romans 1210; God will honor us—John 1226; Romans 27, 10. 21 Since honor was required only with respect to those who had a higher status or position in the Old Testament, we may wonder why the change in the New Testament, requiring the Christian to honor all men. The reason why Christians are commanded to honor others who may even have an inferior status in life is due to the fact that the Christian is required to place others above himself Be of the same mind toward one another; do not be haughty in mind, but associate with the lowly. Do not be wise in your own estimation Romans 1216. Now we who are strong ought to bear the weaknesses of those without strength and not just please ourselves. Let each of us please his neighbor for his good, to his edification. For even Christ did not please Himself; but as it is written, “For the reproaches of those who reproached Thee fell upon Me” Romans 151-3. Do nothing from selfishness or empty conceit, but with humility of mind let each of you regard one another as more important than himself; do not merely look out for your own personal interests, but also for the interests of others Philippians 23-4. Thus, the Christian, unlike the worldling, honors all men, even when their earthly status is lower than our own, because the mind of Christ elevates others above self. For the Christian, then, all others have a status higher than our own interest. On this basis, they deserve to be honored. 22 The following is a summary of what is done to honor another in the Bible By giving money or material things Balaam—Numbers 2217, 37; 2411; Widows—1 Timothy 53; Elders—1 Timothy 517; Offerings to the Lord—Proverbs 39; Sacrifices shared with the angel—Judges 1317; By our Lord giving glory to God—John 848-50; By beautifying and giving greater prominence—1 Corinthians 1223-24; By giving respect, and obedience—Romans 137; Ephesians 61-3; 1 Peter 213-27; By giving God worship, Revelation 49-11; 512-13; 712; 191; 2124, 26. 23 Commenting on Deuteronomy 2117, Jordan writes, “There are two words for curse’ in Hebrew. One has as its basic meaning to separate from or banish,’ and is used for the curse in Genesis 314. The second, which is used in Exodus 2117, basically means to make light of, or repudiate.’ As Umberto Cassuto has pointed out, this verb to make light of’ is the opposite of the verb which means to make heavy, honor, or glorify.’ For the Hebrew, to glorify or honor someone was to treat them as weighty, just as American slang in the 1970s and 1980s uses the word heavy’ to refer to important or impressive matters.” James B. Jordan, The Law of the Covenant Tyler, Texas Institute for Christian Economics, 1984, p. 105. 24 This public dimension of honor helps to explain a great deal. First, it explains why the worship honoring of God requires a public expression of praise and adoration. It also explains why a husband is commanded to honor his wife, but the wife is nowhere commanded to honor her husband cf. 1 Peter 37. The woman is to reverence her husband Ephesians 533; 1 Peter 32, 5, because this is a matter of her private attitude. She cannot honor him publicly because her role is restricted with regard to public speaking, especially in the church cf. 1 Corinthians 1434-35; 1 Timothy 212. The husband, on the other hand, is to publicly honor his wife. He is able to honor his wife because of his more public role. He needs to honor his wife because of her more private role. 25 Jordan comments on Deuteronomy 2118-21 “The fifth commandment orders sons and daughters to honor their parents, and the verb used is the verb to make heavy, to glorify.’ Thus, to make light of, to despise, is the opposite. An example of this is clearly set out in Deuteronomy 2118-21. 
” Notice that it is an older child who is in view, not a little boy; he is old enough to be a drunkard. Second, notice the sin is a settled disposition to rebel, not a one time act of disobedience. Third, notice that the young man has given public witness to his rebellious heart; the parents can remind the judges that they all know he is a drunkard and a glutton. Note, fourth, that the parents do not have the power to deal with this rebel on their own; they have to bring evidence and testimony to the judges. This shows us how the Law was carried out, and what is involved in making light of one’s parents, ridiculing them, and repudiating them. In 1 Timothy 53, 17, to honor’ someone means to give them money, to care for them financially. In line with this understanding, Jesus applies the death penalty for dishonoring parents directly to those who refuse to care for them in their old age. The Law of the Covenant, pp. 105-106. 26 Similar promises are found in Deut. 426, 40; 516, 33; 62; 118, 9; 1720; 227; 3018; 3247; Job 611; Prov. 2816; Ecc. 812-13; Isa. 5310. 27 Jordan remarks, “Notice that Jesus sets Exodus 2117 right next to the fifth commandment in binding force. Notice also that cursing’ father and mother is definitely said to include verbally reviling them. Principally, however, this passage shows us that in the practical legal sense, refusing to care for parents in their old age is a capital offense.” Ibid, p. 107. 28 It is interesting that our Lord modified or perhaps we should better say clarified Exodus 2117, rendering the term “cursing” “speak evil of.” Thus, cursing is more than speaking profanities at or about parents. Furthermore, I am inclined to believe that our Lord used the “of” in “speak evil of” in broader terms than we would expect. Our Lord was applying these two texts to the evil practiced by the scribes and Pharisees. To be more exact, the evil spoken by them. The saying of the word “Corban” in a traditional formula forced or allowed the child of elderly parents to disregard and disobey God’s command to honor them by providing for them. The evil thus spoken was not something evil said of or about the parents, but something evil spoken with respect to the parents. The evil spoken was the statement, “Anything of mine you might have bveen helped by is Corban” Mark 711. Our Lord has thus broadened considerably the application of the Fifth Commandment. 29 As I have thought about it, I am not at all certain that a young child is really capable of honoring his parents. He is capable of obeying them, but not really of grasping the concept of honor. This is precisely why parents are needed—to care for the child until he is mature enough to live independently from them. As a child grows up, the more he should begin to grasp what honoring parents is all about, and the more he should honor his parents. LaBible est jalonnĂ©e de figures fĂ©minines, certaines nĂ©gatives et d’autres positives. Souvent elles apparaissent Ă  l’ombre des hommes, dominĂ©es par eux. Et pourtant, lĂ  aussi, le La femme, objet de haine et d'adoration Il est difficile de parler des femmes en philosophie, et de leur vision par les penseurs, sans ĂȘtre accusĂ© d'emblĂ©e de sexisme. Nous prenons ce risque 
 La femme est un objet de rĂ©flexion chez nombre de philosophes comme en tĂ©moignent les citations ci-dessous Socrate la relĂ©guait au rang purement domestique, Schopenhauer lui vouait une haine fĂ©roce, Nietzsche la considĂ©rait comme l'agent de la chute masculine, Freud la considĂ©rait comme une Ă©nigme le fameux “continent noir”, Kierkegaard a fait d'elle le pierre d'angle de sa philosophie stade Ă©thique, don juanisme, Stendhal l'a vĂ©nĂ©rĂ©, tout comme Proust. Chez les philosophes contemporains, la problĂ©matique fĂ©minine s'est dĂ©placĂ©e sur le terrain des droits politiques notamment et des gender studies. Bref, la femme peut ĂȘtre thĂ©matisĂ©e comme un sujet Ă  part entiĂšre de la rĂ©flexion philosophique. En tĂ©moignent les citations philosophiques sur les femmes que nous avons rassemblĂ©es, notamment sur les rapports hommes/femmes, la fĂ©minitĂ©. Les philosophes et les femmes Socrate Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne Ă©pouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l’homme. Thomas d'Aquin La femme est un ĂȘtre occasionnel et accidentel La Rochefoucauld L’enfer des femmes, c’est la vieillesse Kant Par le mariage la femme devient libre, par lui, l’homme perd sa libertĂ© Diderot Il n’y a que les femmes qui sachent aimer; les hommes n’y entendent rien La BruyĂšre Les femmes vont plus loin en amour que la plupart des hommes ; mais les hommes l’emportent sur elles en amitiĂ© Schopenhauer Les femmes se partagent en femmes trompĂ©es et en femmes trompeuses Nietzsche On ne fonde pas le mariage sur l’amour », on le fonde sur l’instinct de l’espĂšce, sur l’instinct de propriĂ©tĂ© la femme et les enfants Ă©tant des propriĂ©tĂ©s, sur l’instinct de la domination qui sans cesse s’organise dans la famille en petite souverainetĂ© Nietzsche Ce qu’on fait par amour s’accomplit toujours par-delĂ  le bien et le mal Lord Byron Dans la premiĂšre passion, la femme aime son amant; dans toutes les autres, tout ce qu’elle aime, c’est l’amour Kierkegaard A chaque femme correspond un sĂ©ducteur. Son bonheur, ce n’est que de le rencontrer Kierkegaard L’important n’est pas d’ĂȘtre le premier amant d’une femme, mais le dernier Hugo Une moitiĂ© de l’espĂšce humaine est hors de l’égalitĂ©, il faut l’y faire rentrer donner pour contrepoids au droit de l’homme le droit de la femme Zola On n’aime bien que les femmes qu’on n’a pas eues Balzac La femme est une lyre qui ne livre ses secrets qu’à celui qui sait en jouer Stendhal Une femme n’est puissante que par le degrĂ© de malheur dont elle peut punir son amant Proust L’amour devient immense, nous ne songeons pas combien la femme rĂ©elle y tient peu de place Freud AprĂšs trente ans passĂ©s Ă  Ă©tudier la psychologie fĂ©minine, je n’ai toujours pas trouvĂ© de rĂ©ponse Ă  la grande question Que veulent-elles au juste? Gandhi Appeler les femmes “le sexe faible” est une diffamation ; c’est l’injustice de l’homme envers la femme. Si la non-violence est la loi de l’humanitĂ©, l’avenir appartient aux femmes De Beauvoir On ne naĂźt pas femme, on le devient explication de la citation De Beauvoir Les femmes se forgent Ă  elles-mĂȘmes les chaĂźnes dont l’homme ne souhaite pas les charger Woody Allen L’amour non partagĂ© est le seul qui dure il ne vous quitte jamais Onpeut comprendre la Bible sans l’histoire, mais l’histoire sans la Bible, jamais. Journal de galĂšre, Imre KertĂ©sz, Ă©d. Actes Sud, 2010, p. 244 - Imre KertĂ©sz. Vous accordez beaucoup de foi a des Ce dictionnaire contient 70 citations et pensĂ©es latines. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos proverbes latins extraits des meilleurs dictionnaires Tout paraĂźt jaune Ă  ceux qui ont la jaunisse. Citation latine ; Les proverbes et sentences latines - Ier s. av. Qui ne se connait pas ne saurait ĂȘtre heureux. Citation latine ; Les proverbes et sentences latines - Ier s. av. Ne force pas un autre Ă  souffrir ce que tu ne pourrais souffrir toi-mĂȘme. Citation latine ; Les proverbes et sentences latines - Ier s. av. N'ayez pas honte de dire ce que vous n'avez pas honte de penser. Citation latine ; Les sentences et adages et proverbes latins - Ier s. av. C'est une Ă©tude difficile, mais bien profitable, que d'apprendre Ă  connaĂźtre ce qui est ou ce qui n'est pas Ă  ta portĂ©e ; que d'examiner jour et nuit de point en point ce que tu as fait, ce que tu feras. Nos devoirs, la puretĂ©, l'honneur, la constance, tout est lĂ . Citation latine ; Le jeu des sept sages Env. 390 ap. Chaque heure nous meurtrit, la derniĂšre tue. Citation latine ; En latin Vulnerant omnes, ultima necat Savoir, c'est pouvoir. Citation latine ; En latin Nam et ipsa scientia potestas est À la bouche du sot le rire abonde. Citation latine ; En latin Risus abundat in ore stultorum L'espoir de la rĂ©compense adoucit la fatigue du travail. Citation latine ; En latin spes prƓmii laboris est solatium Les liĂšvres mĂȘmes viennent insulter le lion, quand il est mort. Citation latine ; En latin Mortuo leoni etiam lepores insultant Ni tĂ©mĂ©raire, ni timide. Citation latine ; En latin Nec temere, nec timide Des goĂ»ts et des couleurs, on ne saurait discuter. Citation latine ; En latin De gustibus et coloribus non est disputandum La fortune fait perdre l'esprit Ă  celui qu'elle caresse trop. Citation latine ; En latin Fortuna nimium quem fovet, slultum facit La coutume est la meilleure interprĂšte de la loi. Citation latine ; En latin Consuetudo est optima legum interpres L'appĂ©tit est le meilleur cuisinier. Citation latine ; En latin Fames est optimus coquus PauvretĂ© n'est pas vice. Citation latine ; En latin Paupertas non est vitium NĂ©cessitĂ© n'a pas de jour fĂ©riĂ©. Citation latine ; En latin Feriis caret necessitas L'amitiĂ© trouve les hommes Ă©gaux ou les rend tels. Citation latine ; En latin Amicitia pares aut accipit, aut facit La fraude se cache sous les gĂ©nĂ©ralitĂ©s. Citation latine ; En latin Fraus latet in generalibus L'ignorance de la loi n'excuse personne. Citation latine ; En latin Ignorantia juris neminem excusat La loi est dure, mais c'est la loi. Citation latine ; En latin Dura lex, sed lex Qui Ă©crit lit deux fois. Citation latine ; En latin Qui scribit bis legit Nulle protection aussi sĂ»re que l'innocence. Citation latine ; En latin Nulla certior custodia innocentia Tu ne peux pas retenir ce jour, mais tu peux ne pas le perdre. Citation latine ; En latin Tenere non potes, potes non perdere diem Les contraires se guĂ©rissent par les contraires. Citation latine ; En latin Contraria contrariis curantur Quand tous les vices sont vieux, l'avarice est encore jeune. Citation latine ; En latin Cum omnia vitia senescunt, sola avaritia juvenescit À l'heure de la mort, nul n'est prĂ©sumĂ© vouloir trompĂ©. Citation latine ; En latin Nemo praesumitur ludere in extremis Tel pĂšre, tel fils. Citation latine ; En latin Qualis pater, talis filius Les larmes d'un hĂ©ritier cachent bien souvent les joies du cƓur. Citation latine ; Les proverbes et sentences latines - Ier s. av. On ne meurt jamais trop tĂŽt, quand on meurt malheureux. Citation latine ; Les proverbes et sentences latines - Ier s. av.
Evangilede JĂ©sus-Christ selon saint Luc. 01 BEAUCOUP ONT ENTREPRIS de composer un rĂ©cit des Ă©vĂ©nements qui se sont accomplis parmi nous,. 02 d’aprĂšs ce que nous ont transmis ceux qui, dĂšs le commencement, furent tĂ©moins oculaires et serviteurs de la Parole.. 03 C’est pourquoi j’ai dĂ©cidĂ©, moi aussi, aprĂšs avoir recueilli avec prĂ©cision des informations concernant tout ce qui
Matthieu LSG Ainsi l’homme et la femme ne sont plus deux mais une seule chair. Que l’homme donc ne sĂ©pare pas ce que Dieu a joint. » C’est Dieu qui a instituĂ© le mariage, l’union de deux ĂȘtres, un homme et une femme, pour la vie. L’origine du mot divorce » en grec c’est Apostasion » qui veut dire rĂ©pudiation ». MoĂŻse institue le divorce. Il y a beaucoup de dĂ©bat sur le divorce et le remariage, mais Dieu reste ferme sur Sa position. Dans Malachie LSG Il dira aux peuples ce qu’Il pense de leur comportement Car Je hais la rĂ©pudiation, dit l’Éternel, le Dieu d’IsraĂ«l, et celui qui couvre de violence son vĂȘtement, dit l’Éternel des armĂ©es. Prenez donc garde en votre esprit, et ne soyez pas infidĂšles! Pour Dieu, le mariage est un engagement Ă  vie. C’est MoĂŻse qui a permis la loi sur le divorce. Dans DeutĂ©ronome il a donnĂ© la procĂ©dure, parce que la femme n’en avait pas de droit et encore moins le choix; c’est le mari qui Ă©tait l’autoritĂ©. En cas de divorce, il devait donner une lettre et en indiquer la raison. Par consĂ©quent, la femme Ă©tait dĂ©gagĂ©e du lien du mariage et libre de se remarier, mais en aucun cas elle ne pouvait revenir vers son premier mari. Par contre, si elle avait Ă©tĂ© adultĂšre elle Ă©tait condamnĂ©e Ă  mort, parce que cette pratique Ă©tait interdite. Divorce en cas d’adultĂšre. JĂ©sus explique aux Pharisiens, les conditions du divorce et du remariage, dans Matthieu 531 ; Matthieu 197-8 Matthieu LSG Il leur rĂ©pondit C’est Ă  cause de la duretĂ© de votre cƓur que MoĂŻse vous a permis de rĂ©pudier vos femmes; au commencement, il n’en Ă©tait pas ainsi. Mais Je vous dis que celui qui rĂ©pudie sa femme, sauf pour infidĂ©litĂ©, et qui en Ă©pouse une autre, commet un adultĂšre. Il les exhorte et leur dit au commencement cela n’était pas ainsi, que dans Son plan, Dieu n’avait pas prĂ©vu le divorce. Et que la cause Ă©tait humaine le cƓur Ă©tait endurcit ». Il prĂ©cise tout de mĂȘme, qu’il existe une seule raison valable pour rĂ©pudier son ou sa conjointe, c’est l’infidĂ©litĂ©. A ce moment-lĂ , le divorce est possible et le remariage aussi. Par contre, quel que soit le motif, autre que l’adultĂšre, ce n’est pas valable d’aprĂšs la Parole de Dieu. A Ses yeux, un divorce non justifiĂ© est une injusticeMalachie JĂ©sus dit dans Marc Que l’homme donc ne sĂ©pare pas ce que Dieu a joint. Dans Malachie le prophĂšte alerte le peuple et l’exhorte Ă  revenir de ses mauvaises conduites Voici encore ce que vous faites Vous couvrez de larmes l’autel de l’Éternel, de pleurs et de gĂ©missements, en sorte qu’Il n’a plus Ă©gard aux offrandes et qu’Il ne peut rien agrĂ©er de vos mains. Et vous dites Pourquoi?
 Parce que l’Éternel a Ă©tĂ© tĂ©moin entre toi et la femme de ta jeunesse, Ă  laquelle tu es infidĂšle, bien qu’elle soit ta compagne et la femme de ton alliance. Nul n’a fait cela, avec un reste de bon sens. Un seul l’a fait, et pourquoi? Parce qu’il cherchait la postĂ©ritĂ© que Dieu lui avait promise. Prenez donc garde en votre esprit, Et qu’aucun ne soit infidĂšle Ă  la femme de sa jeunesse! De nos jours, et malgrĂ© les avertissements, certains hommes sont infidĂšles Ă  la femme de l’alliance, qu’ils avaient Ă©pousĂ©e, et veulent la quitter pour en Ă©pouser une plus jeune, ou leur maĂźtresse. Pourquoi ? A cause de l’orgueil, des mauvais dĂ©sirs et des convoitises; ils n’ont pas abandonnĂ© leur vie au Saint-Esprit; ils sont rebelles et dĂ©sobĂ©issants face Ă  la loi de divine. 1 Corinthiens Ne savez-vous pas que les injustes n’hĂ©riteront point le Royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas ni les impudiques, ni les idolĂątres, ni les adultĂšres, ni les effĂ©minĂ©s, ni les infĂąmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n’hĂ©riteront le Royaume de Dieu. D’ailleurs, Dieu se dĂ©tourne aussi d’eux, de leurs priĂšres, de leurs offrandes; Il n’agrĂ©e rien, ils sont abominables Ă  Ses yeux. Sauf s’ils se dĂ©tournent de leurs mauvaises voies, reviennent de leur dĂ©cision et retournent auprĂšs de leur Ă©pouse. OsĂ©e LSG Elle poursuivra ses amants et ne les atteindra pas, elle les cherchera et ne les trouvera pas. Alors elle dira je veux retourner vers mon premier mari, car j’étais plus heureuse alors que maintenant. Rester mariĂ© et honorer son engagement, voilĂ  ce qui plaĂźt Ă  Dieu! Proverbes LSG Remplis-la de bonheur, trouve ta joie dans la compagne de ta jeunesse. » Si le conjoint adultĂšre refuse d’arrĂȘter, se sĂ©parer sera favorable pour un temps de restauration et de rĂ©flexion, pour prier et rechercher la direction de Dieu. Entamer la procĂ©dure de divorce immĂ©diatement ne serait pas raisonnable. 2 Corinthiens Ne vous mettez pas avec les infidĂšles sous un joug Ă©tranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquitĂ©? Ou qu’y a-t-il de commun entre la lumiĂšre et les tĂ©nĂšbres? Quel accord y a-t-il entre Christ et BĂ©lial ? Ou quelle part a le fidĂšle avec l’infidĂšle? Selon ce verset, celui qui divorce Ă  cause de l’infidĂ©litĂ© de son conjoint, ne doit subir aucun reproche. S’ils ont des enfants, il faut les accompagner et les soutenir dans la priĂšre. Mais si nous sommes chrĂ©tiens et mariĂ©s selon la volontĂ© de Dieu, nous savons que l’amour triomphe de tout et le pardon est toujours prĂ©fĂ©rable au divorce. MariĂ© Ă  un incroyant, que faire ? L’on trouve les recommandations de Paul concernant le divorce et le remariage, dans le cas oĂč l’on est mariĂ© avec un non croyant, dans 1 Corinthiens 710-16 LSG il dit A ceux qui sont mariĂ©s, j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sĂ©pare point de son mari, si elle est sĂ©parĂ©e, qu’elle demeure sans se marier ou qu’elle se rĂ©concilie avec son mari, et que le mari ne rĂ©pudie point sa femme. Aux autres, ce n’est pas le Seigneur, c’est moi qui dit Si un frĂšre a une femme non-croyante, et qu’elle consente Ă  habiter avec lui, qu’il ne la rĂ©pudie point; et si une femme a un mari non-croyant, et qu’il consente Ă  habiter avec elle, qu’elle ne rĂ©pudie point son mari. Car le mari non-croyant est sanctifiĂ© par la femme, et la femme non-croyante est sanctifiĂ©e par le frĂšre; autrement, vos enfants seraient impurs, tandis que maintenant ils sont saints. Si le non-croyant se sĂ©pare, qu’il se sĂ©pare; le frĂšre ou la sƓur ne sont pas liĂ©s dans ces cas-lĂ . Dieu nous a appelĂ©s Ă  vivre en paix. Car que sais-tu, femme, si tu sauveras ton mari? Ou que sais-tu, mari, si tu sauveras ta femme ? Dans les versets 10-11, Il est opposĂ© au divorce “Que la femme ne se sĂ©pare pas de son mari
 et que le mari n’abandonne pas sa femme” ; le mariage serait indissoluble, cependant, il conseil la sĂ©paration au cas oĂč la situation se compliquerait; le tout s’est d’ĂȘtre en paix. De la maniĂšre la plus absolue, tant que l’un des conjoints est vivant, seule la mort est susceptible de libĂ©rer de ce lien Romains et 1 Corinthiens Il existe certains cas particuliers autres que l’infidĂ©litĂ© oĂč le divorce est recommandĂ©. Il s’agit de situations dangereuses et possiblement attentatoires Ă  la vie ou Ă  la sĂ©curitĂ© d’un des conjoints ou des enfants alcoolisme sĂ©vĂšre, conjointe battue, enfants maltraitĂ©s ou abusĂ©s, un mariage d’intĂ©rĂȘt oĂč l’un des conjoints cherche la mort de l’autre pour rĂ©cupĂ©rer son patrimoine, etc. De tels cas et d’autres encore, demandent de la compassion de la part de l’entourage mais pas de jugement; c’est Dieu seul qui juge. Le remariage est possible lorsque l’une des conjointses meurt selon qu’il est Ă©crit dans 1 corinthiens LSG Une femme est liĂ©e aussi longtemps que son mari est vivant; mais si le mari meurt, elle est libre de se marier Ă  qui elle veut; seulement, que ce soit dans le Seigneur. Et Romains LSG Ainsi, une femme mariĂ©e est liĂ©e par la loi Ă  son mari tant qu’il est vivant; mais si le mari meurt, elle est dĂ©gagĂ©e de la loi qui la liait Ă  son mari. Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d’un autre homme, elle sera appelĂ©e adultĂšre; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu’elle n’est point adultĂšre en devenant la femme d’un autre. Que le Seigneur bĂ©nisse les foyers, et nous amĂšne tous Ă  l’obĂ©issance de Sa Parole. Puisse cet enseignement nous libĂ©rer de la mentalitĂ© du monde et nous encourager Ă  nous soumettre en tout Ă  la Parole de Dieu. Amen !
LaBible nous prĂ©sente la mort d'un ĂȘtre cher avec une attention toute particuliĂšre. Tout d'abord, elle nous invite Ă  prendre le temps de vivre ce deuil. Dans la pĂ©riode des Patriarches, un deuil de 70 jours a Ă©tĂ© proclamĂ© pour la mort de Jacob. L'auteur dĂ©crit sommairement ce qui se passe: « Joseph se jeta sur le visage de son pĂšre, le couvrit de larmes et de baisers. » La fin de accueil retour christianisme liens contact intro Bible immoralitĂ© Bible prophĂ©ties messianiques prophĂ©ties non messianiques contradictions Bible homosexualitĂ© Bible racisme Bible sacrifices humains Bible schisme Paul ridicule Bible foi sinon enfer chrĂ©tiens libĂ©raux ? tĂ©moignage dĂ©conversion rĂ©ponses objections tract plan de lecture plan de lecture html commentaire NDEs actions ! L'immoralitĂ© du dieu de la Bible La Bible, principalement l'Ancien Testament, nous dĂ©peint un dieu dont l'immoralitĂ© dĂ©passe l'imagination. AssoiffĂ© de sang, il tue pour les raisons les plus perverses plus de 200 000 fois plus que le diable si l'on fait le dĂ©compte dans la Bible. Il ordonne les gĂ©nocides de peuples entiers qui ont le tord d'avoir une autre religion, demande de lapider les membres de son peuple » qui pratiquent une autre foi, de tuer les homosexuels, les femmes qui ne saignent pas lors de la nuit de noce ce qui d'ailleurs ne prouve mĂȘme pas qu'elles n'Ă©taient pas vierges..., les adultĂšres, les sorciĂšres », ceux qui effectuent le moindre petit travail le jour du sabbat... Il est toutefois possible de le faire changer d'avis en lui faisant remarquer que sa rĂ©putation risque d'en pĂątir, ou en lui faisant respirer la fumĂ©e se dĂ©gageant d'un sacrifice animal pour l'apaiser... Quant au Nouveau Testament, il nous annonce que tous les humains sont par dĂ©faut condamnĂ©s Ă  des souffrances Ă©ternelles et que le seul moyen d'y Ă©chapper, c'est de croire en la bonne religion » mais surtout pas en une autre ! au moment oĂč l'on meurt. Si tu crois que JĂ©sus, fils de Dieu, est mort sur la croix pour prendre tes pĂ©chĂ©s et qu'il est ressuscitĂ©, tu passeras une Ă©ternitĂ© de bonheur avec Dieu, mais si tu n'y crois pas, tu seras malheureux pendant l'Ă©ternitĂ©, quelles que soient tes Ɠuvres. LĂ  non plus, ce n'est pas de l'amour. Il y a bien sĂ»r dans la Bible aussi des passages beaux ou qui peuvent le paraĂźtre, comme c'est aussi le cas dans le Coran. Ses auteurs ne se valent pas tous. Mais l'impression globale, le fond, sont extrĂȘmement nĂ©gatifs. Le dieu de la Bible est l'antithĂšse de la morale naturelle si vous vous demandez d'oĂč une morale peut venir sans dieu, je vous invite Ă  lire les chapitres 6 et 7 de Pour en finir avec Dieu » de Richard Dawkins sur l'origine de la morale, ainsi que la page 84 de ce livre Ă  propos des problĂšmes qui se posent si l’on prĂ©tend que Dieu » est la source de la morale. Je vous recommande le livre de l'ancien pasteur Ă©vangĂ©lique aujourd'hui athĂ©e Dan Barker God The Most Unpleasant Character in All Fiction ». Sur le mĂȘme sujet, je vous recommande aussi la liste des assassinats de Dieu selon la Bible. Chaque Ă©vĂšnement est cliquable si l'on veut en savoir plus. Cet exposĂ© est absolument accablant. Si un esprit surnaturel Ă©tait vraiment Ă  l'origine de la Bible, on pourrait se poser de trĂšs graves questions sur la nature de cet esprit. Ici, je me contenterai de parler de la lapidation des femmes qui ne saignent pas lors de la nuit de noce, de ce que dit la Bible des homosexuels, de la peine de mort pour les IsraĂ©lites qui ont adoptĂ© une autre religion que la seule vraie » car une grande caractĂ©ristique revendiquĂ©e du dieu de la Bible est qu'il serait jaloux, de l'ordre d'exterminer certains peuples dans l'Ancien Testament, du racisme de l'Ancien Testament, des sacrifices humains prescrits dans l'Ancien Testament, des problĂšmes liĂ©s Ă  l'obligation de croire en un dogme prĂ©cis pour soi-disant Ă©chapper Ă  des souffrances Ă©ternelles aprĂšs la mort, et de l'intolĂ©rance envers ceux qui croient autrement dans le Nouveau Testament. L'ordre de lapider les femmes qui ne saignent pas lors de la nuit de noce crime d'honneurDeutĂ©ronome 2213-21 Si un homme, qui a pris une femme et est allĂ© vers elle, Ă©prouve ensuite de l'aversion pour sa personne, s'il lui impute des choses criminelles et porte atteinte Ă  sa rĂ©putation, en disant J'ai pris cette femme, je me suis approchĂ© d'elle, et je ne l'ai pas trouvĂ©e vierge, - alors le pĂšre et la mĂšre de la jeune femme prendront les signes de sa virginitĂ© et les produiront devant les anciens de la ville, Ă  la porte. Le pĂšre de la jeune femme dira aux anciens J'ai donnĂ© ma fille pour femme Ă  cet homme, et il l'a prise en aversion; il lui impute des choses criminelles, en disant Je n'ai pas trouvĂ© ta fille vierge. Or voici les signes de virginitĂ© de ma fille. Et ils dĂ©ploieront son vĂȘtement devant les anciens de la ville. Les anciens de la ville saisiront alors cet homme et le chĂątieront; et, parce qu'il a portĂ© atteinte Ă  la rĂ©putation d'une vierge d'IsraĂ«l, ils le condamneront Ă  une amende de cent sicles d'argent, qu'ils donneront au pĂšre de la jeune femme. Elle restera sa femme, et il ne pourra pas la renvoyer, tant qu'il vivra. Mais si le fait est vrai, si la jeune femme ne s'est point trouvĂ©e vierge, on fera sortir la jeune femme Ă  l'entrĂ©e de la maison de son pĂšre; elle sera lapidĂ©e par les gens de la ville, et elle mourra, parce qu'elle a commis une infamie en IsraĂ«l, en se prostituant dans la maison de son pĂšre. Tu ĂŽteras ainsi le mal du milieu de toi. Remarque il y a dans ce passage des problĂšmes qui empĂȘchent d'utiliser le traditionnel argument "A l'Ă©poque le contexte Ă©tait diffĂ©rent, c'Ă©tait une bonne chose pour cette Ă©poque mais plus aujourd'hui". En effet, une partie non-nĂ©gligeable des femmes ne saignent pas lors du premier rapport, si bien que l'impossibilitĂ© de prĂ©senter le drap tĂąchĂ© de sang n'est pas une preuve de non-virginitĂ© avant la nuit de noce. Il y a d'ailleurs une erreur de logique, puisque dans ce passage c'est la partie de la mariĂ©e qui doit prouver son innocence, sinon elle est considĂ©rĂ©e comme coupable par dĂ©faut. Or en justice, heureusement, l'accusĂ© est considĂ©rĂ© comme innocent tant que sa culpabilitĂ© n'a pas Ă©tĂ© prouvĂ©e sans quoi il y aurait quantitĂ© de condamnations abusives. La Bible et l'homosexualitĂ© Pour ce que dit la Bible des homosexuels, voir l'article la Bible et l'homosexualitĂ© ». Peine de mort pour les IsraĂ©lites qui ont adoptĂ© une autre religion que la seule vraie »DeutĂ©ronome 172-7 Un jour peut-ĂȘtre, dans l’une des villes oĂč le Seigneur votre Dieu vous aura permis d’habiter, un homme ou une femme fera ce qui dĂ©plaĂźt au Seigneur et sera infidĂšle aux engagements pris envers Dieu il ira servir et adorer des dieux Ă©trangers, ou mĂȘme le soleil, la lune et la multitude des astres. -Jamais le Seigneur ne vous a ordonnĂ© d’agir ainsi! - Si vous entendez parler d’un cas de ce genre, vous mĂšnerez une enquĂȘte minutieuse; si l’on dĂ©couvre que cette chose abominable s’est rĂ©ellement produite en IsraĂ«l, vous conduirez le coupable, homme ou femme, Ă  la porte de la ville et vous le mettrez Ă  mort en lui jetant des pierres. Un accusĂ© ne pourra ĂȘtre condamnĂ© Ă  mort que sur le tĂ©moignage de deux ou trois personnes; le tĂ©moignage d’une seule personne ne suffira pas. Les tĂ©moins seront les premiers Ă  lui jeter des pierres pour le faire mourir, et le reste du peuple interviendra ensuite. Vous ferez ainsi disparaĂźtre le mal du milieu de vous. Ordre d'exterminer certains peuples dans l'Ancien TestamentDeutĂ©ronome chapitre 20 Quand vous partirez en guerre contre vos ennemis, si vous voyez de la cavalerie, des chars de combat et une armĂ©e plus nombreuse que la vĂŽtre, n’ayez pas peur. En effet, le Seigneur votre Dieu, qui vous a fait sortir d’Égypte, est avec vous. Au moment oĂč vous vous prĂ©parerez Ă  combattre, le prĂȘtre s’avancera devant l’armĂ©e et dira aux hommes Soldats d’IsraĂ«l, Ă©coutez! Aujourd’hui, vous ĂȘtes sur le point de combattre vos ennemis. Face Ă  eux, ne perdez pas courage, n’ayez pas peur, ne vous affolez pas, ne tremblez pas. Le Seigneur votre Dieu vous accompagne pour combattre avec vous contre vos ennemis et vous donner la victoire. Ensuite les officiers recruteurs diront aux soldats Y a-t-il parmi vous quelqu’un qui vient de construire une maison et n’a pas encore pu y habiter? Qu’il retourne chez lui. Sinon il pourrait mourir Ă  la guerre et un autre irait habiter sa maison. Y a-t-il quelqu’un qui vient de planter une vigne et n’a pas encore pu en cueillir les premiers raisins? Qu’il retourne chez lui. Sinon il pourrait mourir Ă  la guerre, et un autre cueillerait ses raisins. Y a-t-il quelqu’un qui vient de se fiancer et n’a pas encore pu se marier? Qu’il retourne chez lui. Sinon il pourrait mourir Ă  la guerre, et un autre Ă©pouserait sa fiancĂ©e. Les officiers recruteurs ajouteront ceci Y a-t-il parmi vous quelqu’un qui a perdu courage et a peur? Qu’il retourne chez lui, afin de ne pas dĂ©moraliser les autres. Quand ces officiers auront fini de parler, on dĂ©signera les chefs d’unitĂ© pour commander l’armĂ©e. Quand vous irez attaquer une ville, vous proposerez d’abord aux habitants de se rendre sans combat. S’ils acceptent et ouvrent les portes de la ville, ils seront tous soumis Ă  des travaux obligatoires Ă  votre service. Mais s’ils n’acceptent pas et prĂ©fĂšrent se battre, vous assiĂ©gerez la ville. Quand le Seigneur votre Dieu la livrera en votre pouvoir, vous y tuerez tous les hommes; vous pourrez garder comme butin les femmes, les enfants, le bĂ©tail et tout ce que vous trouverez dans la ville. Vous disposerez librement des biens de vos ennemis, puisque le Seigneur votre Dieu vous les aura donnĂ©s. Vous agirez ainsi envers les villes trĂšs Ă©loignĂ©es, qui n’appartiennent pas au pays oĂč vous vous installerez. Quant aux villes du pays que le Seigneur votre Dieu vous donnera en possession, vous n’y laisserez personne en vie. Vous exterminerez totalement les Hittites, Amorites, CananĂ©ens, Perizites, Hivites et JĂ©busites, comme vous l’a ordonnĂ© le Seigneur votre Dieu, afin qu’ils ne vous enseignent pas Ă  imiter les actions abominables qu’ils commettent pour plaire Ă  leurs dieux. Cela vous conduirait Ă  pĂ©cher contre le Seigneur votre Dieu. Lorsque vous attaquerez une ville et que vous l’assiĂ©gerez longtemps avant de pouvoir la prendre, vous ne dĂ©truirez pas les arbres fruitiers des environs. Vous pourrez en manger les fruits, mais vous ne couperez pas les arbres. Un arbre dans la campagne n’est pas un homme contre lequel on part en guerre! Par contre vous pouvez couper les arbres qui ne portent pas de fruits comestibles, et les utiliser pour le siĂšge de la ville qui est en guerre contre vous, jusqu’à ce qu’elle se rende. Le racisme de l'Ancien Testament À ce sujet, voir l'article Le racisme dans l'Ancien Testament ». Les sacrifices humains prescrits dans l'Ancien Testament À ce sujet, voir l'article Les sacrifices humains dans l'Ancien Testament ». L'obligation de croire en un dogme prĂ©cis pour soi-disant Ă©chapper Ă  des souffrances Ă©ternelles aprĂšs la mort À ce sujet, voir l'article Les consĂ©quence perverses du dogme de la foi obligatoire pour Ă©chapper Ă  l'enfer ». IntolĂ©rance du Nouveau Testament envers ceux qui croient autrement2 Corinthiens 614-16 N'allez pas vous associer avec des incroyants ce ne sont pas des partenaires qui vous conviennent. Comment, en effet, ce qui est juste pourrait-il avoir Ă  faire avec ce qui est mauvais? Comment la lumiĂšre pourrait-elle ĂȘtre unie Ă  l'obscuritĂ©? Comment le Christ pourrait-il s'entendre avec le diable? Ou bien, qu'est-ce qu'un croyant peut avoir en commun avec un incroyant? Comment le temple de Dieu pourrait-il s'accorder avec des idoles paĂŻennes? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu lui-mĂȘme l'a dit "Je demeurerai et je marcherai avec eux, je serai leur Dieu et ils seront mon peuple". C'est pourquoi le Seigneur dĂ©clare "Vous devez les quitter et vous sĂ©parer d'eux. Ne touchez Ă  rien d'impur, et moi je vous accueillerai. Je serai un pĂšre pour vous et vous serez des fils et des filles pour moi, dit le Seigneur tout puissant".Tite 115 Tout est pur pour ceux qui sont purs; mais rien n'est pur pour ceux qui sont impurs et incroyants, car leur intelligence et leur conscience sont marquĂ©es par l'impuretĂ©. gP68CqA.
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